Les couteaux de notation pour chanter

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À l’époque de la renaissance, les couteaux de notation étaient des couteaux possédant la gravure d'une partition musicale sur la lame. Ils permettaient aux convives de chanter tous en chœur au début et à la fin du repas à la manière d'un karaoké. Chaque couteau représentait une voix spécifique, indiqué au-dessus de la portée : basse, ténor, contreténor et soprano.


Commentaires préférés (3)

D'après la source, les partitions sur chaque face de la lames correspondent au bénédicité (prière de début de repas) et aux grâces (prière de fin de repas) - ça n'est donc pas un chant récréatif de type karaoké comme l'anecdote le laisse sous-entendre....

Il aurait fallu formuler :
À l’époque de la renaissance, les couteaux de notation étaient des couteaux possédant la gravure d'une partition musicale sur la lame. Ils permettaient aux convives de chanter en chœur les prières de début et de fin du repas. Chaque couteau représentait une voix spécifique, indiqué au-dessus de la portée : basse, ténor, contreténor et soprano.

a écrit : D'après la source, les partitions sur chaque face de la lames correspondent au bénédicité (prière de début de repas) et aux grâces (prière de fin de repas) - ça n'est donc pas un chant récréatif de type karaoké comme l'anecdote le laisse sous-entendre....

Il aurait fallu formuler :
À l’époque de la renaissance, les couteaux de notation étaient des couteaux possédant la gravure d'une partition musicale sur la lame. Ils permettaient aux convives de chanter en chœur les prières de début et de fin du repas. Chaque couteau représentait une voix spécifique, indiqué au-dessus de la portée : basse, ténor, contreténor et soprano. Afficher tout
Merci pour les précisions mais 345 caractères du coup ^^

C'était une touche d'humour en employant l'expression "à la manière de". Je n'ai pas écrit "chant de type karaoké". Outre le manque de place, j'avais aussi peur de saouler les gens en parlant de Benedictio mensae et de Gratiarum actio. Mais tu as raison, la précision avant tout.

Pour les curieux, voila ce que ça donne (à 4:08) :www.youtube.com/watch?v=-mai-7WUbBo&t=1s

Une question reste tout de même en suspens. Les personnes qui pouvaient se payer se genre de couteaux gravés ne coupaient pas eux même leur viande et n'avait donc pas besoin de couteaux. Il est même possible que ces couteaux n'aient jamais servi comme couteaux.

Au restaurant, c’est le serveur qui apporte la note au client, ou l’inverse du coup ? :D


Tous les commentaires (12)

La forge de tels couteaux ne devait pas être simple !!!Gravés par des forgerons mélomanes ???^^
Mais... JMCVMB !!!

"et vive, vive, vive, les gros nich**, les paires de se***, comme des ballons, en pomme, en poire, ovale ou rond, faut du volume sous les tét***..."

a écrit : La forge de tels couteaux ne devait pas être simple !!!Gravés par des forgerons mélomanes ???^^
Mais... JMCVMB !!!
Bug du bouton.

Pouvaient-il quand même les utiliser pour beurrer leurs tartines ? ^^

Fallait qu’ils soient tous de sacrés mélomanes quand même ! Parce que déchiffrer à la volée, c’est pas donné à tout le monde :-)

Là , j'imagine une scène de serial killer où le tueur lève son couteau en fredonnant la musique gravée sur la lame .

D'après la source, les partitions sur chaque face de la lames correspondent au bénédicité (prière de début de repas) et aux grâces (prière de fin de repas) - ça n'est donc pas un chant récréatif de type karaoké comme l'anecdote le laisse sous-entendre....

Il aurait fallu formuler :
À l’époque de la renaissance, les couteaux de notation étaient des couteaux possédant la gravure d'une partition musicale sur la lame. Ils permettaient aux convives de chanter en chœur les prières de début et de fin du repas. Chaque couteau représentait une voix spécifique, indiqué au-dessus de la portée : basse, ténor, contreténor et soprano.

a écrit : D'après la source, les partitions sur chaque face de la lames correspondent au bénédicité (prière de début de repas) et aux grâces (prière de fin de repas) - ça n'est donc pas un chant récréatif de type karaoké comme l'anecdote le laisse sous-entendre....

Il aurait fallu formuler :
À l’époque de la renaissance, les couteaux de notation étaient des couteaux possédant la gravure d'une partition musicale sur la lame. Ils permettaient aux convives de chanter en chœur les prières de début et de fin du repas. Chaque couteau représentait une voix spécifique, indiqué au-dessus de la portée : basse, ténor, contreténor et soprano. Afficher tout
Chipotage !

a écrit : D'après la source, les partitions sur chaque face de la lames correspondent au bénédicité (prière de début de repas) et aux grâces (prière de fin de repas) - ça n'est donc pas un chant récréatif de type karaoké comme l'anecdote le laisse sous-entendre....

Il aurait fallu formuler :
À l’époque de la renaissance, les couteaux de notation étaient des couteaux possédant la gravure d'une partition musicale sur la lame. Ils permettaient aux convives de chanter en chœur les prières de début et de fin du repas. Chaque couteau représentait une voix spécifique, indiqué au-dessus de la portée : basse, ténor, contreténor et soprano. Afficher tout
Merci pour les précisions mais 345 caractères du coup ^^

C'était une touche d'humour en employant l'expression "à la manière de". Je n'ai pas écrit "chant de type karaoké". Outre le manque de place, j'avais aussi peur de saouler les gens en parlant de Benedictio mensae et de Gratiarum actio. Mais tu as raison, la précision avant tout.

Pour les curieux, voila ce que ça donne (à 4:08) :www.youtube.com/watch?v=-mai-7WUbBo&t=1s

Une question reste tout de même en suspens. Les personnes qui pouvaient se payer se genre de couteaux gravés ne coupaient pas eux même leur viande et n'avait donc pas besoin de couteaux. Il est même possible que ces couteaux n'aient jamais servi comme couteaux.

a écrit : Merci pour les précisions mais 345 caractères du coup ^^

C'était une touche d'humour en employant l'expression "à la manière de". Je n'ai pas écrit "chant de type karaoké". Outre le manque de place, j'avais aussi peur de saouler les gens en parlant de Benedic
tio mensae et de Gratiarum actio. Mais tu as raison, la précision avant tout.

Pour les curieux, voila ce que ça donne (à 4:08) :www.youtube.com/watch?v=-mai-7WUbBo&t=1s

Une question reste tout de même en suspens. Les personnes qui pouvaient se payer se genre de couteaux gravés ne coupaient pas eux même leur viande et n'avait donc pas besoin de couteaux. Il est même possible que ces couteaux n'aient jamais servi comme couteaux.
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Il semblerait, à la vue de la lame plutôt large, qu'ils aient pu servir de "pelle à viande" pour le service à table de cette dernière par les serviteurs (un "métier" de "coupeur"de viande semble avoir existé à l'époque, à l'instar du Sommelier pour les boissons).

Au restaurant, c’est le serveur qui apporte la note au client, ou l’inverse du coup ? :D

a écrit : Au restaurant, c’est le serveur qui apporte la note au client, ou l’inverse du coup ? :D Le serveur.. de peur que le repas ne se termine à couteaux tirés… ;-)