En 1964, la Seine était un fleuve quasiment mort « biologiquement parlant » du fait du très faible taux d’oxygène (moins de 6 mg/l) dans l’eau. Les progrès épuratoires des rejets industriels et domestiques ont permis de ré-oxygéner le fleuve et de passer, en 50 ans, de 3 à 33 le nombre d’espèces de poissons, dont le saumon.
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