Les pains de raisin permettaient de contourner la prohibition

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Durant la Prohibition aux États-Unis (1920-1933) se vendaient des "pains de raisin" (wine bricks ou grape bricks) destinés à être mélangés à de l'eau. L'emballage stipulait bien qu'il était interdit de le faire fermenter, puis détaillait les étapes interdites de suivre pour obtenir un bourgogne ou un riesling, fait maison.


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a écrit : C'est comme en Suisse, on y trouve des petits coussins parfumés, mais on a pas le droit de les ouvrir pour fumer le contenu, c'est INTERDIT! ^^ Je me rappelle de ce documentaire, diffusé sur m6 il y a plus de 15 ans, dans lequel un jeune homme se rendait dans un commerce pour acheter sa weed. Lorsque le journaliste lui demande si c est pour parfumer ses armoires, le jeune homme se bidonne en lui disant, non, c est pour mettre dans le bain....
On y voyait aussi le sacro saint Bernard Rappaz, dans un entrepôt où il stockait près de 20 tonnes de canna en attente d une législation plus souple...

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Pour moi pas besoin d'être le premier au monde. Si un amateur de vin viens en France et y repart en ce disant un truc du genre « la vache qu’il(s) étai(en)t bon ce(s) vin(s) ! » c’est qu’on est toujours au top et que le savoir-faire des vignerons Français sont toujours là.

En me baladant à St Emilion l'autre jour, j'ai eu cette réflexion.
En fait, cette vallée de producteurs de vin, et tout le culture qui l'entoure, c'est exactement comme si en Colombie les cultivateurs de cocaïne étaient traités en héros, de véritables entrepreneurs garants d'un savoir faire et protecteur d'un terroir, et que les domaines où l'on cultive la coca étaient de riches demeures dans une vallée classée au patrimoine de l'unesco. L'alcool étant une drogue plus dangereuse que la cocaïne, c'est un magnifique exemple de dissonance cognitive au niveau international. Les courtiers en vin ne sont que des dealers de drogue légale en somme.

a écrit : En me baladant à St Emilion l'autre jour, j'ai eu cette réflexion.
En fait, cette vallée de producteurs de vin, et tout le culture qui l'entoure, c'est exactement comme si en Colombie les cultivateurs de cocaïne étaient traités en héros, de véritables entrepreneurs garants d'un savoir f
aire et protecteur d'un terroir, et que les domaines où l'on cultive la coca étaient de riches demeures dans une vallée classée au patrimoine de l'unesco. L'alcool étant une drogue plus dangereuse que la cocaïne, c'est un magnifique exemple de dissonance cognitive au niveau international. Les courtiers en vin ne sont que des dealers de drogue légale en somme. Afficher tout
Le sucre et le café, ainsi que le chocolat sont des drogues, et ont des effets au moins aussi néfastes que l'alcool...

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a écrit : Le sucre et le café, ainsi que le chocolat sont des drogues, et ont des effets au moins aussi néfastes que l'alcool... Même réflexion dans ce cas là, oui le sucre devrait clairement être contrôlé quand au café et chocolat je suis pas certain que les effets soient aussi néfastes, j'ai pas connaissance d'une part de la population accro à ces substances qui ruine son existence dans le seul but d'en consommer. Peut-être que je me trompe

a écrit : Je dirais même qu'on trouve pas un bon croissant en dehors de Lyon!
Blague à part je crois savoir que le problème vient du lait local, un boulanger expatrié en chine ayant même fait venir ses propres vaches pour avoir un beurre adéquat
Je crois que le terroir va beaucoup jouer. Pour le beurre ou le lait, je veux parler de l’herbe et donc de la terre. Pour le whisky, l’ingrédient le plus important serait semble t-il l’eau
Donc même en ramenant des vaches normandes en chine, leur beurre sera différent du beurre normand

a écrit : Je crois que le terroir va beaucoup jouer. Pour le beurre ou le lait, je veux parler de l’herbe et donc de la terre. Pour le whisky, l’ingrédient le plus important serait semble t-il l’eau
Donc même en ramenant des vaches normandes en chine, leur beurre sera différent du beurre normand
Et surtout la tourbe (pour le whisky), elle peut arborer mille saveurs différentes selon l'endroit où on la prélève. C'est don effectivement hautement lié au terroir.