Plus de la moitié des mots usuels anglais viennent du français

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Une bonne partie du vocabulaire anglais vient du français. Selon les sources, ce serait de 30 à 60% des mots usuels anglais qui auraient pour origine le français. Mais ces mots français ont souvent été oubliés, si bien qu'un anglophone utilise couramment cinq fois plus de mots qu'un francophone, forcé d'en réimporter certains sous forme de franglais.


Tous les commentaires (106)

a écrit : Bacon est un mot français :)
C'est le seul truc comestible qu'ils produisent en même temps!
Le cheddar aussi !

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a écrit : Avec les jeunes aujourd'hui on parlera bientôt plus français du tt
"Wesh j'ai le seum j'ai plus un "e"
Et avec les vieux on perdra foi en tout...

Ah et le mot "barbecue ", ça vient d un porc qu a un bâton de la "barbe au cul ", en français ou en occitan je sais pas. En tout cas ça me fait plaisir de savoir qu on a autant en commun avec les rosb..heu les anglais, car malgré leurs grands airs je les aime bien, c est des fortiches (qui nous aiment pour la plupart). Et puis musicalement heureusement qu ils sont là !

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a écrit : Mais du coup, comment traduirait on "il continua de la regarder" ? C'est marrant, moi c'est là que j'aurais utilisé "kept on", et juste "kept looking" pour la regarder à plusieurs reprises.

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a écrit : Mais du coup, comment traduirait on "il continua de la regarder" ? "He kept on looking at her"; le "on" peut effectivement être sous-entendu, mais l'anglais aime bien les pré- et post-prépositions (d'ailleurs curieusement toujours nommées "prépositions" dans les grammaires, d'où l'idée fallacieuse qu'elles ne peuvent être rejetées en fin de phrase, comme les particules détachables de l'allemand).

Il y a cependant une analogie, "he climbed the ladder down" est parfaitement correct, alors que sans le "down" c'est par défaut "up", monter et non pas descendre.

Curieux d'ailleurs ce mot "down", qui vient du français "dune" et signifie primitivement donc "hauteur, colline"; "to go down" est "venir, donc descendre, de la dune"

"staring" est plus fort, exprimant qu'il ne peut en détacher ses yeux.

Mais c'est très difficile de traduire une phrase isolée d'un contexte; suivant celui-ci, des mots plus adéquats peuvent venir à l'esprit spontanément.

a écrit : Pour mettre intéressé au sujet je peux vous assurer que non.
On a cette image de la guerre de cent ans, de brigands profiteurs payer une fois par un camp, d'autres fois par l'autre, mais elle est fausse et on l'a doit à deux choses. D'abord la politique de raids et surtout de "grandes ch
evauchées" pratiqué par les anglais ; ensuite par l'essoufflement démographique et financier des protagonistes au bout de quelques décennies de guerres qui ont amener des soldats à trouver leur solde eux-mêmes mais pour une bonne partie de la guerre de cent ans les batailles était tout à fait classique et même pour certaines on a atteint des records en nombre de soldat présent (soldats parfaitement équipé et entraîné).
La vision que vous avez de la guerre de cent ans est donc à nuancer.
Ensuite oui dans certaines régions les motivations était long d'être patriotique, dans le Périgord ou la Bretagne (duguesclin étant un des rares à être du côté français) et biensûr la Bourgogne mais elle ne se sentait pas française à ce moment de l'histoire, par contre négligé le sentiment d'appartenance à un royaume français et le réel envie d'avoir un roi français et non anglais serait une faute, les états généraux de 1317 le montre, et une fois la guerre engagé il y a eus de forte prise de position à toutes les échelles qui on durée toute la guerre que ça soit des régions, des villes, des familles de nobles...
Le sentiment d appartenance à la France étant présent dès 1214, bien avant la guerre de cent ans donc.
Et prendre l'exemple de nom de noble très français (même si certains était bien français) qui on combattu pour les anglais pour montrer le caractère anational de cette guerre est très très abusif : la totalité de la noblesse anglaise étant d origine française depuis 1066 la presque totalité des grandes figures de la guerre porte des noms français...ça ne montre donc rien

D'accord mais un anglophones moyens utilise t-il plus les possibilités de sa langue qu'un français moyen ? Dans la pratique de tous les jours qui l'utilise de façon la plus riche selon toi ? Je sais c'est pas une question facile mais je vois pas comment trouver la réponse par moi même
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Intervention très intéressante, mais:

1- Sur la partie historique, je ne veux pas discuter plus avant, cela sort complètement de la charte des commentaires qui prescrit de ne parler que de l'anecdote pour l'enrichir.

2- Sur l'utilisation de la langue et de son vocabulaire, oui, je passe souvent à Paris et Londres, et récolte à chaque fois (ce n'est qu'un exemple) un "Metro": pas spécialement pour des rats de bibli, mais infiniment plus riche en vocabulaire dans la version anglaise (qui n'est d'ailleurs aucunement une traduction, les rédactions sont indépendantes, et le journal est d'origine suédoise).

Une raison de plus pour les chauvins de mettre la France et le français sur un piédestal.

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a écrit : Quelques remarques sur un commentaire bienvenu dans son ensemble:

- "Il la regarda à de nombreuses reprises -> He kept on looking at her." Non, vous traduisez comme s'il la regardait sans discontinuité; c'était l'occasion d'utiliser "glance", "glimpse"
, "peep" ou "peek".

- Piège non mentionné de "see = voir" et "look = regarder"; oui, mais "oversee = examiner minutieusement", et "overlook = jeter un coup d'œil en diagonale".

- "Cheap" peut être:
a) inexpensive, low-priced, low-cost, economical, reasonable, affordable, keen, bargain, market-down, slashed, discounted ... (= de prix non excessif);
b) gaudy, poor-quality, inferior, shoddy, common, trashy, tawdry, tatty, paltry, worthless, second-rate, cheapjack, gimcrack, tacky, despicable, contemptible, low, base, mean, sordid, vulgar, shameful, debased, stingy ... (= minable).
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Je mettais l'accent sur l'importance de la verbalisation.
Quelque soit le verbe, (look at, glance, etc. en fonction du sens) l'idée est qu'au final l'action répétée/discontinue est introduite par le verbe.
A comprendre : Jamais on ne dira "He looked at her a lot/often".
Dailleurs, dans le sujet du concours, le choix s'était arrêté sur glare/look at à cause du contexte.
(Sujet Agrégation Externe 2008...)

Quant à cheap, ce que je voulais dire, c'est simplement que c'est un mot/concept inexistant dans la langue française courante, bien que ce soit un mot que tous nos 6èmes connaissent. Il y a moult synonymes anglais. Mais aucun en français. Funny.

Sinon bien vu le oversee/overlook.

Par contre pour le must / have to... Nope !
Bon pour la forme :
Must est un auxilaire modal. Il indique (c'est ce que fait la modalité) une implication plus ou moins forte de l'énonciateur. Bref, Must marque une implicatioon relativemnt forte de l'énonciateur sur la validation du procès. Charabia.
En simple :
You must -> Tu dois (et crois moi, je vais y veiller...)
You have to -> Tu dois (mais je ne m'implique pas, c'est toi qui t'impose cette rigueur).

Pareil que May/Might. May est détaché (constat) et Might marque une implication (donc comme c'est subjectif, le procès a peut-être moins de chances de se réaliser. Mais pas forcément....)

Ou alors, -ING qui ne veut PAS dire "en train de".
Ex: Sir, may you come ? Yes, 2 minutes, I'm coming.

Dad, may I borrow your car ? No way you're driving my car !

(ING marque la focalisation sur la façon dont se déroule l'action)

Bref, c'est subtil, donc c'est cool. :)

a écrit : Mais du coup, comment traduirait on "il continua de la regarder" ? Ca dépend du contexte.
Il n'y a pas de bonne réponse. On s'est pris la tête pendant 30 minutes avec les
collègues sur ce seul verbe lors de la correction de l'Agréagation d'anglais de 2008.

Ce qui importe c'est que les étudiants proposaient :
He xxxxxxxxxxx at her a lot.
Mais non !
Les anglais vont placer la récurrence sur le verbe. Mais pas d'adverbe comme en français.
He kept xxxxxxx-ING at her.

(Dans le texte, il avait eu une "algarade" avec la demoiselle, donc j'avais proposé he kept glaring at her pour retrannscrire le ressentimment. La proposition a été retenue)

Sur les deux interventions, ci-dessus, de Khassandr: mais je crois que nous sommes entièrement d'accord, sauf que:
- j'orthographie "quel que soit le verbe", ou "quelque verbeux que soit le propos", pour tenir compte d'une grammaire française pour une fois logique;
- je passe sur des fautes de frappe (j'en commets aussi!);
- plus sérieusement, je ne suis pas sûr que mon attitude de bilingue (j'ai assisté à des cours d'agrèg en Sorbonne pour voir, aussi au Collège de France, et ai souvent pas mal rit - intérieurement - de voir comment tout le monde s'empêtrait) ait été comprise:
le français est très précis, quoique pauvre, c'est une langue pour les traités internationaux, le droit (presque tous les mots de droit britannique, pourtant très différent d'essence, sont d'origine française), l'administation;
l'anglais, pour un mot, renvoie à un ensemble de notions voisines mais pas identiques: c'est une langue de littérature, et de poésie.
Dans aucune des deux langues il n'y a de synonymes parfaits; les plus proches en français pourraient être "florilège" et "anthologie", construits exactement de la même façon, selon des racines soit latines, soir grecques; mais on ne dira pas "florilège des penseurs pré-socratiques", ni "anthologie des poètes troubadours".

Des agrégatifs écrivant "he was looking at her a lot"? J'espère me méprendre ...
"He kept glaring at her" est correct, n'implique aucun ressentiment, mais plutôt de l'admiration.

a écrit : Ca dépend du contexte.
Il n'y a pas de bonne réponse. On s'est pris la tête pendant 30 minutes avec les
collègues sur ce seul verbe lors de la correction de l'Agréagation d'anglais de 2008.

Ce qui importe c'est que les étudiants proposaient :
He xxxxxxxxxxx a
t her a lot.
Mais non !
Les anglais vont placer la récurrence sur le verbe. Mais pas d'adverbe comme en français.
He kept xxxxxxx-ING at her.

(Dans le texte, il avait eu une "algarade" avec la demoiselle, donc j'avais proposé he kept glaring at her pour retrannscrire le ressentimment. La proposition a été retenue)
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Donc on peut utiliser exactement la même phrase pour "il continua de la regarder ", ou " il la regarda sans interruption "..?

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a écrit : Donc on peut utiliser exactement la même phrase pour "il continua de la regarder ", ou " il la regarda sans interruption "..? Oui, sauf la légère différence de style, la sémantique est la même, sauf dans un contexte différent: le premier laisse penser à des événements antérieurs, le second non.

Au fait, bien fait de dire que je faisais (même moâ) des fautes de frappe: à vous de rire de mon "j'ai rit" ;-)

a écrit : Sur les deux interventions, ci-dessus, de Khassandr: mais je crois que nous sommes entièrement d'accord, sauf que:
- j'orthographie "quel que soit le verbe", ou "quelque verbeux que soit le propos", pour tenir compte d'une grammaire française pour une fois logique;
- je p
asse sur des fautes de frappe (j'en commets aussi!);
- plus sérieusement, je ne suis pas sûr que mon attitude de bilingue (j'ai assisté à des cours d'agrèg en Sorbonne pour voir, aussi au Collège de France, et ai souvent pas mal rit - intérieurement - de voir comment tout le monde s'empêtrait) ait été comprise:
le français est très précis, quoique pauvre, c'est une langue pour les traités internationaux, le droit (presque tous les mots de droit britannique, pourtant très différent d'essence, sont d'origine française), l'administation;
l'anglais, pour un mot, renvoie à un ensemble de notions voisines mais pas identiques: c'est une langue de littérature, et de poésie.
Dans aucune des deux langues il n'y a de synonymes parfaits; les plus proches en français pourraient être "florilège" et "anthologie", construits exactement de la même façon, selon des racines soit latines, soir grecques; mais on ne dira pas "florilège des penseurs pré-socratiques", ni "anthologie des poètes troubadours".

Des agrégatifs écrivant "he was looking at her a lot"? J'espère me méprendre ...
"He kept glaring at her" est correct, n'implique aucun ressentiment, mais plutôt de l'admiration.
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Juste par rapport à la fin, tu ne confondrais pas "glare" avec "gaze" peut-être? C'est le plus proche phonétiquement qui me vienne à l'esprit pour que ça colle avec l'admiration.

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a écrit : Presque tous les mots en -ty en anglais par exemple viennent du français : - beauty, liberty, prosperity, royaulty, majesty...

Sur la même logique, tous les mots en -tion viennent du français (creation, corporation, occupation, reservation...).

Le "canif" français qui a également don
né "knife" (le couteau).

Le mot "île" en français s'écrivait autrefois "isle" (l'accent circonflexe sur le i indique la disparition du s muet). Or, île en anglais se dit "island" (le s ne se prononçant pas non plus).
On retrouve la même logique avec :
- château / castle
- forêt / forest
- hôtel / hostel
- hôpital / hospital

Certains mots en français peuvent se traduire de 2 façons en anglais : un mot avec une origine germanique, et un mot avec une origine latine.

Le mot "germanique" correspond souvent au sens propre du terme, alors que le mot "latin" au sens figuré.

Exemple : plonger peut se traduire par :
- to dive (origine germanique : sens propre) : plonger dans un lac, dans une piscine...
- to plunge (origine latine : sens figuré) : un taux de croissance qui plonge...

Dans un registre plus soutenu, on préférera utiliser les mots d'origine latine. Le mot français permet également de distinguer le sens du mot ou d'éviter les confusions :

Ex : snail (= escargot, l'animal) / escargot (= escargot, celui que l'on mange).

Également, même si le mot "perfum" désigne le parfum de manière générale (le mot vient d'ailleurs du français), on utilisera volontier le mot "cologne" pour parler d'un parfum pour homme.

En français, on utilisait également autrefois le terme "fleureter" comme synonyme de "séduire" (fleureter en référence à la fleur). Ce mot s'est peu à peu introduit dans la langue anglais et a donné le verbe "flirt". Ce mot s'est ensuite réintroduit dans la langue française via le verbe "flirter". Les deux langues se sont ici doublement influencé, en quelques sortes.

Plein de mot plus "modernes" sont directement repris du français :
- a souvenir
- a fiancée
- a café
- a rendezvous

On retrouve également plusieurs mots d'origine français dans le champ lexical juridique. Exemple : a mortgage (un prêt hypothécaire) qui est composé de deux mots français.

Des mots sont parfois repris du français et complétement déformés ou erronés. Exemple : il n'est par rare d'entre un anglais utiliser le mot "a sous-entendre" pour parler d'un "sous-entendu".

De nombreuses expressions et tournures orales sont également empruntées directement au français :
- Bon appetit !
- Et voilà !

Enfin, n'importe quel anglais ou américain comprendre la fameuse question : "Voulez-vous coucher avec moi, ce soir ?"

Il n'est ainsi pas étonnant que la langue anglaise soit souvent considérée comme la plus latine des langues germaniques, et le français comme la plus germanique des langues latines.

Vous n'avez plus aucune raison de ne pas vous mettre à l'anglais !

Have a nice day :)

(Notez le mot "day" et son origine latine. On le retrouve en français, par exemple dans midi (mi et di : la moitié du jour).
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Merci je me coucherai vraiment moins bête !!

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a écrit : Je mettais l'accent sur l'importance de la verbalisation.
Quelque soit le verbe, (look at, glance, etc. en fonction du sens) l'idée est qu'au final l'action répétée/discontinue est introduite par le verbe.
A comprendre : Jamais on ne dira "He looked at her a lot/often"
.
Dailleurs, dans le sujet du concours, le choix s'était arrêté sur glare/look at à cause du contexte.
(Sujet Agrégation Externe 2008...)

Quant à cheap, ce que je voulais dire, c'est simplement que c'est un mot/concept inexistant dans la langue française courante, bien que ce soit un mot que tous nos 6èmes connaissent. Il y a moult synonymes anglais. Mais aucun en français. Funny.

Sinon bien vu le oversee/overlook.

Par contre pour le must / have to... Nope !
Bon pour la forme :
Must est un auxilaire modal. Il indique (c'est ce que fait la modalité) une implication plus ou moins forte de l'énonciateur. Bref, Must marque une implicatioon relativemnt forte de l'énonciateur sur la validation du procès. Charabia.
En simple :
You must -> Tu dois (et crois moi, je vais y veiller...)
You have to -> Tu dois (mais je ne m'implique pas, c'est toi qui t'impose cette rigueur).

Pareil que May/Might. May est détaché (constat) et Might marque une implication (donc comme c'est subjectif, le procès a peut-être moins de chances de se réaliser. Mais pas forcément....)

Ou alors, -ING qui ne veut PAS dire "en train de".
Ex: Sir, may you come ? Yes, 2 minutes, I'm coming.

Dad, may I borrow your car ? No way you're driving my car !

(ING marque la focalisation sur la façon dont se déroule l'action)

Bref, c'est subtil, donc c'est cool. :)
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J'aime bien ce fil. :)
Juste un truc que je comprends pas: en France, vous n'avez vraiment pas le concept de bon marché? Ou bien c'est que le concept s'exprime en deux mots au lieu d'un (économique étant un seul mot, mais un peu différent)?

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a écrit : J'aime bien ce fil. :)
Juste un truc que je comprends pas: en France, vous n'avez vraiment pas le concept de bon marché? Ou bien c'est que le concept s'exprime en deux mots au lieu d'un (économique étant un seul mot, mais un peu différent)?
C'est le mot qui manque

a écrit : Oui, sauf la légère différence de style, la sémantique est la même, sauf dans un contexte différent: le premier laisse penser à des événements antérieurs, le second non.

Au fait, bien fait de dire que je faisais (même moâ) des fautes de frappe: à vous de rire de mon "j'ai rit" ;-)
Je me suis mal exprimé. Si on n a pas connaissance du premier texte, qu on a seulement le deuxième texte, dans lequel est présente la formule "he kept on looking at her ", et qu on doit traduire cette formule en français, si j ai bien compris on sait pas si c est "il continua de la regarder " ou "il la regarda à de nombreuses reprises". J ai bon?

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a écrit : J'aime bien ce fil. :)
Juste un truc que je comprends pas: en France, vous n'avez vraiment pas le concept de bon marché? Ou bien c'est que le concept s'exprime en deux mots au lieu d'un (économique étant un seul mot, mais un peu différent)?
Dans la mentalité french, tout est soit trop cher, soit cher. A la rigueur ça peut être "pas si cher que ça finalement ". Haha !

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a écrit : Les deux termes sont synonymes, pour désigner la même plante. Dent-de-lion fait allusion à la forme des feuilles et l'autre ... à autre chose, à consommer avec modération donc.
www.google.co.uk/search?q=pissenlit&tbm=isch&tbo=u&source=univ&sa=X&ved=0ahUKEwi6uKr5vq7JAhXHnRoKHdhkA3EQsAQIJA&biw=1266&bih=869
En même temps les noms vernaculaires ne sont pas un science exacte... Tout dépend de la région d'où tu viens... Appelons ça la Taraxacum ofgicinale et ça mettra tout le monde d'accord...

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a écrit : Juste par rapport à la fin, tu ne confondrais pas "glare" avec "gaze" peut-être? C'est le plus proche phonétiquement qui me vienne à l'esprit pour que ça colle avec l'admiration. Tout à fait juste, j'ai fait un lapsus; "glare" est au contraire "jeter un regard furieux, ou de défi".