Le killi des mangroves peut s'autoféconder

Proposé par
le
dans

Commentaires préférés (3)

a écrit : Il n'y a pas eu un cas d'autofrcondation d'une femelle requin ces derniers tps ? Un requin zèbre, du nom de Léonie. Elle est à l'aquarium de Townsville, en Australie.

Posté le

android

(120)

Répondre

La Sainte Vierge du royaume des vertébrés quoi.

Posté le

android

(71)

Répondre

a écrit : Ce n'était pas plutôt un "stockage" de sperme ? Si non, sa me fais deux anecdotes en une (bien que je trouve celle du requin plus intéressant dans le cas où c'est avéré) J'ai trouvé ceci sur futurama sciences:

"Léonie et son partenaire ont eu ensemble une vingtaine de petits, puis ont été séparés en 2012. Alors qu'elle n'a pas eu de contact avec d'autres mâles depuis cette date, Léonie  a encore eu trois petits en 2016. Christine Dudgeon de l'université du Queensland à Brisbane (Australie) et ses collègues ont donc enquêté sur ces naissances et décrit leurs résultats dans Science Reports. Une première hypothèse était que Léonie ait conservé des spermatozoïdes de son partenaire, mais les tests génétiques ont montré que les bébés requins n'avaient que de l'ADN de leur mère. Il s'agit donc d'une parthénogénèse."

Tu tiens bien ta deuxième anecdote!

Posté le

android

(249)

Répondre


Tous les commentaires (29)

Il n'y a pas eu un cas d'autofrcondation d'une femelle requin ces derniers tps ?

Auto fécondation !!!!
Waaaa on dirait un super pouvoir bioman
La je me coucherai et me lèverai moins bête

Posté le

android

(6)

Répondre

Killi marrant ce poisson.

Posté le

windowsphone

(8)

Répondre

a écrit : Il n'y a pas eu un cas d'autofrcondation d'une femelle requin ces derniers tps ? Un requin zèbre, du nom de Léonie. Elle est à l'aquarium de Townsville, en Australie.

Posté le

android

(120)

Répondre

Certains lézard entre autres en sont capables, c'est la parthénogenèse...

Posté le

android

(16)

Répondre

a écrit : Un requin zèbre, du nom de Léonie. Elle est à l'aquarium de Townsville, en Australie. Ce n'était pas plutôt un "stockage" de sperme ? Si non, sa me fais deux anecdotes en une (bien que je trouve celle du requin plus intéressant dans le cas où c'est avéré)

Posté le

android

(16)

Répondre

Est ce que ce " mode de reproduction" ne détruit pas le patrimoine génétique d'une espèce..?

Posté le

android

(11)

Répondre

La Sainte Vierge du royaume des vertébrés quoi.

Posté le

android

(71)

Répondre

a écrit : Ce n'était pas plutôt un "stockage" de sperme ? Si non, sa me fais deux anecdotes en une (bien que je trouve celle du requin plus intéressant dans le cas où c'est avéré) J'ai trouvé ceci sur futurama sciences:

"Léonie et son partenaire ont eu ensemble une vingtaine de petits, puis ont été séparés en 2012. Alors qu'elle n'a pas eu de contact avec d'autres mâles depuis cette date, Léonie  a encore eu trois petits en 2016. Christine Dudgeon de l'université du Queensland à Brisbane (Australie) et ses collègues ont donc enquêté sur ces naissances et décrit leurs résultats dans Science Reports. Une première hypothèse était que Léonie ait conservé des spermatozoïdes de son partenaire, mais les tests génétiques ont montré que les bébés requins n'avaient que de l'ADN de leur mère. Il s'agit donc d'une parthénogénèse."

Tu tiens bien ta deuxième anecdote!

Posté le

android

(249)

Répondre

a écrit : J'ai trouvé ceci sur futurama sciences:

"Léonie et son partenaire ont eu ensemble une vingtaine de petits, puis ont été séparés en 2012. Alors qu'elle n'a pas eu de contact avec d'autres mâles depuis cette date, Léonie  a encore eu trois petits en 2016. Christine Dudgeon de l'
université du Queensland à Brisbane (Australie) et ses collègues ont donc enquêté sur ces naissances et décrit leurs résultats dans Science Reports. Une première hypothèse était que Léonie ait conservé des spermatozoïdes de son partenaire, mais les tests génétiques ont montré que les bébés requins n'avaient que de l'ADN de leur mère. Il s'agit donc d'une parthénogénèse."

Tu tiens bien ta deuxième anecdote!
Afficher tout
Dans ce cas, ou celui de l'anecdote,
les petits sont-ils des clones? Ont ils exactement le même ADN que la mère?

Posté le

android

(11)

Répondre

Non Madame je vous jure, je n'ai jamais couché avec un garçon.....

....

Posté le

android

(18)

Répondre

Est-ce que les amphibiens doivent attendre 3 heures, après avoir manger, pour sortir de l'eau ?

Posté le

android

(14)

Répondre

a écrit : Dans ce cas, ou celui de l'anecdote,
les petits sont-ils des clones? Ont ils exactement le même ADN que la mère?
Pour ces deux cas oui, pas d'autres codes génétiques, donc ça sera le même adn. Les ''clones'', je vois plutôt ça sorti d'un labo... La, c'est naturel. Donc je ne pense pas que le mot ''clone'' ne s'applique

Posté le

android

(2)

Répondre

a écrit : Certains lézard entre autres en sont capables, c'est la parthénogenèse... Ça n'a rien à voir puisque la parthénogenèse est la non division de l'ovule qui présentant le nombre de chromosome complet permet la multiplication cellulaire donc un bébé…

Ici il y a auto-fécondation qui comme certaines plantes peuvent se féconder elles-même sans l'intervention d'un autre partenaire sexuel…

a écrit : Ça n'a rien à voir puisque la parthénogenèse est la non division de l'ovule qui présentant le nombre de chromosome complet permet la multiplication cellulaire donc un bébé…

Ici il y a auto-fécondation qui comme certaines plantes peuvent se féconder elles-même sans l'intervention d'un autre partenaire sexuel…
Merci, j'ai compris mon erreur tardivement !!!

Posté le

android

(5)

Répondre

a écrit : Ça n'a rien à voir puisque la parthénogenèse est la non division de l'ovule qui présentant le nombre de chromosome complet permet la multiplication cellulaire donc un bébé…

Ici il y a auto-fécondation qui comme certaines plantes peuvent se féconder elles-même sans l'intervention d'un autre partenaire sexuel…
Je me permets juste de reformuler ta réponse pour vulgarisation...

La parthénogenèse, c'est quand un ovule non fécondé se divise jusqu'à former un embryon, pour finalement aboutir sur un organisme.
L'autofécondation, c'est quand un organisme à la fois mâle et femelle utilise son propre sperme (ou truc dans le genre pour une plante) pour féconder son propre ovule.

Pour faire une comparaison avec le corps humain : la parthénogenèse, c'est une maman (une femme donc) qui fait un bébé toute seule, l'autofécondation, c'est une personne à la fois mâle et femelle qui s'arrange pour faire un bébé avec elle même

Corrige moi si je me trompe !

Posté le

android

(19)

Répondre

Si je ne me trompe, j ai déjà vu un documentaire sur une espèce de poisson des zones abyssales, dont on aurait jamais retrouvé que des femelles. On s est rendu compte par après qu elles n avaient pas/plus besoin de mâles pour se reproduire, et ne donnaient naissance qu à des femelles à leur tour....

Posté le

android

(14)

Répondre

a écrit : Non Madame je vous jure, je n'ai jamais couché avec un garçon.....

....
Ne jurez pas Marie-Thérèse! Ne jurez pas!

Posté le

android

(16)

Répondre

a écrit : La Sainte Vierge du royaume des vertébrés quoi. C'est à se demander comment ce genre de commentaires fait partie des meilleurs.

Posté le

android

(3)

Répondre

a écrit : Si je ne me trompe, j ai déjà vu un documentaire sur une espèce de poisson des zones abyssales, dont on aurait jamais retrouvé que des femelles. On s est rendu compte par après qu elles n avaient pas/plus besoin de mâles pour se reproduire, et ne donnaient naissance qu à des femelles à leur tour.... C'est ce dont parlaient plusieurs personnes dans les commentaires: la parthénogénèse. C'est un «problème» de copie du nombre de chromosome qui engendre une monoploïdie. En effet, ce phénomène résulte de la division d'une gamète femelle (ovocyte).
Il existe 3 formes de parthénogénèses:
• arrhénotoque: les individus obtenus sont tous des mâles ex:abeilles
• thélytoque: les individus obtenus sont tous des femelles ex: pucerons
• deutérotoque: selon les conditions environnementales, les individus sont des mâles ou des femelles ex: dapnées

Source: Vincent Leignel maître de conférence au pôle biologie moléculaire et génétique, université du Maine ( France)

Pour plus d'info il doit exister des articles sur la question, je récite tout simplement mon cours.

Posté le

android

(8)

Répondre