Mussolini fut instituteur

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a écrit : Les diverses tentatives de construction de «l'homme nouveau» ont provoqué, de par le monde, la mort de 65 à 85 millions de personnes. Deux mille fois plus toxique que le corona virus! Les non-tentatives ont aussi leur lot de problèmes.

L'idée n'est pas ici de défendre le communisme, et surtout pas ses applications immondes, comme au Cambodge, mais tout système politique et économique créé son lot de désavantagés et de morts.

9 millions de personnes meurent de famine chaque année. Si ce sont des morts extérieurs aux pays dominants, on peut questionner notre impact sur ce chiffre.
Il ne s'agit pas ici de parler d'aides financières insuffisantes, mais d'impacts négatifs, à travers des dictateurs soutenus, ou des échanges économiques injustes empêchant tout essor économique des pays Africains.

De même, la pauvreté inhérente au capitalisme a son lot de morts, comme on peut l'observer aux USA.
Quand on mentionne le communisme, il faut aussi le replacer historiquement. La condition ouvrière qui a précédé le communisme était atroce, et extrêmement mortelle. On va pas partir dans du Germinal avec notre cher Renaud, mais sans syndicalisme et "menace" communiste, les mauvaises conditions de travail auraient pu (je mesure que c'est un raisonnement basé sur du sable, il est juste à titre de réflexion, pas à titre d'argument véridique et chiffré) tuer énormément également.

Enfin, et surtout, notre incapacité à créer un "Homme nouveau" est en train de saccager la planète.
Ici, nulle comparaison avec le "communisme" mis en place : il était productiviste et polluait aussi.
Mais, et ça fait écho aux morts de famine, c'est pour cela que j'en ai parlé, on parle déjà de 300.000 morts/an actuel, chiffre qui passerait a 500.000/an dans 10 ans.
Pire, si tu pars du côté des collapsologues, on t'annonce la mort de 50% des humains, entre soif, faim, maladies.
Maladies dont le CoronaVirus, pour boucler sur ta comparaison humoristique.

Tout ça pour dire que d'inventer l'homme nouveau, c'était surement une très mauvaise idée.
Mais peut-être pas pire que celle de ne pas essayer.

a écrit : Oui ! Il est issu d’une famille communiste, c’est lui-même un syndicaliste notoire, révolutionnaire, favorable à la dictature du prolétariat, ses très nombreuses actions sur le terrain toujours en opposition aux « patrons » font de lui un communiste convaincu. Il est d’ailleurs premièrement connu pour l’agitation qu’il causait. Il refuse le courant socialiste qui voudrait réformer en faveur des ouvriers et préfère la révolution, il formera alors une milice pour renverser le capitalisme. À l’entrée en guerre de l’Italie il sera en désaccord avec son parti qui préconisait la non-intervention. Il rejoindra alors les faisceaux (ultra-gauche favorable à la guerre). Déçu que la guerre ne mène pas à la révolte sociale qu’il attendait, son positionnement politique change un peu, gardant les idées de l’ultra-étatisme, de mettre fin à la religion, mais avec une dimension toute autre sur la nation italienne. Complètement balayé aux élections, le parti deviendra un parti de droite, passant de l’extrême-gauche à l’extrême-droite (qui sont en réalité bien plus proches qu’on ne veut le dire). Son programme passe à une volonté extrême d’imposer l’ordre, et ensuite il prendra le pouvoir. Une fois au commande de l’Italie c’est bien un programme d’extrême-droite tourné vers l’ordre, l’armée, la gloire de l’Italie (en faisant souvent référence à l’Empire Romain) qui sera appliqué et non un programme communiste (l’ordre est préféré à la révolution donc le droit de grève est supprimé par lui qui en avait tant fait usage par exemple). Donc Mussolini communiste évidemment ! Son régime non ! (Mais on se doit de condamner si bien l'application fasciste que les racines communistes ayant mené à la dictature en Italie) Afficher tout "l’extrême-gauche à l’extrême-droite (qui sont en réalité bien plus proches qu’on ne veut le dire)"

Tu peux étayer?

Ce n'est pas pour te mettre en difficulté, mais le fait de passer sémantiquement du populisme aux populismeS me semble assez récent, et j'ai bien du mal à en comprendre la logique.
Les deux extrêmes (en supposant qu'il n'y en ait que deux, ce avec quoi je ne suis pas du tout d'accord) ne défendent ni les même idées, ni les même valeurs, et passent leur temps à s'écharper.

Ou si quelqu'un d'autre veut bien m'éclairer sur ce point, ou me donner des sources intéressantes.

a écrit : Et de quelles leçons de l'histoire se sont servi les différents gouvernants européens et particulièrement ceux de France pour en arriver à l'état de délabrement que nous connaissons aujourd'hui.
Les citations du genre : pour préparer l'avenir il faut tenir compte du passé etc etc ne sont que
des belles phrases philosophiques. Les politiques et les grosses industries n'en ont rien à battre, il agissent dans leurs intérêts du moment sans tenir compte de ce que leur choix aura comme conséquences.
Et les conséquences nous les avons sous les yeux, accroissement de la pauvreté, insécurité, peur de l'avenir et donc montée galopante du fascisme et la peur d'une guerre civile.
Alors bien sûr que le fascisme et l'ultra nationalisme c'est l'horreur, mais j'en reviens à ma phrase d'intro et n'est-ce pas une période que nous avons déjà connu en Europe.
Donc non, nos dirigeants ne tiennent aucun compte du passé et font sans cesse les mêmes erreurs qui nous emmènent au même résultat.
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Si tu arrives à prouver que l’insécurité et la pauvreté ont augmenté en France ces 20 dernières années, je te tire mon chapeau car les chiffres disent le contraire.
Les écarts entre pauvres et riches ont certes fortement augmenté mais la pauvreté globale, non.

a écrit : Si tu arrives à prouver que l’insécurité et la pauvreté ont augmenté en France ces 20 dernières années, je te tire mon chapeau car les chiffres disent le contraire.
Les écarts entre pauvres et riches ont certes fortement augmenté mais la pauvreté globale, non.
Essaie d'observer autour de toi et ne fais pas trop confiance aux chiffres donnés par les institutions étatiques.

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a écrit : Et de quelles leçons de l'histoire se sont servi les différents gouvernants européens et particulièrement ceux de France pour en arriver à l'état de délabrement que nous connaissons aujourd'hui.
Les citations du genre : pour préparer l'avenir il faut tenir compte du passé etc etc ne sont que
des belles phrases philosophiques. Les politiques et les grosses industries n'en ont rien à battre, il agissent dans leurs intérêts du moment sans tenir compte de ce que leur choix aura comme conséquences.
Et les conséquences nous les avons sous les yeux, accroissement de la pauvreté, insécurité, peur de l'avenir et donc montée galopante du fascisme et la peur d'une guerre civile.
Alors bien sûr que le fascisme et l'ultra nationalisme c'est l'horreur, mais j'en reviens à ma phrase d'intro et n'est-ce pas une période que nous avons déjà connu en Europe.
Donc non, nos dirigeants ne tiennent aucun compte du passé et font sans cesse les mêmes erreurs qui nous emmènent au même résultat.
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Mouai.... comme dit Sangoky les chiffres indiquent le contraire pour la pauvreté et basé un jugement sur ton expérience ou “ce que tu vois autour de toi” ne fonctionne pas. Je doute qu’un Bolloré voit la même chose autour de lui que toi. Donc ça ne fonctionne pas.

Pour l’insécurité, je pense que tu te réfères plutôt au sentiment d’insécurité.

Mais surtout tu sais ce qui a changé c’est 20 dernières années ? Internet et les réseaux sociaux, et leur influence. C’est parfait pour manipuler les gens, leurs donner un faux sentiment d’insécurité et de peur de “guerre civile”.
Comme le gros problème des fake news que nous commençons, à peine, à essayer de traiter.
Ça a bien fait ses preuves dans d’autre pays. Et ça, notre gouvernement, comme n’importe quel autre, ne peu pas vraiment y faire grand chose.

Attention, je ne dis pas que nos gouvernements sont parfaits, je pense seulement que ton raisonnement n’est pas juste.

a écrit : Essaie d'observer autour de toi et ne fais pas trop confiance aux chiffres donnés par les institutions étatiques. Alors tu parles du sentiment de pauvreté et du sentiment d’insécurité qui augmente et effectivement les sondages le disent.

Cela reste du ressenti soumis à de nombreux biais cognitifs.

a écrit : Alors tu parles du sentiment de pauvreté et du sentiment d’insécurité qui augmente et effectivement les sondages le disent.

Cela reste du ressenti soumis à de nombreux biais cognitifs.
Je suis d'accord avec vous. De plus, tout dépend de ce que l'on appelle pauvreté. Sont-ce les 10% de la population qui gagnent/possèdent le moins? Ceux qui le mangent pas à leur faim faute de moyens ? La définition exacte reste à débattre.

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a écrit : La dernière phrase de l'anecdote, pourrait porter à confusion.
Mussolini est revenu en Italie, suite à une amnistie qui supprimait sa condamnation à une année de prison, pour ne pas avoir effectué son service militaire. Service qu'il effectuera d'ailleurs ultérieurement, pour une période de deux
ans, à Vérone.


De tout, un peu.
Quelques autres anecdotes et curiosités à propos de Benito Mussolini.

Plusieurs documents attestent que Mussolini fut, en 1917 et 1918, à la solde du MI5, les Services Secrets Britanniques, pour un salaire hebdomadaire de 100 livres sterling. Pour une personne qui avait des idées de Gauche quand il se lança en Politique, ce salaire était plus que généreux, car il représenterait aujourd'hui, un revenu de 6400 €uros, chaque semaine.

Margheritta Sarfatti était une de ses amantes. C'était une écrivaine issue d'une riche famille Juive Vénitienne. Elle écrivit la biographie de Mussolini, livre qui deviendra un succès commercial international, traduit dans de nombreuses langues, dont le Turc ou le Japonais.
Quand les Lois Antisémites apparurent en Italie en 1938, elle abandonnera son pays et son amant, pour vivre en Argentine et en Uruguay.
Sa sœur fut malheureusement arrêtée, déportée et assassinée à Auschwitz.

Alors que l'idéologie Fasciste Italienne prônait les valeurs de la famille traditionnelle, Mussolini était un véritable coureur de jupons qui n'hésitait pas a tromper et sa femme, Ida Dasler, et son amante. On lui prête d'avoir fait détruire les registres de mariage religieux de sa première femme (Ida), et l'acte de naissance de son premier fils, Benito Albino. Toujours est-il que quand il accède au Pouvoir, il fait interner Ida dans un asile, où elle décédera. Son fils Benito suivra le même chemin.

Rachelle Guido fut sa femme officielle. Elle était tout aussi infidèle que son mari. Mari qui était appelé "Il duce" par ses admirateurs... Et "il cornuto" par ses détracteurs.

Mussolini fut fusillé par les Partisans, le 28 avril 1945. Il était alors accompagné par son amante du moment, Clara Petacci. Clara fournissait Mussolini d'un médicament appelé Hormovin, produit par un laboratoire pharmaceutique Allemand. Le Hormovin est considéré comme le précurseur de l'actuel Viagra.
Elle, 29 ans plus jeune que Mussolini, coucha un millier de pages d'écriture, contant la vie publique, privée et intime du Duce, narrant jusqu'à sa brutalité, ses manies et ses vices sexuels.

Adolf Hitler et Eva Braun furent informés de la mort violente de Mussolini et de Clara Petacci.
Deux jours plus tard, le Leader nazi et son amante, se suicident.

Mussolini était un fanfaron, un bouffon, un histrionique, qui théâtralisait sa vie et ses actes publics.
De petite taille et obèse, il voulait donner une apparence autre, portant des bottes à haut-talons et des excentriques chapeaux ou couvre chef.
Durant ses discours, il faisait usage d'une gestuelle et de mimiques remplies de furie guerrière, mais interprété par un mauvais acteur de la Comedia del Arte.... Tout comme le petit moustachu de Berlin.
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Très bon com’ ultra fourni en anecdotes, exactement ce qu’il faut sur scmb, merci Epoxy merci

a écrit : "l’extrême-gauche à l’extrême-droite (qui sont en réalité bien plus proches qu’on ne veut le dire)"

Tu peux étayer?

Ce n'est pas pour te mettre en difficulté, mais le fait de passer sémantiquement du populisme aux populismeS me semble assez récent, et j'ai bien du mal
à en comprendre la logique.
Les deux extrêmes (en supposant qu'il n'y en ait que deux, ce avec quoi je ne suis pas du tout d'accord) ne défendent ni les même idées, ni les même valeurs, et passent leur temps à s'écharper.

Ou si quelqu'un d'autre veut bien m'éclairer sur ce point, ou me donner des sources intéressantes.
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Oui bien sûr, tout d’abord pour ce qui est de l’Italie du début du XXe la proximité est assez forte, en l’occurrence le nationalisme Italien est assez différent du nationalisme français de l’époque en ce qu’il est bien plus socialiste. Pour cause Corradini un de ces plus gros représentants pensera le nationalisme comme une transposition de la lutte des classes à échelle internationale. C’est-à-dire qu’il y a des empires bourgeois (la France et l’Angleterre) et d’autres pauvres comme l’Italie qui sont donc « dominé » par une sorte de superstructure des empires bourgeois contre laquelle il faut lutter. Cette lutte c’est le nationalisme, l’indépendance totale de la patrie (et cela justifiera le colonialisme que refusera l’extrême gauche).(d’ailleurs cette extrême droite n’est pas forcément catholique puisque le Pape jusque 1913 interdira aux catholiques de participer à la vie politique de l’Italie, j’avoue ne pas en savoir plus sur le respect de ces consignes et leur impact mais cela peut être un élément d’explication). C’est cette certaine proximité qui ne rend pas impossible le fait que D’Annunzio (nationaliste) en proclamant l’autonomie de Fiume écrive une constitution étant un véritable mélange des 2 extrêmes. Ensuite pour ce qui est d’aujourd’hui, c’est une expression de mon point de vue et vous pouvez ne pas être d’accord. Je note simplement que ces deux « extrêmes » se retrouvent sur bien plus de terrains qu’ils ne se combattent, ce mouvement là est bien plus récent par contre et se note sur le dirigisme économique à tout prix que partagent les deux mouvements (et les tentatives de séduction répétées de Marine Le Pen d’un milieu ouvrier en construisant sur les mêmes bouc-émissaires que l’extrême gauche, les riches, la mondialisation, l’Europe etc en rajoutant évidemment l’immigration) qui rend leur opposition superficielle (en tout cas sur un axe (droite gauche) les trouver opposés ne rend certainement pas compte de la situation du paysage politique français). C’est toutefois une note personnelle contrairement à ce que connaissait l’Italie à la période de l’anecdote.

a écrit : La dernière phrase de l'anecdote, pourrait porter à confusion.
Mussolini est revenu en Italie, suite à une amnistie qui supprimait sa condamnation à une année de prison, pour ne pas avoir effectué son service militaire. Service qu'il effectuera d'ailleurs ultérieurement, pour une période de deux
ans, à Vérone.


De tout, un peu.
Quelques autres anecdotes et curiosités à propos de Benito Mussolini.

Plusieurs documents attestent que Mussolini fut, en 1917 et 1918, à la solde du MI5, les Services Secrets Britanniques, pour un salaire hebdomadaire de 100 livres sterling. Pour une personne qui avait des idées de Gauche quand il se lança en Politique, ce salaire était plus que généreux, car il représenterait aujourd'hui, un revenu de 6400 €uros, chaque semaine.

Margheritta Sarfatti était une de ses amantes. C'était une écrivaine issue d'une riche famille Juive Vénitienne. Elle écrivit la biographie de Mussolini, livre qui deviendra un succès commercial international, traduit dans de nombreuses langues, dont le Turc ou le Japonais.
Quand les Lois Antisémites apparurent en Italie en 1938, elle abandonnera son pays et son amant, pour vivre en Argentine et en Uruguay.
Sa sœur fut malheureusement arrêtée, déportée et assassinée à Auschwitz.

Alors que l'idéologie Fasciste Italienne prônait les valeurs de la famille traditionnelle, Mussolini était un véritable coureur de jupons qui n'hésitait pas a tromper et sa femme, Ida Dasler, et son amante. On lui prête d'avoir fait détruire les registres de mariage religieux de sa première femme (Ida), et l'acte de naissance de son premier fils, Benito Albino. Toujours est-il que quand il accède au Pouvoir, il fait interner Ida dans un asile, où elle décédera. Son fils Benito suivra le même chemin.

Rachelle Guido fut sa femme officielle. Elle était tout aussi infidèle que son mari. Mari qui était appelé "Il duce" par ses admirateurs... Et "il cornuto" par ses détracteurs.

Mussolini fut fusillé par les Partisans, le 28 avril 1945. Il était alors accompagné par son amante du moment, Clara Petacci. Clara fournissait Mussolini d'un médicament appelé Hormovin, produit par un laboratoire pharmaceutique Allemand. Le Hormovin est considéré comme le précurseur de l'actuel Viagra.
Elle, 29 ans plus jeune que Mussolini, coucha un millier de pages d'écriture, contant la vie publique, privée et intime du Duce, narrant jusqu'à sa brutalité, ses manies et ses vices sexuels.

Adolf Hitler et Eva Braun furent informés de la mort violente de Mussolini et de Clara Petacci.
Deux jours plus tard, le Leader nazi et son amante, se suicident.

Mussolini était un fanfaron, un bouffon, un histrionique, qui théâtralisait sa vie et ses actes publics.
De petite taille et obèse, il voulait donner une apparence autre, portant des bottes à haut-talons et des excentriques chapeaux ou couvre chef.
Durant ses discours, il faisait usage d'une gestuelle et de mimiques remplies de furie guerrière, mais interprété par un mauvais acteur de la Comedia del Arte.... Tout comme le petit moustachu de Berlin.
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Est ce qu'il y a un lien entre Ida dasler et adi dasler ?

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a écrit : Est ce qu'il y a un lien entre Ida dasler et adi dasler ? Je l'ignore complètement.

Ida Dasler ( un seul "s") était née dans le Trentin-haut Adige, région qui fut Autrichienne jusqu'à la fin de la Première Guerre Mondiale, et qui se trouve actuellement en Italie.

Adi Dassler (deux "s"), fut le fondateur de la marque "Adidas". Une anecdote SCMB lui est consacrée.

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a écrit : Je l'ignore complètement.

Ida Dasler ( un seul "s") était née dans le Trentin-haut Adige, région qui fut Autrichienne jusqu'à la fin de la Première Guerre Mondiale, et qui se trouve actuellement en Italie.

Adi Dassler (deux "s"), fut le fondateur de la marque "Adidas". Une anecdote SCMB lui est consacrée.
Merci pour ces informations !

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Il me semble que dans Les Mains du Miracle, de Joseph Kessel , il est indiqué que Himmler était également instituteur mais je ne trouve pas d'infos sur le net (mis à part que son père l'était, lui) quelqu'un saurait si j'ai confondu ?