Après la Seconde Guerre mondiale, la France a utilisé la "machine qui accuse" pour retrouver des criminels nazis. Cette machine, fonctionnant via un système de cartes perforées, comparait le criminel à des milliers d'autres provenant des feuilles de détention. La machine triait alors les feuilles jusqu'à sortir une liste de noms potentiels.

Tous les commentaires (23)
Mais comme dans ce film, ce n est pas vraiment la machine qui choisit les noms... le pere klarsfeld et sa bande de tarés de mercenaires s en chargeait! Oui il fallait retrouver et condamner les complices et les coupables de ce carnage mais après la guerre il suffisait pour certains de dire "lui la bas il a aidé les nazis" pour que le mec soit lynché avant même d avoir pu prouver son innocence. Qu on ne comprenne pas de travers ce que je dis, il y a eu des vrais coupables qui ont été condamné, mais il y a également des personnes qui sont, encore aujourd'hui traités de collabo alors qu elles ont sauvés la France.
Pour passer le code de la route.on utiliser ces carte
Système redoutablement efficace n’empêche, employé par exemple dans toute l’Europe occupée par les nazis.
Fortune colossale donc pour la société, allemande, qui commercialisait les machines et les petites cartes perforées.
Fin de la guerre : les relations se rétablissent entre USA et Allemagne. La maison-mère de cette société vient récupérer les profits colossaux, c’était IBM.
(Source : l’excellent livre « IBM et l’holocauste »)