La forêt d'Aokigahara au Japon est connue pour le nombre de suicides élevé qui s'y produit. En effet, on y dénombre un suicide tous les 3 jours, et en s'y promenant on peut trouver des cordes ou des objets ayant appartenu aux suicidés. Pour essayer de lutter contre cette pratique, les autorités ont mis des panneaux incitant les personnes à renoncer et à les contacter pour recevoir de l'aide.

Tous les commentaires (101)
c'est expliqué en détail dans la première source.
Sympa comme job...
dans le manga kourosaki il y a une histoir avec une foret de suide...est-ce la même ???
Je trouve ça vraiment ironique, voire sarcastique d'interdire le suicide, car si quelqu'un en commet un, il se passe quoi ? Ils jugent son cadavre ? Haha
Le type qui ouvre une boutique de corde et d echelle sur le parking deviendra riche !
Franchement je crois que plus malsain comme endroit ça doit pas exister... Ils devraient le clôturer au moins ce serait réglé que là ça atteint des sommets..
C'est quand même mieux que de se balancer sous un train, de se crasher en bagnole, d'ouvrir le gaz ou de se balancer par la fenêtre. Quand on se supprime en pleine forêt, non seulement on emmerde personne, mais en plus,on donne à bouffer aux animaux...
À noter aussi que les "victimes" laissent derrière elles des cordes de couleurs pour quelles puissent retrouver leur chemin ou cas elles renonceraient au suicide. En effet cette foret est très densément peuplé en petits arbres qui provoquent la perte d'orientation chez les marcheurs. La plupart du temps en suivant ces cordes, on retrouve les dépouilles des suicidés.
VICE (Magazine) a fait un reportage assez intéressant quoiqu'assez glauque sur ce sujet.
Il y en a qui hésitent a passer a l'acte, et campent plusieurs jours dans la forêt avant de se décider s'ils veulent ou non se donner la mort. Dans le reportage, les journalistes croisent d'ailleurs un jeune homme sous une tente, et qui semble gêné et honteux d'avoir été découvert.
Pour ceux que ça intéressent, le reportage est en intégralité sur YouTube.
Sache qu'en Chine les suicides ratés sont condamnables de la peine de mort.
Sans doute parce que l'endroit est magnifiques et calmes. Pour mourir dans la paix.
On peut, en France au moins (ailleurs je ne sais pas trop), juger un mort ; dans le cadre d'une demande de réhabilitation d'un condamné décédé, souvent demandée par les familles... Sinon, "l'interdiction" au suicide est surtout religieuse ; pour les Chrétiens par exemple, le suicidé se ferme à jamais les portes du Paradis.
J'avais vu un reportage à ce sujet , il était dit que chez certaines personnes , se suicider à cet endroit serait bénéfique et amènerait au paradis , et que dans certaines traditions , il fallait même se suicider à cet endroit
En complément, on voit apparaître dans notre société un nouveau syndrome, "le suicide touristique".
Sur les suicides commis à Manhattan entre 1990 et 2004, plus de 10% (274) ont été le fait de non-résidants, venus parfois de loin. A New York, ce sera l'Empire State Building (373m), à Paris la Tour Eiffel (324m) ou Notre-Dame (69m), à San Francisco le Golden Gate Bridge.
www.routard.com/mag_info/5184/l_etrange_syndrome_du_suicide_touristique.htm
Ils en parlaient dans "alien theory" hier soir sur rmc découverte.
En Angleterre, on enterrait les suicidés à des carrefours fréquentés, afin que, soumis au bruit permanent, ils s'aient jamais le repos. Ils n'avaient pas non plus droit à des funérailles, ni à une sépulture. Parfois on enterrait par erreur un suicidé ; on pouvait l'exhumer de sa tombe.
En France, les biens du suicidé étaient saisis, ainsi que ceux de sa femme. Dans certaines provinces ont détruisait aussi sa maison (quand elle n'était pas saisie), brulait ses prés, rasait ses bois et ses vignes. En Allemagne, on laissait le cadavre pourrir pendu. En Europe en général, on mutilait le corps (pieux, crémation, dissection, jeté à l'eau ou trainé, etc).
Cela laisse des séquelles psychologiques très fortes à la famille et aux proches. Non content de devenir la honte du village, ses biens sont spoliés. Car, et ce dans le monde entier, on punit un suicidé en faisant souffrir ses proches d'une manière ou d'une autre, par voie légale. Le suicidant agit donc en toute connaissance de ce qui va survenir s'il commet son acte. Et mieux vaut pour lui ne pas se louper : au Pakistan, par exemple, c'est la prison assurée.
Pour celui qui est mort, bien sur, ça ne fait aucune différence, mais savoir que les conséquences seront désastreuses pour sa famille est une forme de chantage affectif. Au Japon, au contraire, on sauve l'honneur de sa famille en mettant fin à ses jours. Ne pas mettre fin à ses jours crée la honte sur elle. Un fonctionnement radicalement opposé au monde occiddental. Bien sur il faut différencier le suicide d'honneur, le suicide d'un état dépressif et le suicide philosophique (qui est rarissime). On peut noter aussi chez les Inuits des suicides rituels : quand un vieillard devient une charge trop importante pour la communauté (c'est à dire en période de famine), il doit partir seul sur la banquise pour y mourir. A noter qu'il s'agit d'une mesure exceptionnelle, et non d'une pratique systématique.
c'est comme la ville de nara au japon avec des cerf qui y vivent librement
au temps pour moi c'est
aokigahara
il n'empêche qu'il y a une faute dans le nom dans l'anecdote.
il est écrit aokigahra. il manque bien un "a"
C'est corrigé ;)
Cette chanson n'évoque pas des suicides mais bien des meurtres raciaux fruit d'une haine raciale et d'une justice expéditive américaine !