L'image de la marinière est liée à l'univers maritime. Ceci est notamment dû à un décret du 27 mars 1858 qui ajoute ce vêtement à la liste des uniformes officiels des matelots de la Marine nationale. Le décret précise entre autres le nombre de rayures : 21 blanches, encadrées par 20 ou 21 bleues.
Commentaires préférés (3)
Il me semblait que les rayures permettait de voir un homme tombé à la mer. On ne savait pas faire vraiment autre chose que du bleu à l'époque donc des rayures bleus sur tissu blancs permettait de distinguer un homme dans une mer bleu et blanche grâce aux motifs rectiligne.
Mais je crois que cela relève plutôt de la légende vu que la source parle d'un sous-vêtement et non d'un vêtement.
Heureusement, le ciré jaune ou rouge d'aujourd'hui est bien plus voyant. :)
« Il me semblait que les rayures permettaient de voir un homme tombé à la mer. On ne savait pas faire vraiment autre chose que du bleu à l’époque donc des rayures bleues sur tissu blanc permettaient de distinguer un homme dans une mer bleu et blanc, grâce aux motifs rectilignes.
Mais je crois que cela relève plutôt de la légende vu que la source parle d’un sous-vêtement et non d’un vêtement.
Heureusement, le ciré jaune ou rouge aujourd’hui est bien plus voyant. :) »
PS Avant toute remarque, on dit bien « une mer bleu et blanc ». Quand deux ou plusieurs adjectifs de couleur sont coordonnés (unis par « et »), ils restent invariables si l’objet qu’ils qualifient contient toutes les couleurs mentionnées.
Par contre, je trouve étrange le "on ne savait pas vraiment faire autre chose que du bleu a l'époque". Aurais-tu quelques sources ou informations supplémentaires pour faciliter la recherche sur ce sujet s'il te plaît?
De mémoire, il me semblait que le bleu était justement une couleur difficile à faire et chère. Et ce, jusqu'à ce qu'on sache synthétiser l'indigo (avant celà, le pigment venait de l'indigotier, ou bien on utilisait d'autres pigments bleus comme le bleu de prusse, à partir de 1704).
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Il me semblait que les rayures permettait de voir un homme tombé à la mer. On ne savait pas faire vraiment autre chose que du bleu à l'époque donc des rayures bleus sur tissu blancs permettait de distinguer un homme dans une mer bleu et blanche grâce aux motifs rectiligne.
Mais je crois que cela relève plutôt de la légende vu que la source parle d'un sous-vêtement et non d'un vêtement.
Heureusement, le ciré jaune ou rouge d'aujourd'hui est bien plus voyant. :)
Jean Paul Gaultier aime ça.
« Il me semblait que les rayures permettaient de voir un homme tombé à la mer. On ne savait pas faire vraiment autre chose que du bleu à l’époque donc des rayures bleues sur tissu blanc permettaient de distinguer un homme dans une mer bleu et blanc, grâce aux motifs rectilignes.
Mais je crois que cela relève plutôt de la légende vu que la source parle d’un sous-vêtement et non d’un vêtement.
Heureusement, le ciré jaune ou rouge aujourd’hui est bien plus voyant. :) »
PS Avant toute remarque, on dit bien « une mer bleu et blanc ». Quand deux ou plusieurs adjectifs de couleur sont coordonnés (unis par « et »), ils restent invariables si l’objet qu’ils qualifient contient toutes les couleurs mentionnées.
Ce qui est étonnant c'est qu'une tenue vestimentaire militaire ait perduré toutes ces décennies... 1858 ! Je ne crois pas qu'il y ait un autre exemple de telle "durabilité" de l'uniforme dans l'armée française. Vachement "réac" la Marine Nationale :)
Par contre, je trouve étrange le "on ne savait pas vraiment faire autre chose que du bleu a l'époque". Aurais-tu quelques sources ou informations supplémentaires pour faciliter la recherche sur ce sujet s'il te plaît?
De mémoire, il me semblait que le bleu était justement une couleur difficile à faire et chère. Et ce, jusqu'à ce qu'on sache synthétiser l'indigo (avant celà, le pigment venait de l'indigotier, ou bien on utilisait d'autres pigments bleus comme le bleu de prusse, à partir de 1704).
J'imagine que la teinture bleu était la plus facile à faire et la moins chère à produire à l'époque de la mise en place du décret. Avant l'indigotier, on utilisait la guède (ou Pastel des teinturiers) mais je ne suis pas du tout un expert du sujet.
L'étude des couleurs complémentaires est intéressante lorsqu'on veut mettre en service des objets qui "se voient"
- La couleur complémentaire (opposée) du bleu marine est l'orange: d'où la couleur des gilets de sauvetage. C'est l'orange qu'on verra le mieux en mer.
Autre exemple:
- La couleur complémentaire du rouge sombre est le vert-bleu (turquoise): d'où la couleur des blouses de chirurgien, c'est sur du turquoise qu'on verra le mieux le sang.
Les bandes de couleurs représentent les combats naval de la Marine et traditionnellement la tenue de cérémonie des matelots comporte une cravate ( qui est cachée entre la marinière et la vareuse) dont le nœud lâche couvre une bande censée représenter la bataille de Trafalgar.
au debut du 19eme siecle, Napoleon 1er, fera creer dans cette ville, un centre de recherche pour extraire l'amidon de la plante. Ceci reduira le temps a quelques jours, et democratisera l'usage de la teinture. Napoleon fera d'ailleurs user de cette teinture naturelle pour colorer les uniformes de ses soldats.
Source: je vis à Amiens et j'aime beaucoup cette ville.
"Opale" ça te va ?
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Toi tu parles de la surblouse qui se met par dessus et est incinérable.
- une mer bleu sombre.
Or dans ta phrase, bleu et blanc sont dans une position d’adjectif et non liés entre eux, et donc accordable :
- une mer bleue et blanche.
En revanche tu pourrais dire :
-une mer bleu blanc , mais le bleu-blanc cette n’existe pas
Si par contre, il y a de manière distincte des oiseaux verts et des oiseaux bleus alors on écrit : des oiseaux verts et bleus.
www.francaisfacile.com/exercices/exercice-francais-2/exercice-francais-3678.php
www.academie-francaise.fr/questions-de-langue#24_strong-em-couleur-accord-de-l-adjectif-et-du-nom-em-strong