Le peintre postimpressionniste Pierre Bonnard était tellement perfectionniste qu'il lui arrivait d'aller retoucher ses toiles directement dans les musées où elles étaient exposées, à l'insu des gardiens. Ce comportement a donné le verbe "bonnarder".
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Le peintre postimpressionniste Pierre Bonnard était tellement perfectionniste qu'il lui arrivait d'aller retoucher ses toiles directement dans les musées où elles étaient exposées, à l'insu des gardiens. Ce comportement a donné le verbe "bonnarder".
Tous les commentaires (46)
Wow, ok, je vais me coucher doublement moins bête, j'ai parlé à travers mon chapeau en affirmant la pleine autorité du propriétaire. Je trouve votre explication très intéressante quoique difficilement applicable. C'est un peu comme si un auteur compositeur réclamait le retour de ses albums pour y effectuer un changement dans une de ses chansons. Si cela est possible pour un peintre théoriquement ça devrait l'être pour tout autre artiste? (Le sculpteur, le photographe, etc) ;)
Toutes les œuvres littéraires et artistiques sont protégées selon les mêmes principes.
Pour y voir plus clair :
fr.wikipedia.org/wiki/Propri%C3%A9t%C3%A9_intellectuelle#La_propri.C3.A9t.C3.A9_litt.C3.A9raire_et_artistique
www.village-justice.com/articles/Les-conditions-pour-reprendre-une,20608.html
www.unesco.org/fileadmin/MULTIMEDIA/HQ/CLT/diversity/pdf/WAPO/ABC_Copyright_fr.pdf
La dernière référence est longue mais complète, de quoi se coucher vraiment moins bête ...
Le diable se cache dans les moindres détails. Être perfectionniste c'est bien, mais il faut savoir se limiter!
Ou pire ! Son nom aurait pu commencer par un "c" ;)
Je comprends car j ai le même problème en musique, mais rien ne vaut le premier jet! Parfois on crois améliorer mais c est la qu on se plante, c est juste une satisfaction éphémère.
Il se faisait "technicien du SAV" : )
C'est rigolo avec ce nom, on pourrait imaginer que cela ne vient pas d'un patronyme mais plutôt de "rendre meilleur" car on dit bien en France, aussi sans que ce soit péjoratif, "c'est bonnard", que ce soit à Paris ou à Marseille.
Une oeuvre d'art n'est jamais terminée, on ne fait que l'abandonner.