30 ans après la catastrophe de Tchernobyl, la zone a été conquise par les espèces animales telles que le loup, l’ours, le cheval de Prewalsky, le bison, l’élan....Sur la zone de 4 200 km2, l’absence de l’Homme et de ses activités a eu un impact compensant largement les effets négatifs liés à la radioactivité.
Tous les commentaires (71)
L'espérance de vie des chiens de Tchernobyl ne dépasse que rarement les 5 ans..d'ailleurs des associations viennent régulièrement pour soigner et s'occuper de ses animaux domestique abandonnés. Lors de l'évacuation précipité, l'armée a interdit aux habitants de partir avec leurs animaux. Et d'ailleurs ont leur avait dit qu'il serait de retour très rapidement... Aujourd'hui il y a toujours une zone d'exclusion de 20km..
Retournez dans votre grotte d’où la recherche vous a malheureusement sortie !
Vous démontez les contre-arguments scientifiques qui vous sont proposés par de nouvelles excuses à chaque fois...
Renseignez vous sur le nucléaire de manière scientifique plutôt que d’être bêtement dans la contestation de chaque argument !
Je ne perdrai pas de temps pour tenter de vous expliquer, il y a suffisamment de commentaires détaillés au dessus, et un nombre suffisant de vos arguments ont été balayés par les commentaires suivant (le colonialisme de l’Australie et du Canada ? Superphénix a bien été fermé suite à une promesse envers les écolos au moment du gouvernement de cohabitation Chirac 2, vous devriez le savoir si vous êtes de la région... L’extraction de l’Uranium de l’eau de mer fonctionne, mais est simplement plus cher que l’extraction terrestre, etc...)
Vous parlez du piège abscons, mais connaissez vous le biais de confirmation ?!
C’est certain que si vos seules sources sur le nucléaire sont celles du réseau « sortir du nucléaire », vous êtes d’une impartialité à toute épreuve !
Plutôt que d’écrire des mensonges sans aucune preuve, renseignez vous sur des sites scientifiques, l’IRSN, l’ASN, la SFEN, l’AIEA, WANO, l’ONU... qui, contrairement à ce que vous pourrez me répondre dans votre logique complotiste, sont bien indépendants.
Car oui, le rendement de l’extraction de l’uranium dans l’eau de mer est bien supérieur à 1, et en fonction de la technologie d’extraction utilisée et l’utilisation ou non de RNR, cette méthode est largement positive (et de toute manière, les stocks CONNUS sont encore relativement importants, pourquoi parler d’une nécessité d’avoir une méthode alternative sinon par mauvaise foi ?!).
Encore une fois, on vous oppose une réalité scientifique, vous renchérissez par d’autres mensonges, sans jamais affronter la réalité... c’est sans fin... avez vous trop investi dans cette publication pour vous arrêter ?! Tomberiez vous dans un piège abs-con ?! :O
Pour revenir une dernière fois à superphénix, vous ne parlez que de « aurait pu se produire », « peut être pu fonctionner »... Très scientifique comme approche ! Comme je l’ai dit, si vous raisonnez comme ça, retournez dans votre caverne. Toute recherche technologique comporte des risques POTENTIELS (très bien évalués par les études probabilistes et déterministes) et une chance de réussir comme d’échouer, est ce pour cela que l’ensemble de l’humanité doit rester toute sa vie dans son village natal à cultiver son champ plutôt que d’essayer de se développer ? Avec votre vision, je comprend que vous soyez anti nucléaire : pas de besoin en électricité, la force de vos bras doit vous suffire.
L'argument des deux millions de vies sauvées n'est franchement pas très rigoureux scientifiquement parlant (l'inventeur de l'arme à feu à sauvé des milliards de vies puisque Mussolini, Escobar, Hitler et d'autres sont morts par balle...).
Le fait est qu'on sous estime énormément les coûts techniques et financiers du nucléaire : il y a effectivement l'évident problème des déchets qu'on remet éternellement à plus tard, l'entretien des centrales si cher et complexe qu'il est bien souvent bâclé, la construction des nouvelles qui est au moins aussi mal évalué...
Tous ces éléments font que je ne serai pas aussi catégorique quand à l'impossibilité d'un Tchernobyl Français (l'ASN a beaucoup de travail, et il est arrivé qu'on ne passe pas très loin de grosses catastrophes, comme en Décembre 1999...).
N'oublions pas les problème de refroidissement que les canicules récentes nous ont rappelé, et qui remettent également en cause le caractère "non intermittent" de cette énergie.
Même si le nucléaire est très effrayant, les accidents restent très rares, et le nombre de morts qu’ils causent reste très inférieur au nombre de personnes qui seraient mortes de la pollution si on avait utilisé les énergies fossiles à la place.