Un anglais simplifié fut inventé pour les populations coloniales

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a écrit : Justement. Mes exemples sont juste quand je parle de simplification.
"Avoir" a beaucoup de synonymes, mais du coup on utilise quasiment que le verbe avoir.
Quand tu dis "j'ai une voiture" c'est français bien sûr mais quoi, elle est à toi? Ou on te la prête? C'est flou. C
orrecte mais flou.
En disant "je possède" tu précises qu'elle t appartient. Tu apportes une nuance que n'explicite pas le verbe avoir puisque c'est un verbe bateau utilisé pour décrire énormément de choses.

D'ailleurs avoir et posséder ne sont pas des synonymes parfaits comme le sont "téléviseur" et "télévision" par exemple. Je le répète mais les mots sont des idées, et si il existe des mots différents il y a des chances que les idées soient différentes elles aussi.

Pour changer des verbes et te donner un autre exemple au hasard:

Ce meuble est grand.

Tu peux aussi dire

Ce meuble est large.
Ce meuble est haut.
Ce meuble est long.

En disant ce meuble est grand tu ne fait pas d erreurs, pourtant ici "grand" peut être remplacé par les 3 phrases du dessous pour apporter une précision supplémentaire sur le ou les côtés qui sont grands.
D'ailleurs même le mot "meuble", ça marche pour plein de truc, quelqu'un qui apprend le français apprend le mot meuble et ça lui suffit pour être compris car ça marche pour plein de choses.
Pourtant on ne sais pas si il parle du buffet, du secrétaire, de la penderie, du vaisselier, du bureau, etc....
Meuble est synonyme de chacun de ces mots, car il a une forme d'imprécision.

Dans chacun de mes exemple j'ai enlevé une précision. Qu'elle soit nécessaire ou non, que l'interlocuteur en ai besoin ou non, je l'ai enlevé. C'est une simplification.
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Pour ton exemple concernant la voiture et pour aller plus loin : je possède une voiture qui ne sera à moi seulement quand j'aurai fini de payer le crédit

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a écrit : Que je voye, héritage du vieux françois il y a des conservateurs permis nous. Cela ne me choque pas plus que ça on peut bien dire et écrire "je balaie" ou "je balaye" et on dit encore couvre chef pour un chapeau, et oui en vieux français chef voulait dire tête...
Mais on écrit "au temps
pour moi" et ça m'irrite les pupilles quand je voie autant. Afficher tout
Lorsque l'on veut exprimer la reconnaissance de son erreur, on doit utiliser selon l'Académie française "au temps pour moi" et non pas "autant pour moi" qui serait incorrect dans ce cas. "Au temps" est à l'origine une expression militaire signifiait qu'un des soldats n'était pas dans le temps et qu'il fallait reprendre le mouvement depuis le début.

Les saluts militaires avec des armes pouvant être très compliqués, une hésitation de quelques soldats dans un peloton donnait immédiatement une impression de chaos. On disait alors au temps pour faire reprendre le mouvement du début.
"Autant pour moi" s'utilise uniquement selon l'Académie française dans le cas où l'on demande la même quantité qu'un précédent locuteur. Par exemple : "Je prendrai deux cafés sil vous plait, et toi ? Autant pour moi".
Toutefois, autant pour moi est défendu par des personnes affirmant que l'expression est dérivée de "c'est autant pour moi."

a écrit : En France aussi, on l'entend tous les jours d'ailleurs:
"Si j'aurais su, avant que je le voye, comme même, ça m'avait évité que je soye comme ça. C'est nous qu'on a fait les choses différemment"
Certains français parlent« petit nègre» comme les colons forçaient les populations indigènes à s'exprimer, histoire de les déshumaniser.

a écrit : Dans un épisode de South Park existe la planète Marklor dont les habitants ne communiquent qu'avec un seul mot: marklor.
Qui dit moins?... ;-)
Georges ;-)

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android

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a écrit : Certes, mais toi même tu utilises des raccourcis en n'utilisant pas la négation: "c'est que pour les verbes" au lieu de "ce n'est que pour les verbes" ou encore "on a pas fini" au lieu de "on n'a pas fini". Sans oublier les fautes d'accord telles que "on peux". Je ne suis pas du genre à critiquer les fote daurtografe dans SCMB mais ton commentaire fait référence à des fautes de français, j'aurais apprécié que tu n'en fasses pas toi même, c'est dommage car ça enlève toute crédibilité à tes propos... Afficher tout Il y a une différence entre parler comme Ribéry et faire les fautes que je fais. D'ailleurs je suis désolé de t'apprendre que :

1) je ne critique personne pour des oublis d'accord, les accents oubliés, les négations incomplètes etc...surtout que j'imagine que mes commentaires sont loin d être incompréhensibles, bien que n'étant pas soignés comme le seraient les textes d'un auteur publié en librairie. Le maniement des niveaux de langage est aussi possible, croyez bien que lorsque je commente quelque chose ici, j'écris comme je parle, et le pire c'est que c'est intentionnel.

2) je n'ai pas l'intention de changer ma façon d écrire, et je m'excuse d'avance si mon style appauvri vous frise l'oreille lors de vos lectures correctrices attentionnées.

3) mon commentaire ne portait pas (<-- oh mince une négation complète!) sur les fautes, car si vous aviez lu le fond au lieu de vous arrêter sur le style vous auriez vu que je parlais des simplifications d'ordre grammaticales, sémantiques, et non orthographiques.

a écrit : En France aussi, on l'entend tous les jours d'ailleurs:
"Si j'aurais su, avant que je le voye, comme même, ça m'avait évité que je soye comme ça. C'est nous qu'on a fait les choses différemment"
au contraire, c'est pas simplifié, puisque certains inventent des mots qui n'existent pas, et que ne devraient pas exister, d'ailleurs.

a écrit : Pardon pour ma dernière phrase trop abrupte; j'aurais dû écrire: "parler parfaitement anglais et en comprendre toutes les subtilités".
Ce serait un peu fort de dire qu'un professeur français d'anglais ne parle pas correctement - mais ce n'était jamais absolument parfait pour les quel
ques uns que j'ai rencontrés. Et j'ai entendu même le Professeur Hagège dire, par étourderie sans doute, que "to wield" et "to coax" étaient synonymes, alors que ces deux mots courants sont presque opposés.
Et puis il y a l'accent, ou plutôt les nombreux accents, qui révèlent immédiatement l'origine géographique et le niveau d'études (une pièce comme "Pygmalion" de G. B. Shaw est difficile à imaginer en français); il se trouve que l'accent français est dur à comprendre - les Français croient parfois que c'est exprès, alors que, entre autres fautes possibles, rien qu'un déplacement d'accentuation rend souvent le mot incompréhensible.
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D'ailleurs qu'elle est la proportion d'anglophones et francophones qui parlent eux-mêmes parfaitement leur langue maternelle?

Ces apprentissages sont toujours perfectibles, c'est pour ça qu'en traduction on privilégie la traduction vers sa langue maternelle.
En général, un anglais qui parle bien français traduira du français vers l'anglais. Pour l'inverse on choisira un français.

a écrit : En France aussi, on l'entend tous les jours d'ailleurs:
"Si j'aurais su, avant que je le voye, comme même, ça m'avait évité que je soye comme ça. C'est nous qu'on a fait les choses différemment"
Mais où c'est que t'habites ?

a écrit : D'ailleurs qu'elle est la proportion d'anglophones et francophones qui parlent eux-mêmes parfaitement leur langue maternelle?

Ces apprentissages sont toujours perfectibles, c'est pour ça qu'en traduction on privilégie la traduction vers sa langue maternelle.
En général, un
anglais qui parle bien français traduira du français vers l'anglais. Pour l'inverse on choisira un français. Afficher tout
La question se pose en termes très différents pour les deux langues.

Le français est régi par des règles académiques et des linguistes qui ont une grande autorité; la sémantique est très précise, l'orthographe y est stricte (même quand est est absurde: ex.: bonhomme, bonhomie); il y a peu d'écarts significatifs de prononciation. Il existe une langue parfaite, on peut donc y faire des concours de dictée, et une faute y est indiscutable.
C'est la langue de diplomates, de juristes, d'auteurs impeccables dans la forme.

L'anglais est une langue vivante, très souple; la sémantique n'y est pas si précise, chaque mot évoque plutôt la nuance d'une notion; il n'y a pas d'autorité centralisatrice ni de grammaire rigide, chacun peut adjectiver, adverbialiser, un substantif ou un verbe, ou l'inverse; si le mot manque, aucun puriste ne le reprochera, ni même d'inventer un mot totalement nouveau, s'il est d'emblée compréhensible et fait défaut, personne ne criera au barbarisme. L'orthographe de nombreux mots est admise avec des variantes, et même sa prononciation de base, avec des différentes régionales très marquées, sauf si une erreur prête à confusion (ex.: "desert" signifie désert, dessert, ou déserter selon la prononciation; tandis que "direction" a toujours le même sens, on est libre). On ne peut donc parler de langue parfaite, un auteur, s'il est bon, deviendra vite une référence.
L'exemple le plus frappant est Shakespeare, qui a littéralement inventé le tiers de son vocabulaire - maintenant intégré dans la langue courante actuelle pour une grande partie. Cependant on ne pardonnera pas de prononcer "finite" comme "infinite". Et un étranger ne trouve presqu'aucune suggestion de la prononciation dans l'orthographe, les deux sont décorrélées (exactement le contraire de l'espagnol, mais seulement en partie du français, avec par exemple l'absurde ph qui se prononce f sans aune raison étymologique).
Samuel Johnson avait essayé de systématiser l'anglais, mais malgré une pénétrante intelligence n'y est pas parvenu, et un auteur qui n'écrirait que de façon "impecable" passerait pour peu imaginatif et terne.
C'est la langue des littéraires, des poètes.

Enfin, non, j'ai connu plusieurs interprètes simultanés, ils travaillent aussi bien dans les deux sens et j'admire leur compétence.
Il se trouve que j'ai dû les remplacer par deux fois car dans le premier cas j'étais le présentateur d'un conférencier américain devant un auditoire français, dans le second d'un conférencier français devant un auditoire britannique. Panne de la cabine, les professionnels, là-haut, ne pouvaient rien faire, j'étais bien forcé de les remplacer bien que ce ne soit aucunement ma formation: eh bien, au bout des quelques dizaines de minutes qu'ont duré les réparations, j'étais absolument épuisé.

a écrit : Ça : cela (exemple : ça /cela me convient ). Sa : possession (sa voiture, sa maison ) Il pointait une faute que beaucoup de gens font à l'écrit mais qui ne s'entend pas à l'oral...

a écrit : La question se pose en termes très différents pour les deux langues.

Le français est régi par des règles académiques et des linguistes qui ont une grande autorité; la sémantique est très précise, l'orthographe y est stricte (même quand est est absurde: ex.: bonhomme, bonhomie); il y a peu d'écart
s significatifs de prononciation. Il existe une langue parfaite, on peut donc y faire des concours de dictée, et une faute y est indiscutable.
C'est la langue de diplomates, de juristes, d'auteurs impeccables dans la forme.

L'anglais est une langue vivante, très souple; la sémantique n'y est pas si précise, chaque mot évoque plutôt la nuance d'une notion; il n'y a pas d'autorité centralisatrice ni de grammaire rigide, chacun peut adjectiver, adverbialiser, un substantif ou un verbe, ou l'inverse; si le mot manque, aucun puriste ne le reprochera, ni même d'inventer un mot totalement nouveau, s'il est d'emblée compréhensible et fait défaut, personne ne criera au barbarisme. L'orthographe de nombreux mots est admise avec des variantes, et même sa prononciation de base, avec des différentes régionales très marquées, sauf si une erreur prête à confusion (ex.: "desert" signifie désert, dessert, ou déserter selon la prononciation; tandis que "direction" a toujours le même sens, on est libre). On ne peut donc parler de langue parfaite, un auteur, s'il est bon, deviendra vite une référence.
L'exemple le plus frappant est Shakespeare, qui a littéralement inventé le tiers de son vocabulaire - maintenant intégré dans la langue courante actuelle pour une grande partie. Cependant on ne pardonnera pas de prononcer "finite" comme "infinite". Et un étranger ne trouve presqu'aucune suggestion de la prononciation dans l'orthographe, les deux sont décorrélées (exactement le contraire de l'espagnol, mais seulement en partie du français, avec par exemple l'absurde ph qui se prononce f sans aune raison étymologique).
Samuel Johnson avait essayé de systématiser l'anglais, mais malgré une pénétrante intelligence n'y est pas parvenu, et un auteur qui n'écrirait que de façon "impecable" passerait pour peu imaginatif et terne.
C'est la langue des littéraires, des poètes.

Enfin, non, j'ai connu plusieurs interprètes simultanés, ils travaillent aussi bien dans les deux sens et j'admire leur compétence.
Il se trouve que j'ai dû les remplacer par deux fois car dans le premier cas j'étais le présentateur d'un conférencier américain devant un auditoire français, dans le second d'un conférencier français devant un auditoire britannique. Panne de la cabine, les professionnels, là-haut, ne pouvaient rien faire, j'étais bien forcé de les remplacer bien que ce ne soit aucunement ma formation: eh bien, au bout des quelques dizaines de minutes qu'ont duré les réparations, j'étais absolument épuisé.
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Je me permets de soulever un point : interprètes et traducteurs sont des métiers très différents. Les interprètes utilisent plusieurs langues et jonglent avec, les traducteurs ont effectivement 99% du temps à traduire vers leur langue maternelle.

a écrit : La c'est plus des erreurs que tu nous donne en exemple et je suis d'accord avec toi c'est plutôt dommage...

Mais même sans faire d'erreurs de français on est confronté à des simplifications tous les jours, et je suis le premier à en user:

"J'ai 20 ans", au li
eu de "je suis agé de 20 ans ; " j'ai une voiture" au lieu de "je possède une voiture" ; "j'ai ce diplôme" au lieu de "je détiens ce diplôme" etc...

Le liste est longue car rien qu'avec une 10aine de verbe je suis sur qu'on peux tenir longtemps. Et ça c'est que pour les verbes...si on s'attaque aux noms communs on a pas fini de lister les simplifications du langage courant.

Les mots sont des idées, ne plus les utiliser c'est perdre ces idées, perdre les nuances au détriment de la précision.

Mais bon...nous ne sommes pas tous académiciens
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Exactement, plus l'on connait de mots (leur significations et leur nuances), plus on peut développer sa pensée.

Ca peut paraître très simple dit comme ça, mais c'est une réalité.

Lâchons un peu nos écrans pour des livres.

a écrit : Il y a une différence entre parler comme Ribéry et faire les fautes que je fais. D'ailleurs je suis désolé de t'apprendre que :

1) je ne critique personne pour des oublis d'accord, les accents oubliés, les négations incomplètes etc...surtout que j'imagine que mes commentaires sont loin
d être incompréhensibles, bien que n'étant pas soignés comme le seraient les textes d'un auteur publié en librairie. Le maniement des niveaux de langage est aussi possible, croyez bien que lorsque je commente quelque chose ici, j'écris comme je parle, et le pire c'est que c'est intentionnel.

2) je n'ai pas l'intention de changer ma façon d écrire, et je m'excuse d'avance si mon style appauvri vous frise l'oreille lors de vos lectures correctrices attentionnées.

3) mon commentaire ne portait pas (<-- oh mince une négation complète!) sur les fautes, car si vous aviez lu le fond au lieu de vous arrêter sur le style vous auriez vu que je parlais des simplifications d'ordre grammaticales, sémantiques, et non orthographiques.
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Je parle moi même extrêmement mal (beaucoup de raccourcis et de fautes de conjugaison) mais je fais très attention à l'écrit. Oh oui il m'arrive souvent aussi de faire (pardon de commettre) des erreurs involontaires ou par méconnaissance des règles de français; vu le nombre de commentaires bourrés de fautes, je ne passe pas mon temps à les corriger. Mais TON commentaire faisait référence à des erreurs de langage oral. Inutile donc rajouter des erreurs écrites qui illustrent donc mal tes propos.

a écrit : Je parle moi même extrêmement mal (beaucoup de raccourcis et de fautes de conjugaison) mais je fais très attention à l'écrit. Oh oui il m'arrive souvent aussi de faire (pardon de commettre) des erreurs involontaires ou par méconnaissance des règles de français; vu le nombre de commentaires bourrés de fautes, je ne passe pas mon temps à les corriger. Mais TON commentaire faisait référence à des erreurs de langage oral. Inutile donc rajouter des erreurs écrites qui illustrent donc mal tes propos. Afficher tout Bon écoute je ne vais pas continuer à donner des coups d épées dans l'eau puisque manifestement tu es sûre de toi...

Il est vrai que je suis connu sur le site pour être de ceux qui reprennent les gens sur leurs fautes, et que je me délecte de la grande injustice qui consiste à critiquer sans pour autant être moi-même parfait.

D'ailleurs tu as raison: ce "s" oublié, et ce "ne" manquants jettent un discrédit assassin sur l'ensemble de mes phrases. "Ouah le gars a oublié l'accord en genre et en nombre et il parle de grammaire pfffff la loooooose!"

En plus c'est bien parce que comme à chaque fois qu'un commentaire comme le tiens tente de critiquer un commentaire comme le mien, on s'éloigne du sujet, à savoir non pas les fautes mais les simplification de la langue (sujet dont je croyais parler au départ mais pfff quel idiot, j'avais pas vu qu'en fait je parlais de fautes d'orthographe)

Bref, comme je vois que tu es un contributeur acharné du site, j'espère que lors de mes prochains messages écrits sur le pouce pdt ma pause, tu veilleras à ce que mon orthographe Ô combien gênante soit corrigée, ou tout du moins soulignée aux yeux de tous, afin d'éclairer l'ensemble de la communauté sur le manque d'intérêt des commentaires écrits par les gens comme moi ; nous, les imparfaits du verbe.

Ps: dans ton dernier commentaire : "moi-même" s'écrit avec un tiret ; il manque "les" dans ta parenthèse "(pardon de commettre); ta dernière phrase fait apparaître une redondance du mot "donc" ce qui amène une lourdeur (à éviter tant à l'oral qu'à l'écrit), de plus il manque "de" devant "rajouter".

Crois-tu que ces fautes ou ces oublis si tu préfères, doivent me pousser à ne pas écouter ce que tu dis ? Ou dois-je simplement me contenter du contenu pour passer outre tes conseils avisés?

Ps2: Ne t'arrête pas sur le style apparemment sarcastique de certaines parties de ce commentaire, c'est, là encore, totalement volontaire.

Amicalement, Apo el torero de la ortografía

a écrit : Sachant que l'anglais est déjà une des langues les plus simples à maîtriser j'imagine même pas ce que ca donne!

Sinon il y avait le "petit nègre" dans les colonies françaises, pas de conjugaisons, que de l'infinitif, pas de genre ou de nombre
Sinon il y a toujours le "petit blaireau français" qui comprend pas que le "petit nègre" à sa propre langue.

a écrit : Dans un épisode de South Park existe la planète Marklor dont les habitants ne communiquent qu'avec un seul mot: marklor.
Qui dit moins?... ;-)
Timmy!

a écrit : En France aussi, on l'entend tous les jours d'ailleurs:
"Si j'aurais su, avant que je le voye, comme même, ça m'avait évité que je soye comme ça. C'est nous qu'on a fait les choses différemment"
Non. Là ce n'est pas du français basique, ce sont des fautes de grammaires basiques. En "basic English" c'est anglais simplifié et sans fautes de grammaire. Ni d'orthographe.

a écrit : En France aussi, on l'entend tous les jours d'ailleurs:
"Si j'aurais su, avant que je le voye, comme même, ça m'avait évité que je soye comme ça. C'est nous qu'on a fait les choses différemment"
Ça me rappelle une personne de mon collège qui aime le français mais je crois bien que le français ne l'aime pas vu comment elle parle

a écrit : Bon écoute je ne vais pas continuer à donner des coups d épées dans l'eau puisque manifestement tu es sûre de toi...

Il est vrai que je suis connu sur le site pour être de ceux qui reprennent les gens sur leurs fautes, et que je me délecte de la grande injustice qui consiste à critiquer sans pour auta
nt être moi-même parfait.

D'ailleurs tu as raison: ce "s" oublié, et ce "ne" manquants jettent un discrédit assassin sur l'ensemble de mes phrases. "Ouah le gars a oublié l'accord en genre et en nombre et il parle de grammaire pfffff la loooooose!"

En plus c'est bien parce que comme à chaque fois qu'un commentaire comme le tiens tente de critiquer un commentaire comme le mien, on s'éloigne du sujet, à savoir non pas les fautes mais les simplification de la langue (sujet dont je croyais parler au départ mais pfff quel idiot, j'avais pas vu qu'en fait je parlais de fautes d'orthographe)

Bref, comme je vois que tu es un contributeur acharné du site, j'espère que lors de mes prochains messages écrits sur le pouce pdt ma pause, tu veilleras à ce que mon orthographe Ô combien gênante soit corrigée, ou tout du moins soulignée aux yeux de tous, afin d'éclairer l'ensemble de la communauté sur le manque d'intérêt des commentaires écrits par les gens comme moi ; nous, les imparfaits du verbe.

Ps: dans ton dernier commentaire : "moi-même" s'écrit avec un tiret ; il manque "les" dans ta parenthèse "(pardon de commettre); ta dernière phrase fait apparaître une redondance du mot "donc" ce qui amène une lourdeur (à éviter tant à l'oral qu'à l'écrit), de plus il manque "de" devant "rajouter".

Crois-tu que ces fautes ou ces oublis si tu préfères, doivent me pousser à ne pas écouter ce que tu dis ? Ou dois-je simplement me contenter du contenu pour passer outre tes conseils avisés?

Ps2: Ne t'arrête pas sur le style apparemment sarcastique de certaines parties de ce commentaire, c'est, là encore, totalement volontaire.

Amicalement, Apo el torero de la ortografía
Afficher tout
D'accord, c'est toi qui as raison.