Le 14 octobre 1912, l'ancien président américain Théodore Roosevelt fut touché d'une balle dans la poitrine par un tireur fou alors qu'il s'apprêtait à prononcer un discours à l'auditorium de Milwaukee. Il prononcera d'abord son discours durant une heure avant de se faire soigner, déclarant : "Il faut plus qu'une balle pour m'abattre". Cette balle ne sera jamais retirée de ses poumons.
Nos applications mobilesFacebookTwitterFeeds17584 anecdotes - 314 lecteurs connectés
Le site pour briller en soirée
Tous les commentaires (48)
Je vous rassure, je ne suis pas un comuniste russe, mais juste un peu critique...
Mais ça serait pas justement de la propagande pour montrer que les USA sont "forts" ? Avec des complices, des balles à blanc, et du ketchup ? ^^
Parcequ'une balle dans le bide c'est douloureux quand même x)
Il a du lui falloir beaucoup de courage pour surmonter la douleur enfoncer dans ses poumons, prononcer son discours pendant 1 heure et ne meme pas se faire enlever la balle a la fin
Tu confonds avec Franklin Roosevelt qui était non pas atteint par la poliomyélite comme il a souvent ete dit mais par le syndrome de Guillain-Barré et qui a été en fauteuil roulant jusqu'à sa mort
C'est courageux mais un peu con quand même... Si il avait succombé de ses blessures a cause d'une prise en charge trop tardive
C'est vrai mais il faut prendre en compte que les balles de l'époque étaient bien moins dangereuses que celles d'aujourd'hui. Je pense que si il avait reçu une cal.50 il n'aurait pas pu faire la même chose. Néanmoins cela reste un exploit sur de parler alors que les poumons sont touchés.
Il paraît qu'il aurait retiré la balle peu après pour la renvoyer au tireur, puis lui aurait dévoré le crâne.
J'espère que le clin d'œil est assez explicite pour les connaisseurs.
Il est mort finalement ou pas?
Je ne m’y connaît pas trop ni en arme ni en médecine mais je sais que dans certains cas c’est mieux de laisser la balle la où elle est plutôt que de la retirer,