La "friendzone" est cette fameuse situation où un individu est intéressé pour avoir une relation amoureuse avec une personne qui elle ne la considère que comme un ami. L'expression a été popularisée par un des premiers épisodes de la série Friends en 1994, où le personnage de Ross est désigné "maire de la friendzone" par son ami Joey.
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Le remède est relativement simple (mais il s'agit de sciences humaines donc le résultat n'est jamais exact). Puisque la femme en question est flattée de cette relation et trouve son compte dans le statu quo, il faut rompre cet équilibre. D'expérience le plus efficace est de se détacher subitement d'elle avec froideur et sans explication, de trouver celle qu'elle considère comme sa "rivale" (par jalousie ou inimitié) et de se rapprocher d'elle, de passer du temps avec pour la connaître vraiment. Instantanément l'élue de votre coeur va se rappeler qu'elle tient à vous et vous trouver beaucoup plus sexué qu'avant. A ce moment là vous pouvez retourner la voir et lui proposer d'évoluer dans votre relation. Et si elle ne se rappelle pas qu'elle tient à vous, c'est qu'elle n'y tient pas vraiment et vous aller gagner du temps, tout en rencontrant une nouvelle personne qui a peut être des qualités que vous ne soupçonniez pas. Si votre amie la considère comme une rivale c'est qu'il y a une connexion entre elles. Donc quoi qu'il arrive le résultat est meilleur qu'un statu quo, sauf bien sûr si vous aimez la souffrance et trouvez du plaisir dans l'échec, dans une vision déformée et masochiste du "romantisme" propre a notre société actuelle et contre-productive pour tout le monde, à commencer par les femmes elles mêmes.
La friend zone C’est pas juste le fait d’être ami, sinon ça arriverait quasiment à chaque fois !
En fait c’est plutôt le fait d’être « trop ami » pour commencer une relation, pour ne pas perdre une amitié forte
Avant l'amour courtois, on prenait la femme que l'on désirait, ou alors on la demandait à un autre homme: c'est cela le patriarcat.
C'est un progrès formidable pour la femme d'avoir le choix, d'être séduite et même de faire languir un prétendant si elle le souhaite, l'homme restera toujours libre de passer son chemin s'il finit par en avoir assez.
Et puis ton analyse est beaucoup trop fondée sur le désir sexuel, peut-être est-ce la conséquence d'une frustration personnelle.
Si une fille ne veut pas d'un homme, c'est son choix. Si elle préfère un homme à celui que son père, sa mère ou toi-même aurait choisi, c'est sa liberté de choix. Si elle veut pas du tout avoir de relations sexuelles avec qui que ce soit c'est son choix. C'est bien là tout le contraire du patriarcat.
Et puis, ne t'en fais, il y a eu et il y aura toujours des hommes et des femmes qui se séduisent mutuellement. Autrement nous ne serions pas là pour en parler.
En général dans la friendzone, les femmes n’ont /pas du tout/ envie de perdre le lien qui les unie à cet ami.
Beaucoup vont même jusqu’à reconnaître que ce serait le gendre idéal. Et beaucoup considèrent que cet ami est justement beaucoup plus proche, et beaucoup plus important... Ce qui fait tomber ton argument sur le « choix rationnel »
J’apprécie beaucoup ta remarque très pertinente sur la différence entre le romantisme et l’amour courtois !
Même si le romantisme a justement redécoré totalement l’amour courtois.
Mais tu as raison, l’amour courtois correspond exactement au comportement des hommes coincés dans la friend-zone.
Au moyen âge ça se serait terminé par un mariage.
Ça correspondait effectivement en un tissage de l’intimité, pour souder plus efficacement les couples.
Et cela obligeait justement les femmes à se forcer à laisser une chance à un prétendant, en l’obligeant a envisager la relation sur le plan maritale.
Donc tu as raison, le conditionnement dont je parle est probablement plus récent.
Certainement un héritage de la noblesse de la renaissance.
Poussée aux nues par la bourgeoisie, qui a toujours chercher à « devenir noble à la place des nobles »
Le romantisme me semble issue de cette fascination des bourgeois à « faire noble »
Combiné à cette répugnance religieuse de la sexualité, typique de l’époque de la renaissance.
(Ou contrairement à l’idée qu’on s’en fait, le puritanisme et les idées de l’église sont considérable plus puissante que pendant le moyen âge)
Le machisme n’est pas la soumission des femmes, mais leur enfermement dans un rôle inférieur. (En particulier infantile)
Ce qui peut être un avantage. Un enfant est inférieur à un adulte, mais je t’assure que tout est à leur avantage dans notre société. ;)
Ça n’est donc pas une question de pouvoir, ou d’avantage, mais de rôles déterminés par ton sexe. ( et non par ta personnalité, tes envies, etc... )
Ce qui implique surtout une société basée sur le devoir. (Pas que des femmes, de tout le monde. Les hommes ont énormément de devoir envers les femmes dans une société machiste)
Par opposition à une société basée sur le libre arbitre, comme celle qu’on prône.
Tout le problème de notre société moderne a été la politisation du féminisme.
De l’idée d’un changement culturel, c’est devenu une lutte de pouvoir ou d’avantages.
Or, comme je te l’ai dis, ça n’est pas parce qu’un enfant est un rôle inférieur qu’il n’a pas de pouvoir ou d’avantages.
Ces considérations ont considérablement biaisé le jeux, et créent des débats et luttes sans fins, sur des considérations absurdes.
Ce qui sert beaucoup les industriels (qui ont porté le féminisme sur le plan politique)
L’idée étant surtout pour eux de mettre au travail des femmes corvéables à merci, non syndiquées , non habituées à résister à l’exploitation. C’était ça l’intérêt.
Tu notera que le féminisme s’est étrangement arrêté aux revendications patronales.
Une fois mise au travail, une fois le prix des salaires effondrés (autrefois un salaire faisait vivre une famille complète avec 5 enfants, alors que le progrès technique aurait dû faire reculer la nécessité de travailler )
Tout s’est arrêté.
Les rôles (donc les corps de métier) restent toujours aussi sexués. ( infirmières, institutrices, femmes de ménage, commerciale-potiche ... )
Ce qui est normal d’ailleurs, car dans une société du libre arbitre, ce sont l’effets des conditionnements qui s’observent.
Et le conditionnement est culturel.
Les choses ne commenceraient à devenir intéressante que le jour où les gens comprendrons que le « libre arbitre » comme fondement de nos choix est une escroqueries.
Ce sont nos expériences de vie bonnes ou mauvaise, donc notre environnement et notre histoire personnel qui fondent nos choix. Donc notre culture et la société qui nous entourent.
Le cercle est bouclé : notre culture conditionne nos choix « libre » et ces choix libre reconstituent le modèle culturel.
Et les femmes sont toujours des ménagères.
( Mais bon, là je fais un super HS )
Et assez de recul pour m’en amuser maintenant. ;)
Elle commence par le constat d un endoctrinement.
Endoctrinement dont tu es aussi victime (pas le même certes...).
Celui qui consiste a dire que chacun fait ce qu il veut quand il veut et que l homme a été placé au dessus de la femme...
Sauf que ce n est pas vrai.
Les élites restent les mêmes, les pauvres restent pauvres ect.
Nous parlons la de généralité puisque les lois sont faites a partir de généralité, l exception venant confirmer la regle.
Les femmes ne sont pas des idiotes qui sont victimes. Elles sont des être intelligents qui usent de leur talents pour arriver à leur fin comme tout le monde le ferai.
Dans la société que tu décris tu montres que la femme au foyer est une femme inférieure vis a vis de l homme. Pensées largement répandues dans notre société actuelle. Preuve de L’endoctrinement.
Mais une femme qui met au monde des enfants qui s en occupe, les éduquées, ne connais pas les 35h, ni les vacances, ni les jours fériés a bien plus de mérite que l homme qui par pour ramener de l argent afin de vivre.
Tu n enlèvera pas non plus la relation entre un enfant et sa mère qui plus fort qu on le veuille ou non que ma relation entre un père et son enfant. C est d’ailleurs pour cette raison que les enfants sont confiés a la mère plutôt qu au père (Ou est la parité homme femme? Ça n existe pas... même par essence nous sommes tous différents et cela même a la naissance)
Chacun a une place dans la société, comme chacun a sa place dans son couple et dans sa famille.
Chaque famille est différente le but étant d être heureux avec sa moitié.
Comment j'y suis arrivé? Aussitôt que j'ai constaté que j'y étais, je lui ai dit clairement "je peux plus te voir comme une pote non plus, donc soit on teste un peu +, soit adios!" Et je me suis cassé sans regarder derrière moi... (En plein coucher de sol- bref.)
Peu de temps après elle est revenue d'elle même! O.o Prétexte? Elle voulait pas perdre quelqu'un avec qui elle s'entendait si bien...
C'est Très chronophage ces histoires, mine de rien!
(Après c'est difficile d'avoir une approche aussi pragmatique quand on est lovesick)