Une tonne pour un fichier mp3

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Commercialisé par IBM en 1956, le premier disque dur, l'IBM 350, pesait plus d'une tonne et coutait 50 000 dollars. Il pouvait alors stocker 5 Mo, soit environ l'équivalent d'un seul fichier MP3 ou d'une seule photographie de smartphone. En 5 ans, IBM a tout de même réussi à en vendre un millier.


Commentaires préférés (3)

a écrit : IBM 350 c'est le nom de l'ordinateur, le disque s'appelait IBM RAMAC 305 C'est l'inverse...

RAMAC pour "Random Access Method of Accounting and Control"

L'IBM 350 avait une vitesse de rotation de 1 200 tpm et un débit de 8 800 caractères par seconde. C'était donc très très très lent ^^. Aujourd'hui on est à 7200 tpm et plus de 200 Mo/s pour du HDD standard.

Sans parler maintenant des nouveaux SSD NVMe qui culminent presque à 3 500 Mo/s ... ça va vite !

Faut voir ce qu'on pouvait faire à l'époque avec une telle puissance de calcul et l'innovation que ça représentait. Je trouve que la comparaison avec le poids d'un MP3 ou d'une photo n'est pas du tout pertinente.

Je rajoute quelques précisions :

C’était 3200$ par mois de location soit près de 40000$ par an. Ces ordinateurs n’étaient pas vendus la plupart du temps mais loués par les entreprises.

Le principal avantage de ce disque dur est ce qu’on appelle l’accès direct. En effet sur les quelques millions de caractères stockés (5 millions en 7 bits) on pouvait accéder directement à l’information car l’ordinateur sélectionnait le disque et la piste mécaniquement. Auparavant on utilisait des pistes perforées qu’il fallait dérouler entièrement pour accéder à un information donnée.

Ces ordinateurs permettaient principalement de stocker une grosse compatibilité d’entreprise et d’y ajouter des lignes de débit ou de crédit tout au long de l’année. Un usage plutôt intéressant pour l’époque.


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IBM 350 c'est le nom de l'ordinateur, le disque s'appelait IBM RAMAC 305

a écrit : IBM 350 c'est le nom de l'ordinateur, le disque s'appelait IBM RAMAC 305 C'est l'inverse...

RAMAC pour "Random Access Method of Accounting and Control"

L'IBM 350 avait une vitesse de rotation de 1 200 tpm et un débit de 8 800 caractères par seconde. C'était donc très très très lent ^^. Aujourd'hui on est à 7200 tpm et plus de 200 Mo/s pour du HDD standard.

Sans parler maintenant des nouveaux SSD NVMe qui culminent presque à 3 500 Mo/s ... ça va vite !

5Mo je crois c'est a peu pres la Bible pour se donner une idee. Donc pas toute une bibliotheque. j'imagine que le but n’était pas de garder l'info très longtemps sur le DD, sinon autant acheter le livre directement ca prend moins de place

On pourra remarquer que, même si l'informatique a fait des progrès considérables, c'était quand même une capacité de stockage importante car les disquettes n'ont jamais fait autant, même les double face double densité ! Alors que d'autres disques durs ont été avantageusement remplacés par des disquettes par la suite.

Faut voir ce qu'on pouvait faire à l'époque avec une telle puissance de calcul et l'innovation que ça représentait. Je trouve que la comparaison avec le poids d'un MP3 ou d'une photo n'est pas du tout pertinente.

Je rajoute quelques précisions :

C’était 3200$ par mois de location soit près de 40000$ par an. Ces ordinateurs n’étaient pas vendus la plupart du temps mais loués par les entreprises.

Le principal avantage de ce disque dur est ce qu’on appelle l’accès direct. En effet sur les quelques millions de caractères stockés (5 millions en 7 bits) on pouvait accéder directement à l’information car l’ordinateur sélectionnait le disque et la piste mécaniquement. Auparavant on utilisait des pistes perforées qu’il fallait dérouler entièrement pour accéder à un information donnée.

Ces ordinateurs permettaient principalement de stocker une grosse compatibilité d’entreprise et d’y ajouter des lignes de débit ou de crédit tout au long de l’année. Un usage plutôt intéressant pour l’époque.

5Mo, ce devait être énorme pour l’époque, plus de 40 ans plus tard, mon premier PC avait un disque dur de 20 Mo….
Autant dire que les photos n’avaient pas la même définition que maintenant et que les programmes étaient beaucoup plus petits en taille (si, si, j’utilisais Windows sans soucis sur ce PC ;)). Il fallait être imaginatif pour utiliser le minimum d’espace mémoire et disque…
Par exemple : les dates étaient codées sur 2 chiffres… ce qui a donné des sueurs froides lors du passage à l’an 2000 (moment à partir duquel on ne pouvait plus supposer que l’année commençait par 19…). Pas mal de gens ont dû passer les programmes/données en revue et s’assurer que toutes les dates étaient encodées sur 4 chiffres…. pas de soucis pour trouver un job dans l’informatique fin des années 90 ;)

a écrit : 5Mo, ce devait être énorme pour l’époque, plus de 40 ans plus tard, mon premier PC avait un disque dur de 20 Mo….
Autant dire que les photos n’avaient pas la même définition que maintenant et que les programmes étaient beaucoup plus petits en taille (si, si, j’utilisais Windows sans soucis sur ce PC ;)). Il fall
ait être imaginatif pour utiliser le minimum d’espace mémoire et disque…
Par exemple : les dates étaient codées sur 2 chiffres… ce qui a donné des sueurs froides lors du passage à l’an 2000 (moment à partir duquel on ne pouvait plus supposer que l’année commençait par 19…). Pas mal de gens ont dû passer les programmes/données en revue et s’assurer que toutes les dates étaient encodées sur 4 chiffres…. pas de soucis pour trouver un job dans l’informatique fin des années 90 ;)
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Il me semble que tu confonds disque dur et mémoire vive, notre premier PC, en 1995, qui était bien mais loin d'être une bête de course, avait un disque dur de 1.6 GO.

@Tybs, merci pour les précisions, j'avais du mal à comprendre, effectivement, l'engin de l'anecdote est un véritable disque dur, j'imagine que ca devait prendre du temps pour le défragmenter...

Les disques étaient magnétiques, hein, c'était pas des microsillons??? ^^

a écrit : Il me semble que tu confonds disque dur et mémoire vive, notre premier PC, en 1995, qui était bien mais loin d'être une bête de course, avait un disque dur de 1.6 GO.

@Tybs, merci pour les précisions, j'avais du mal à comprendre, effectivement, l'engin de l'anecdote est un véritable dis
que dur, j'imagine que ca devait prendre du temps pour le défragmenter...

Les disques étaient magnétiques, hein, c'était pas des microsillons??? ^^
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Tu te situes probablement, dans la chronologie, bien après l'exemple donné par la personne à laquelle tu réponds. Les capacités augmentent très vite : à quelques années d'écart, les capacités ne sont pas comparables. Eh oui, les disques durs des PC faisaient 20 Mo à une époque. Le mien, vers 1986, faisait 30 Mo, ce qui était déjà énome, et d'ailleurs j'étais obligé de faire deux partitions (C: et D:) parce que le système ne pouvait gérer que 20 Mo par unité ! La mémoire vive se mesurait en kilo-octets, en général c'était 512 ko (on pouvait trouver 640 ko mais c'était déjà une bête de course), mais, quand j'étais étudiant, je veillais à ce que les programmes que je développais puissent tourner sur des modèles plus anciens qui n'avaient que 128 ko de mémoire vive ! Et je ne parle même pas des fréquences d'horloge des matériels de l'époque !

Concernant les disques durs, oui : c'était magnétique et on pouvait d'ailleurs s'en rendre compte facilement car on pouvait manipuler les disques ! Ils étaient à peu près de la taille des 33 tours en vinyle qu'on mettait sur son tourne-disque, mais ça n'avait rien à voir car c'étaient des disques en aluminium recouverts d'un couche magnétisable couleur rouille (comme la bande magnétique des magnétophones à bande ou des cassettes audio) et il me semble que le trou au centre était assez gros. On les empilait sur des axes qui les maintenaient à environ 1 cm les uns des autres pour que les têtes de lecture puissent passer entre les disques (mais ils étaient sous des capots transparents quand ils se mettaient à tourner, on ne risquait quand même pas de se faire découper la main en tranches si on s'approchait)... Nostalgie, nostagie... Si jamais tu te demandes si je suis centenaire : quand même pas, j'ai connu les premiers PC mais quand j'ai vu des disques durs comme ceux que j'ai décrit, c'étaient déjà des vieilleries qui n'étaient plus utilisées.

a écrit : C'est l'inverse...

RAMAC pour "Random Access Method of Accounting and Control"

L'IBM 350 avait une vitesse de rotation de 1 200 tpm et un débit de 8 800 caractères par seconde. C'était donc très très très lent ^^. Aujourd'hui on est à 7200 tpm et plus de 200
Mo/s pour du HDD standard.

Sans parler maintenant des nouveaux SSD NVMe qui culminent presque à 3 500 Mo/s ... ça va vite !
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Et encore... Il y en a (pour les particulier) pour les plus performant, vont jusqu'a 7500Mo en Lecture et 6200Mo en écriture !! C'est dire, dans 5 ans ça sera encore plus fou !

a écrit : Tu te situes probablement, dans la chronologie, bien après l'exemple donné par la personne à laquelle tu réponds. Les capacités augmentent très vite : à quelques années d'écart, les capacités ne sont pas comparables. Eh oui, les disques durs des PC faisaient 20 Mo à une époque. Le mien, vers 1986, faisait 30 Mo, ce qui était déjà énome, et d'ailleurs j'étais obligé de faire deux partitions (C: et D:) parce que le système ne pouvait gérer que 20 Mo par unité ! La mémoire vive se mesurait en kilo-octets, en général c'était 512 ko (on pouvait trouver 640 ko mais c'était déjà une bête de course), mais, quand j'étais étudiant, je veillais à ce que les programmes que je développais puissent tourner sur des modèles plus anciens qui n'avaient que 128 ko de mémoire vive ! Et je ne parle même pas des fréquences d'horloge des matériels de l'époque !

Concernant les disques durs, oui : c'était magnétique et on pouvait d'ailleurs s'en rendre compte facilement car on pouvait manipuler les disques ! Ils étaient à peu près de la taille des 33 tours en vinyle qu'on mettait sur son tourne-disque, mais ça n'avait rien à voir car c'étaient des disques en aluminium recouverts d'un couche magnétisable couleur rouille (comme la bande magnétique des magnétophones à bande ou des cassettes audio) et il me semble que le trou au centre était assez gros. On les empilait sur des axes qui les maintenaient à environ 1 cm les uns des autres pour que les têtes de lecture puissent passer entre les disques (mais ils étaient sous des capots transparents quand ils se mettaient à tourner, on ne risquait quand même pas de se faire découper la main en tranches si on s'approchait)... Nostalgie, nostagie... Si jamais tu te demandes si je suis centenaire : quand même pas, j'ai connu les premiers PC mais quand j'ai vu des disques durs comme ceux que j'ai décrit, c'étaient déjà des vieilleries qui n'étaient plus utilisées.
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Il a écrit: plus de 40 ans plus tard, plus de 40 ans plus tard c'est au delà de 1996, en 1986 oui ca colle, alors il s'est gourré soit dans la date, soit dans le matos. Ce n'est pas grave, ca arrive, mais ca m'a fait tiquer. ;)

P.S, je plaisantais quand je parlais de microsillons (m'enfin^^) J'ai bien compris que c'était un vrai disque dur qui marche (presque) comme marchent les actuels (la tête de lecture se déplace d'un disque à l'autre sur le modèle de 1956, ca a l'air d'être la seule différence de fonctionnement)

a écrit : Faut voir ce qu'on pouvait faire à l'époque avec une telle puissance de calcul et l'innovation que ça représentait. Je trouve que la comparaison avec le poids d'un MP3 ou d'une photo n'est pas du tout pertinente. j’ai pensé la meme chose, effectivement la comparaison avec 5mo d’aujourd’hui peut induire en erreur. tout ce qu’on pouvais faire avec 5mo a l’époque…

a écrit : Il a écrit: plus de 40 ans plus tard, plus de 40 ans plus tard c'est au delà de 1996, en 1986 oui ca colle, alors il s'est gourré soit dans la date, soit dans le matos. Ce n'est pas grave, ca arrive, mais ca m'a fait tiquer. ;)

P.S, je plaisantais quand je parlais de microsillons (m
9;enfin^^) J'ai bien compris que c'était un vrai disque dur qui marche (presque) comme marchent les actuels (la tête de lecture se déplace d'un disque à l'autre sur le modèle de 1956, ca a l'air d'être la seule différence de fonctionnement) Afficher tout
Je me doutais que tu savais que ce n'étaient pas des vinyles microsillon mais j'avais quand même envie de les décrire puisque j'ai eu l'occasion d'én voir et de les manipuler.

a écrit : Il a écrit: plus de 40 ans plus tard, plus de 40 ans plus tard c'est au delà de 1996, en 1986 oui ca colle, alors il s'est gourré soit dans la date, soit dans le matos. Ce n'est pas grave, ca arrive, mais ca m'a fait tiquer. ;)

P.S, je plaisantais quand je parlais de microsillons (m
9;enfin^^) J'ai bien compris que c'était un vrai disque dur qui marche (presque) comme marchent les actuels (la tête de lecture se déplace d'un disque à l'autre sur le modèle de 1956, ca a l'air d'être la seule différence de fonctionnement) Afficher tout
Désolé pour la confusion… en effet, c’était bien environ 30 ans plus tard… Merci à Nicontrarié et Lflfelf d’avoir corrigé ma coquille ;)

a écrit : Faut voir ce qu'on pouvait faire à l'époque avec une telle puissance de calcul et l'innovation que ça représentait. Je trouve que la comparaison avec le poids d'un MP3 ou d'une photo n'est pas du tout pertinente. Je suis d'accord. À l'époque le but n'était pas de stocker une musique ou des photos dessus mais plutôt à stocker de nombreux fichiers textes. On se basait plus sur les données scientifiques importante comme des calculs, que sur des fichiers multimédia de divertissement.

Sur la photo, on voit aussi que le gros progres technique sera le hayon élévateur et le transpalette...

a écrit : Il me semble que tu confonds disque dur et mémoire vive, notre premier PC, en 1995, qui était bien mais loin d'être une bête de course, avait un disque dur de 1.6 GO.

@Tybs, merci pour les précisions, j'avais du mal à comprendre, effectivement, l'engin de l'anecdote est un véritable dis
que dur, j'imagine que ca devait prendre du temps pour le défragmenter...

Les disques étaient magnétiques, hein, c'était pas des microsillons??? ^^
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C'est amusant de parler de défragmentation à propos de ce disque dur. C'est une blague qui fleure bon la nostalgie des utilisateurs des premiers PC. Mais ça reste une blague car la défragmentation c'était seulement pour les PC (les ordinateurs d'IBM et compatibles qui tournaient sous MS-DOS), parce que la gestion du disque dur était merdique. Eh oui ! Bill Gates a bâti son empire avec un système d'exploitation merdique. La plupart des systèmes d'exploitation n'avaient pas besoin de défragmentation car ils ne fragmentaient pas les fichier, et donc je pense qye c'est un anachronisme de parler de défragmentation à propos de ce disque dur. Et même dire "disque dur" me semble être un anachronisme car la disquette souple est arrivée plus de 10 ans après ce "disque dur" et donc je suppose que avant l'arrivée des disquettes, on ne précisait pas "dur" en parlant du stockage sur disques.

a écrit : C'est amusant de parler de défragmentation à propos de ce disque dur. C'est une blague qui fleure bon la nostalgie des utilisateurs des premiers PC. Mais ça reste une blague car la défragmentation c'était seulement pour les PC (les ordinateurs d'IBM et compatibles qui tournaient sous MS-DOS), parce que la gestion du disque dur était merdique. Eh oui ! Bill Gates a bâti son empire avec un système d'exploitation merdique. La plupart des systèmes d'exploitation n'avaient pas besoin de défragmentation car ils ne fragmentaient pas les fichier, et donc je pense qye c'est un anachronisme de parler de défragmentation à propos de ce disque dur. Et même dire "disque dur" me semble être un anachronisme car la disquette souple est arrivée plus de 10 ans après ce "disque dur" et donc je suppose que avant l'arrivée des disquettes, on ne précisait pas "dur" en parlant du stockage sur disques. Afficher tout Le besoin de défragmentation est inhérent au fonctionnement d'un disque dur pas à celui d'un OS. Tant qu'on ne fait qu'ajouter des fichiers il n'y a pas de problème. Mais dès lors qu'on en efface on récupère de l'espace de stockage disponible mais morcelé. Au bout d'un moment aller chercher les différents morceaux ralenti la lecture donc il faut défragmenter pour réordonner les données stockées et donc gagner en efficacité.

a écrit : Le besoin de défragmentation est inhérent au fonctionnement d'un disque dur pas à celui d'un OS. Tant qu'on ne fait qu'ajouter des fichiers il n'y a pas de problème. Mais dès lors qu'on en efface on récupère de l'espace de stockage disponible mais morcelé. Au bout d'un moment aller chercher les différents morceaux ralenti la lecture donc il faut défragmenter pour réordonner les données stockées et donc gagner en efficacité. Afficher tout Tu affirmes ça comme si c'était une vérifié universelle. Mais je suis au regret de t'informer que, si tu crois ça, c'est uniquement parce que tu as bien appris la leçon de Bill Gates, qui a réussi à te faire croire que la fragmentation est inhérente aux disques durs et n'a rien à voir avec son OS merdique... Il était bien meilleur en marketing qu'en informatique, apparemment. Le disque dur lui-même n'est pas responsable de la fragmentation, il se contente d'écrire ou lire les données là où le système lui dit de le faire. C'est bien le DOS (Disk Operating System) de l'ordinateur qui gère la manière dont sont stockés les fichiers sur le disque, et c'est là qu'intervient le système de fichiers FAT de MS-DOS (repris par Windows mais abandonné dans les versions les plus récentes de Windows au profit du nouveau système NTFS) qui est particulièrement merdique, alors qu'on faisait déjà beaucoup mieux à l'époque, avec UNIX par exemple. Tu peux utiliser le même disque avec UNIX (ou sa version dérivée la plus courante actuellement : Linux) et il n'aura pas besoin d'être défragmenté ! Tout simplement parce qu'un système conçu intelligemment laisse beaucoup de place autour des fichiers (tant qu'il y a de la place libre) pour leur permettre de s'agrandir sans être fragmentés et qu'il peut déplacer des fichiers si besoin sans qu'il y ait besoin de lancer un traitement spécial pour ça. Et d'ailleurs il n'y a pas de traitement de défragmentation dans les systèmes UNIX ou Linux ! Je pense que le succès de la défragmentation n'est pas dû à un soudain intérêt des utilisateurs pour la technique mais plutôt au joli utilitaire qui faisait clignoter des petites cases sur l'écran pendant la défragmentation pour arriver finalement à un joli résultat bien propre. C'est un très bon coup de marketing de réussir à faire un utilitaire aussi joli et apparemment indispensable pour palier les déficiences d'un système merdique. Moi aussi j'adorais regarder ça !