Qu’est-ce qu’un zythologue ?

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"Zythum", le mot qui a bercé des générations d'élèves de 6ème : c'était le dernier mot du petit Larousse que devait nous acheté nos parents

A savoir que le zythologue implique la connaissance de la bière, comme le sommelier mais aussi le processus de création de la bière, comme un oenologue (sommelier et oenologue étant 2 discipline différentes comme un galeriste et un artiste dans le monde de l'art).
Donc l'amateur de bière n'est pas forcément zythologue.

Voilà un métier pour moi! En plus le nom est sympa, ça fait hyper sérieux dans une discussion


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"Zythum", le mot qui a bercé des générations d'élèves de 6ème : c'était le dernier mot du petit Larousse que devait nous acheté nos parents

A savoir que le zythologue implique la connaissance de la bière, comme le sommelier mais aussi le processus de création de la bière, comme un oenologue (sommelier et oenologue étant 2 discipline différentes comme un galeriste et un artiste dans le monde de l'art).
Donc l'amateur de bière n'est pas forcément zythologue.

Voilà un métier pour moi! En plus le nom est sympa, ça fait hyper sérieux dans une discussion

a écrit : "Zythum", le mot qui a bercé des générations d'élèves de 6ème : c'était le dernier mot du petit Larousse que devait nous acheté nos parents Pourquoi emploies tu un imparfait ? Il s'agit toujours du dernier mot de la langue française ;)

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a écrit : Voilà un métier pour moi! En plus le nom est sympa, ça fait hyper sérieux dans une discussion Apparemment, "biérologue" existe mais c'est beaucoup moins classe.

a écrit : Pourquoi emploies tu un imparfait ? Il s'agit toujours du dernier mot de la langue française ;) Ça dépend du dico. Celui que j'ai sous la main s'arrête à zozoter, d'autres vont jusqu'à zyzomys (genre de mammifères rongeurs australiens de la sous-famille des Murinae). Mais pendant mon collège, c'était zythum. On avait des mots qu'on se refilait en douce, je me rappelle de "anglaiser" (couper le muscle rabatteur de la queue), qui nous faisait ricaner bêtement(?) pendant les récrés. Bon, j'avais 10 ans

Zythologue, mais pas Hippopotomonstrosesquippedaliophobe !

a écrit : Ça dépend du dico. Celui que j'ai sous la main s'arrête à zozoter, d'autres vont jusqu'à zyzomys (genre de mammifères rongeurs australiens de la sous-famille des Murinae). Mais pendant mon collège, c'était zythum. On avait des mots qu'on se refilait en douce, je me rappelle de "anglaiser" (couper le muscle rabatteur de la queue), qui nous faisait ricaner bêtement(?) pendant les récrés. Bon, j'avais 10 ans Afficher tout De même que aller à la page ayant la définition de l'anatomie

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a écrit : "Zythum", le mot qui a bercé des générations d'élèves de 6ème : c'était le dernier mot du petit Larousse que devait nous acheté nos parents Dans le dictionnaire Hachette 1998, c’était "zyzomys" : petit rongeur australien. Finalement Hachette n’était pas porté sur la bière :)

Il existe des écoles en Belgique dans lesquelles on peut se diplômer en Zythologie.

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a écrit : A savoir que le zythologue implique la connaissance de la bière, comme le sommelier mais aussi le processus de création de la bière, comme un oenologue (sommelier et oenologue étant 2 discipline différentes comme un galeriste et un artiste dans le monde de l'art).
Donc l'amateur de bière n'est pas
forcément zythologue. Afficher tout
Ayant fait une formation là-dedans, on apprend plus à déguster, à servir et à décrire une bière qu'à la fabriquer. On nous a appris les bases en ce qui concerne la fabrication mais en Belgique il y a une autre formation qui apprend mieux le brassage. Donc on est plus sommelier qu'oenologue.

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Je reste intimement convaincu que pour le vin seul 10% des gens voient une réelle différence, 40% font du snobisme et 50% sont plus du genre « Si ça buvait pour le gout ça se saurait ».

Attention je ne dis pas qu’il n’y a pas de bons ou de mauvais vins ou qu’il n’y a pas de différence entre un bordeaux et un bourgogne. Je dis juste que j’ai déjà gouté une bouteille à 10 balles de supermarché juste avant un grand cru à 60 euros sans voir une nette différence.

Je m’interroge. Pourquoi est-ce que « boire de l’alcool » fait si viril ? Techniquement l’alcool affaiblit et rend peu fiable : Dans certaines familles on a l’impression le petit verre de digestif est un rituel au même titre que le rasoir… L’autre jour j’ai un collègue qui a déclenché l’hilarité générale en demandant une bière sans alcool. Phrase que j'ai lu dans un article : « Les hommes considèrent comme un fort symbole de virilité la consommation d'alcool et leur propre capacité à la contrôler »
80% des décès entrainés par l’alcool concernent les hommes.
Qu’est ce qui fait que jusqu’à aujourd’hui l’alcool est surtout un produit masculin ?
Est-ce à cause du marketing ? Peut-être que la pub a été un catalyseur du phénomène, mais surement pas à l’origine. Bien avant la pub les hommes étaient de plus gros buveurs que les femmes…
Est-ce à cause d’une théorie évolutionniste ? L’alcool est une drogue… Les femmes ne pouvaient se permettre de terminer ivre-morte sans personne pour s’occuper des gosses.
Je pense que c’est sans doute à cause de la « mise à l’épreuve » que représente l’alcool : il faut le dire, personne n’a jamais apprécié sa première boisson forte. Quand j’étais gamin un copain avait choppé des mignonettes de whisky dans un avion. On les avait descendues en douce dans les toilettes. On avait beau grimacer et trouver ça infâme on ne pouvait s’empêcher de se regarder en hochant la tête d’un air de dire « C’est de la bonne ». La mise à l’épreuve reviendrait un peu à celle de ces guerriers africains qui devaient passer par un affrontement contre une bête fauve pour devenir des hommes. C’est d’autant plus vrai que l’alcool d’autrefois n’était pas comparable avec celui d’aujourd’hui en termes de goût. La pire piquette de supermarché passerait pour un grand cru millésimé au moyen-âge.

a écrit : Je reste intimement convaincu que pour le vin seul 10% des gens voient une réelle différence, 40% font du snobisme et 50% sont plus du genre « Si ça buvait pour le gout ça se saurait ».

Attention je ne dis pas qu’il n’y a pas de bons ou de mauvais vins ou qu’il n’y a pas de différence entre un bordeaux et
un bourgogne. Je dis juste que j’ai déjà gouté une bouteille à 10 balles de supermarché juste avant un grand cru à 60 euros sans voir une nette différence.

Je m’interroge. Pourquoi est-ce que « boire de l’alcool » fait si viril ? Techniquement l’alcool affaiblit et rend peu fiable : Dans certaines familles on a l’impression le petit verre de digestif est un rituel au même titre que le rasoir… L’autre jour j’ai un collègue qui a déclenché l’hilarité générale en demandant une bière sans alcool. Phrase que j'ai lu dans un article : « Les hommes considèrent comme un fort symbole de virilité la consommation d'alcool et leur propre capacité à la contrôler »
80% des décès entrainés par l’alcool concernent les hommes.
Qu’est ce qui fait que jusqu’à aujourd’hui l’alcool est surtout un produit masculin ?
Est-ce à cause du marketing ? Peut-être que la pub a été un catalyseur du phénomène, mais surement pas à l’origine. Bien avant la pub les hommes étaient de plus gros buveurs que les femmes…
Est-ce à cause d’une théorie évolutionniste ? L’alcool est une drogue… Les femmes ne pouvaient se permettre de terminer ivre-morte sans personne pour s’occuper des gosses.
Je pense que c’est sans doute à cause de la « mise à l’épreuve » que représente l’alcool : il faut le dire, personne n’a jamais apprécié sa première boisson forte. Quand j’étais gamin un copain avait choppé des mignonettes de whisky dans un avion. On les avait descendues en douce dans les toilettes. On avait beau grimacer et trouver ça infâme on ne pouvait s’empêcher de se regarder en hochant la tête d’un air de dire « C’est de la bonne ». La mise à l’épreuve reviendrait un peu à celle de ces guerriers africains qui devaient passer par un affrontement contre une bête fauve pour devenir des hommes. C’est d’autant plus vrai que l’alcool d’autrefois n’était pas comparable avec celui d’aujourd’hui en termes de goût. La pire piquette de supermarché passerait pour un grand cru millésimé au moyen-âge.
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Il n'y pas la limite de 300 caractères?

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a écrit : Dans le dictionnaire Hachette 1998, c’était "zyzomys" : petit rongeur australien. Finalement Hachette n’était pas porté sur la bière :) En 1998 ça faisait 34 ans que je n'étais plus en 6ème...

a écrit : Moi je suis zytholique Zytholique Anonyme de surcroît !

a écrit : Il n'y pas la limite de 300 caractères? Ben non
Un grand discours parlant du vin d'un pauvre gars frappé d'agueusie sur un sujet parlant de bière

a écrit : Ayant fait une formation là-dedans, on apprend plus à déguster, à servir et à décrire une bière qu'à la fabriquer. On nous a appris les bases en ce qui concerne la fabrication mais en Belgique il y a une autre formation qui apprend mieux le brassage. Donc on est plus sommelier qu'oenologue. Et donc tu pourrai me/nous renseigner quant au service d'une bière, la fameuse question faut-il faire de la mousse ou pas lorsqu'on sert une bière au verre ?

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a écrit : Et donc tu pourrai me/nous renseigner quant au service d'une bière, la fameuse question faut-il faire de la mousse ou pas lorsqu'on sert une bière au verre ? L’épaisseur de deux doigts de mousse. Pas plus, pas moins.

a écrit : Ben non
Un grand discours parlant du vin d'un pauvre gars frappé d'agueusie sur un sujet parlant de bière
Méa culpa pour le hors-sujet. Pour ma défense, l’œnologie a été évoqué dans l'anecdote!
J'ignorais le sens d'agueusie. J'ai explosé de rire après l'avoir trouvé.