Grâce à une application smartphone destinée à lutter contre la consanguinité, des chercheurs islandais ont découvert qu'il est plus avantageux d'avoir des enfants avec un cousin au 3e ou 4e degré plutôt qu'avec une personne sans lien génétique avec soi. Ce degré d'éloignement permettrait de limiter le risque d'avoir un gène déficient en double exemplaire, tout en assurant une bonne compatibilité.
Tous les commentaires (50)
on fait la même chose sur l’île de pitcairn , pour mémoire c'est l’île ou se sont réfugiés les mutins du bounty
l’île est très isolé et pour évité la consanguinité l'arbre généalogique de la population (67 personnes au dernier recensement en 2011 ) est consultable par tous les habitants
mais officiellement il n'y a que 15 actif sur l’île , la population est plutôt agée
les jeunes gens préférant allé vivre ailleurs , en nouvelle Zélande ou en Australie
Joyeuse Saint-Valentin aux Islandais!
Source: revue secrets d'histoire n°9 qui vient de sortir
Cette personne a le même père et la même mère que moi, et pourtant ce n'est ni mon frère ni ma soeur.
Qui est-ce donc ?
j'imagine bien la scène:
-T'as des preservatifs?
-non, mais j'ai l'application smartphone !
Un degré = "un lien" entre 2 personnes.
La mère a eu un fils (par exemple) de père inconnu, puis s'est mariée avec le père qui a légitimé l'enfant, légalement son fils donc. Puis ils ont ensemble un autre fils. Les deux sont-ils frères, ou restent-ils demi-frères?
Ça joue sur la "peur" de l'insceste.
Lorsqu'on ne connait en rien la personne et que les liens remontent aux arrière arrières arrières grand parent... Qu'on ne connait même pas.
La notion de "famille" est surtout très abstraite, et n'a pas vraiment de réalité scientifique.
Mais utiliser le mot "famille" nous fait "projeter" sur des cas qui n'ont rien à voir, l'image d'une vraie famille.
( et ça, ce serait glauque... Même si les enfants étaient adoptés et n'avaient aucune consanguinité d'ailleur.
Ce qui prouve bien que le glauque ne vient pas de la proximité génétique, mais de la famille sociale.
)
On oublie souvent de dire que si notre science actuelle arrive à /détecter/ des traces de liens de paternité... Des gens qui ne sont pas de notre famille peuvent avoir plus de gènes en commun avec nous que quelqu'un de notre famille très éloignée.
Pour arriver à établir ces "paternité" à longue distance, les scientifiques sont obligés de regarder des gènes extrêmement rares, ou des séquences de gènes qu'on pourrait retrouver dans un ordre différents chez qqn d'autre.
La nature est bien faite.
La consanguinité n'a quasiment aucun impact, à moins d'être extrême et de porter sur des générations.
Ou sur des populations extrêmement restreinte.
Ou concerner une maladie extrêmement rare et en "oubliant" de compter dans les stats l'extrême improbabilité du cas initial.
( Oui l'enfant a 2 chances sur un millions de contracter un maladie au lieu d'une... Le facteur peut être élevé, ça ne change rien s'il s'agit de très faible probabilité.
1 seul cas en plus sur des millions, ça fait quand même franchement insignifiant comme risque.
Or, on est plus effrayé par l'idée de la consanguinité, que par la cigarette ou l'utilisation d'une voiture... Qui question risque sont des facteurs nettement plus graves.
Cette crainte n'est pas rationnelle.
C'est une superstition d'ordre religieuse.
Et la projection de situation affreuses, qui n'ont en fait rien à voir.
.
On parle plus de passer de 1/1 millions à 1/4
Reproduction asexuée?? Sommes-nous avec des homo sapiens, ou bien antérieur? Était-ce une vie pluricellulaire?