Un oiseau fait couver ses oeufs par les volcans

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Le mégapode maléo, qui vit sur l'île indonésienne de Sulawesi, utilise la chaleur des volcans pour faire éclore ses œufs. Cet oiseau ne couve pas, s'en remettant à l'activité géothermique pour l'incubation, parfois conjuguée à la chauffe du Soleil sur le sable. Les poussins sont déjà en capacité de voler après leur éclosion.


Commentaires préférés (3)

ici mère nature prend tous son sens et quand il fait trop chaud sa devient une bonne cuisinière.

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Le plus bluffant (enfin pour moi) c'est la capacité des oisillons de voler juste après éclosion.

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a écrit : Une nature où tous les animaux, toutes les plantes, doivent être prédateurs d'autres espèces pour survivre? C'est un champ de bataille universel.
Où il existe même des virus, auquels il est difficile de supposer une conscience, mais qui "savent" quand même se reproduire en tuant souvent leur h
ôte involontaire, après des souffrances?
Non, dans toute la nature je ne vois que moi de bien fait; je serais absolument parfait si je n'étais trop modeste.
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Tu y vois une guerre alors que d'autre y voit un équilibrage, je te conseil de vérifier l'anecdote dans le parc Yellowstone avec les 14 loups qui ont rééquilibrer un leur eco-systeme

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Tous les commentaires (49)

ici mère nature prend tous son sens et quand il fait trop chaud sa devient une bonne cuisinière.

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Plus écolo que Hulot le maléo..

Un peu comme dans le jeu Pokémon quoi.. de la chaleur pour faire éclore les oeufs plus rapidement!

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Le plus bluffant (enfin pour moi) c'est la capacité des oisillons de voler juste après éclosion.

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a écrit : La nature est quand même sacrement bien faite Une nature où tous les animaux, toutes les plantes, doivent être prédateurs d'autres espèces pour survivre? C'est un champ de bataille universel.
Où il existe même des virus, auquels il est difficile de supposer une conscience, mais qui "savent" quand même se reproduire en tuant souvent leur hôte involontaire, après des souffrances?
Non, dans toute la nature je ne vois que moi de bien fait; je serais absolument parfait si je n'étais trop modeste.

a écrit : Une nature où tous les animaux, toutes les plantes, doivent être prédateurs d'autres espèces pour survivre? C'est un champ de bataille universel.
Où il existe même des virus, auquels il est difficile de supposer une conscience, mais qui "savent" quand même se reproduire en tuant souvent leur h
ôte involontaire, après des souffrances?
Non, dans toute la nature je ne vois que moi de bien fait; je serais absolument parfait si je n'étais trop modeste.
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Tu y vois une guerre alors que d'autre y voit un équilibrage, je te conseil de vérifier l'anecdote dans le parc Yellowstone avec les 14 loups qui ont rééquilibrer un leur eco-systeme

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a écrit : Tu y vois une guerre alors que d'autre y voit un équilibrage, je te conseil de vérifier l'anecdote dans le parc Yellowstone avec les 14 loups qui ont rééquilibrer un leur eco-systeme Je savais ce qui s'était passé au parc de Yellowstone: la prolifération de cerfs sans prédateur, qui détruisaient les arbres, et par voie de conséquence tout l'équilibre des chaînes alimentaires.
Ce que je voulais dire est que cet équilibre repose sur la cruauté intrinsèque de la nature, où il faut tuer pour survivre et donc reproduire son espèce.
J'ai sursauté en lisant que la nature serait bien faite: il y a des choses qui confondent notre esprit, comme la synthèse chlorophyllienne dont nous comprenons à peu près le mécanisme mais ne savons pas encore imiter, et des absurdités: je n'ai qu'un cœur, organe vital, et un second, de secours, ne serait pas de trop lorsque je deviendrai vieux, mais deux reins, alors qu'un seul serait suffisant.
Un second cerveau, de sauvegarde des informations et de contrôle, ne serait pas de trop non plus, mais l'unique exemplaire que je possède n'en fait qu'à sa tête.

a écrit : Un peu comme dans le jeu Pokémon quoi.. de la chaleur pour faire éclore les oeufs plus rapidement! J'aurais plutôt dit l'inverse: le pokemon imite cet oiseau.

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C'est moi où l'anecdote sous-entend que le fait que l'oiseau sache voler à la naissance soit affilié au fait qu'il soit couvé par un volcan ? (Ou sable hein?...)
Donc si je met des oeufs d'oiseau à couvé près d'eyjafallajukul ya moyen qu'il vole à la naissance aussi?

a écrit : Tu y vois une guerre alors que d'autre y voit un équilibrage, je te conseil de vérifier l'anecdote dans le parc Yellowstone avec les 14 loups qui ont rééquilibrer un leur eco-systeme Ça reste une guerre ,même au sein d.une même espèce ,selection naturelle se fait par la mort ...
Un seul objectif chaque adn cherche a faire persister son existence ,afin que seul l'adn le plus adapté survive ,mais parfois l'adn la plus adapté peut être celui-ci qui n'épuise pas sa ressource énergétique (nourriture ,etc...)

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a écrit : Je savais ce qui s'était passé au parc de Yellowstone: la prolifération de cerfs sans prédateur, qui détruisaient les arbres, et par voie de conséquence tout l'équilibre des chaînes alimentaires.
Ce que je voulais dire est que cet équilibre repose sur la cruauté intrinsèque de la nature, où il faut tuer
pour survivre et donc reproduire son espèce.
J'ai sursauté en lisant que la nature serait bien faite: il y a des choses qui confondent notre esprit, comme la synthèse chlorophyllienne dont nous comprenons à peu près le mécanisme mais ne savons pas encore imiter, et des absurdités: je n'ai qu'un cœur, organe vital, et un second, de secours, ne serait pas de trop lorsque je deviendrai vieux, mais deux reins, alors qu'un seul serait suffisant.
Un second cerveau, de sauvegarde des informations et de contrôle, ne serait pas de trop non plus, mais l'unique exemplaire que je possède n'en fait qu'à sa tête.
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Alors dans ta logique c'est aussi cruel qu'on est besoin de tuer des bêtes pour pouvoir manger, et aussi de "tuer" des fruits etc... Il faut y voir un rapport réciproque et un cycle, une fois devenu poussière on nourrira nous même ce qui ont contribuer à notre nutrition, c'est le cycle de la vie

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a écrit : Je savais ce qui s'était passé au parc de Yellowstone: la prolifération de cerfs sans prédateur, qui détruisaient les arbres, et par voie de conséquence tout l'équilibre des chaînes alimentaires.
Ce que je voulais dire est que cet équilibre repose sur la cruauté intrinsèque de la nature, où il faut tuer
pour survivre et donc reproduire son espèce.
J'ai sursauté en lisant que la nature serait bien faite: il y a des choses qui confondent notre esprit, comme la synthèse chlorophyllienne dont nous comprenons à peu près le mécanisme mais ne savons pas encore imiter, et des absurdités: je n'ai qu'un cœur, organe vital, et un second, de secours, ne serait pas de trop lorsque je deviendrai vieux, mais deux reins, alors qu'un seul serait suffisant.
Un second cerveau, de sauvegarde des informations et de contrôle, ne serait pas de trop non plus, mais l'unique exemplaire que je possède n'en fait qu'à sa tête.
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Faudrait un grand nombre d'adaptations physiologiques pour permettre d'avoir 2 cœurs et/ou 2 cerveau. Pour le cerveau par exemple, il faudrait des adaptations du bassin chez la femelle ou faire naître les bébés plus tôt pour que la tête passe à l'accouchement ce qui rallongerait la période juvénile et augmenterait probablement le risque de mortalité du nouveau-né, des adaptations dans l'irrigation sanguine pour que les 2 cerveaux aient assez de sang et surtout faudrait manger une quantité non négligeable de nourriture tous les jours car il faut une énergie considérable pour alimenter 2 cerveaux en même temps. Et si on a 2 cerveau, on aurait 2 centres pour la réflexion à gérer, et un cerveau seul a déjà assez à faire avec ses propres contradictions, ne lui rajoutons pas celles générées par la présence de 2 cerveaux, ou alors il lui faudrait des adaptations sur les 2 pour que chacun gère ça bien. Dans tous les cas, il faudra que les formes intermédiaires se reproduisent, ce qui est pas forcément gagné non plus. Et puis il est peu probable qu'il existe un jour une contrainte favorisant un mammifère (oui on peut aller jusque là, je pense) qui dépense une énergie folle à essayer de développer un nouvel organe complexe déjà existant plutôt que d'améliorer celui qui est déjà là. Bref, si on n'a pas 2 cerveau ou 2 cœurs, c'est qu'a priori c'est plus rentable d'en avoir qu'un de chaque ^^

a écrit : Je savais ce qui s'était passé au parc de Yellowstone: la prolifération de cerfs sans prédateur, qui détruisaient les arbres, et par voie de conséquence tout l'équilibre des chaînes alimentaires.
Ce que je voulais dire est que cet équilibre repose sur la cruauté intrinsèque de la nature, où il faut tuer
pour survivre et donc reproduire son espèce.
J'ai sursauté en lisant que la nature serait bien faite: il y a des choses qui confondent notre esprit, comme la synthèse chlorophyllienne dont nous comprenons à peu près le mécanisme mais ne savons pas encore imiter, et des absurdités: je n'ai qu'un cœur, organe vital, et un second, de secours, ne serait pas de trop lorsque je deviendrai vieux, mais deux reins, alors qu'un seul serait suffisant.
Un second cerveau, de sauvegarde des informations et de contrôle, ne serait pas de trop non plus, mais l'unique exemplaire que je possède n'en fait qu'à sa tête.
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Ce que tu dis n'est pas faux et, (moi en tout cas) fais réfléchir. Après, je pense qu'il y a une raison à tout ça. On ne connaît pas encore suffisamment le corps humain pour prétendre que celui-ci n'est pas parfait. Chaque chose dans notre corps a ou avait son utilité. Tout comme la nature, en soit, c'est ce qu'on appelle la vie. :)

a écrit : Faudrait un grand nombre d'adaptations physiologiques pour permettre d'avoir 2 cœurs et/ou 2 cerveau. Pour le cerveau par exemple, il faudrait des adaptations du bassin chez la femelle ou faire naître les bébés plus tôt pour que la tête passe à l'accouchement ce qui rallongerait la période juvénile et augmenterait probablement le risque de mortalité du nouveau-né, des adaptations dans l'irrigation sanguine pour que les 2 cerveaux aient assez de sang et surtout faudrait manger une quantité non négligeable de nourriture tous les jours car il faut une énergie considérable pour alimenter 2 cerveaux en même temps. Et si on a 2 cerveau, on aurait 2 centres pour la réflexion à gérer, et un cerveau seul a déjà assez à faire avec ses propres contradictions, ne lui rajoutons pas celles générées par la présence de 2 cerveaux, ou alors il lui faudrait des adaptations sur les 2 pour que chacun gère ça bien. Dans tous les cas, il faudra que les formes intermédiaires se reproduisent, ce qui est pas forcément gagné non plus. Et puis il est peu probable qu'il existe un jour une contrainte favorisant un mammifère (oui on peut aller jusque là, je pense) qui dépense une énergie folle à essayer de développer un nouvel organe complexe déjà existant plutôt que d'améliorer celui qui est déjà là. Bref, si on n'a pas 2 cerveau ou 2 cœurs, c'est qu'a priori c'est plus rentable d'en avoir qu'un de chaque ^^ Afficher tout Un ingénieur qui concevrait un système d'informations sans alimentation de secours ou sans sauvegarde des informations serait immédiatement mis à la porte. Alors qu'il me suffirait d'une attaque cardiaque ou cérébrale, si minime soit-elle, pour me réduire à l'état de cadavre ou de légume.
Ce n'est pas déraisonnable: certains animaux ont plusieurs systèmes sanguins ou plusieurs cerveaux, plus exactement ceux-ci sont répartis et non concentrés comme chez l'homme.
D'accord sur le fait que l'accouchement est généralement pénible: le pelvis de la femme n'est pas adapté, alors que chez la plupart des mammifères ça se passe très bien.
Enfin, le cerveau et le cœur consomment très peu d'énergie, bien moins que les mouvements des muscles. Un de plus ne me rendrait pas boulimique.

Si la nature n'était pas cruelle, si chaque être vivant ne se battait pas pour sa survie, il n'y aurait sans doute aucune évolution (quel besoin aurait-il qu'il y en ai une?)
La vie resterait sans doute à son stade le plus primitif et nous ne serions pas là pour en discuter.

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a écrit : Ce que tu dis n'est pas faux et, (moi en tout cas) fais réfléchir. Après, je pense qu'il y a une raison à tout ça. On ne connaît pas encore suffisamment le corps humain pour prétendre que celui-ci n'est pas parfait. Chaque chose dans notre corps a ou avait son utilité. Tout comme la nature, en soit, c�39;est ce qu'on appelle la vie. :) Afficher tout Merci de me dire que mon commentaire fait réfléchir; c'est bien le but de SCMB, tel que je l'ai compris, et non de briller en soirée comme il le dit par auto-dérision humoristique.
Mais on peut affirmer que le corps humain n'est pas parfait: très concrètement, il n'a pas de sécurité suffisante (je peux être tué d'une seule balle dans le cœur ou la tête, et de bien d'autres façons), mon appendice et les restes de troisième paupière que l'ai dans chaque coin de l'œil ne me servent à rien, etc.).

a écrit : Si la nature n'était pas cruelle, si chaque être vivant ne se battait pas pour sa survie, il n'y aurait sans doute aucune évolution (quel besoin aurait-il qu'il y en ai une?)
La vie resterait sans doute à son stade le plus primitif et nous ne serions pas là pour en discuter.
L'évolution est spontanée, résulte d'une complexification progressive dont on entrevoit les mécanismes au niveau des liaisons chimiques, c'est-à-dire de la mécanique quantique, n'en déplaise au thermodynamiciens du XIXème siècle attachés au principe de l'entropie croissante. Et qui laisse des restes aberrants: mes vertèbres soudées du coccyx ne me servent à rien, car je n'ai pas de queue, du moins par derrière.
Les organismes élaborés, et dont nous nous considérons sans modestie comme les plus évolués (bien à tort sous certains aspects), ne sont pas des résultats de batailles, mais les survivants de celles-ci.

a écrit : Ce que tu dis n'est pas faux et, (moi en tout cas) fais réfléchir. Après, je pense qu'il y a une raison à tout ça. On ne connaît pas encore suffisamment le corps humain pour prétendre que celui-ci n'est pas parfait. Chaque chose dans notre corps a ou avait son utilité. Tout comme la nature, en soit, c�39;est ce qu'on appelle la vie. :) Afficher tout En fait si, on connaît assez bien notre corps pour pouvoir affirmer qu'il est loin d'être parfait et qu'il existe des éléments inutiles (dont certains l'ont probablement toujours été). Je pense que tu peux trouver de nombreux exemples dans tout bon bouquin sur l'évolution. Pareil pour la nature, il est utopiste de penser que tout est à sa place pour une raison.