Le cerf-volant tient plus du serpent que du cerf

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Le mot « cerf-volant » n’a aucun rapport avec l’animal. Ce mot est la transcription phonétique erronée de « serp-volante » en langue d’oc, signifiant « serpent volant », en référence aux premiers cerfs-volants chinois en forme de serpents ou de dragons importés sur le continent européen.

Le mot « serp » (prononcer « ser ») a disparu du langage au XVIIe siècle pour laisser place au mot mal traduit que l’on utilise aujourd’hui.


Commentaires préférés (3)

De très nombreuses autres expressions occitanes sont utilisées en français, depuis le très connu "Kezaco", de l'occitan "qu'es aquo ?", qui signifie "qu'est-ce que c'est ?", à des verbes comme rouméguer (rouspéter, de romegar), birouler (tourner, de virolar), bouléguer (remuer, mélanger, de bolegar).

On connait aussi la "chercher la castagne", de l'occitan castagna, la châtaigne, pour la bagarre, ou encore un drôle ou un pitchoun pour un enfant (occitan drole ou pichon). On a également l'expression avoir la gnaque, ou gniaquer quelqu'un, qui vient de l'occitan nhacar, mordre.

J'en oublie sûrement énormément, je termine avec un petit dernier, couététcher, quand un chien remue la queue, de l'occitan coeta, la queue.

Les langues régionales font la richesse d'un pays, et nous sommes bien fournis en France avec le breton, l'alsacien, le corse, le basque, le catalan, le flamand, et, bien sur, l'occitan (un quart de la population !). Quel dommage de les appeler aussi péjorativement des "patois" et de pousser à leur abandon...

a écrit : De toute façon cette réforme a été faite de manière totalement aléatoire, sans respecter aucune éthymologie de mot, et ce juste pour rendre la population un peu plus médiocre. Cette réforme c’est le nivellement par le bas... Une réforme de cerveaux lents?...

a écrit : De très nombreuses autres expressions occitanes sont utilisées en français, depuis le très connu "Kezaco", de l'occitan "qu'es aquo ?", qui signifie "qu'est-ce que c'est ?", à des verbes comme rouméguer (rouspéter, de romegar), birouler (tourner, de virolar), bouléguer (remuer, mélanger, de bolegar).

On connait aussi la "chercher la castagne", de l'occitan castagna, la châtaigne, pour la bagarre, ou encore un drôle ou un pitchoun pour un enfant (occitan drole ou pichon). On a également l'expression avoir la gnaque, ou gniaquer quelqu'un, qui vient de l'occitan nhacar, mordre.

J'en oublie sûrement énormément, je termine avec un petit dernier, couététcher, quand un chien remue la queue, de l'occitan coeta, la queue.

Les langues régionales font la richesse d'un pays, et nous sommes bien fournis en France avec le breton, l'alsacien, le corse, le basque, le catalan, le flamand, et, bien sur, l'occitan (un quart de la population !). Quel dommage de les appeler aussi péjorativement des "patois" et de pousser à leur abandon...
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Le mot "patois" n'est pas forcément péjoratif. Les linguistes l'utilisent pour parler des dialectes et sous-dialectes qui ne sont pas les langues officielles d'un pays.
Et puis je pense qu'au contraire de ce que tu dis, aujourd'hui en France on protège de plus en plus ces "patois", on leur donne droit d'existence, y compris dans l'éducation nationale. Il est bien fini le temps des Jacobins où seul le français de Paris était légal et autorisé ;)


Tous les commentaires (32)

De très nombreuses autres expressions occitanes sont utilisées en français, depuis le très connu "Kezaco", de l'occitan "qu'es aquo ?", qui signifie "qu'est-ce que c'est ?", à des verbes comme rouméguer (rouspéter, de romegar), birouler (tourner, de virolar), bouléguer (remuer, mélanger, de bolegar).

On connait aussi la "chercher la castagne", de l'occitan castagna, la châtaigne, pour la bagarre, ou encore un drôle ou un pitchoun pour un enfant (occitan drole ou pichon). On a également l'expression avoir la gnaque, ou gniaquer quelqu'un, qui vient de l'occitan nhacar, mordre.

J'en oublie sûrement énormément, je termine avec un petit dernier, couététcher, quand un chien remue la queue, de l'occitan coeta, la queue.

Les langues régionales font la richesse d'un pays, et nous sommes bien fournis en France avec le breton, l'alsacien, le corse, le basque, le catalan, le flamand, et, bien sur, l'occitan (un quart de la population !). Quel dommage de les appeler aussi péjorativement des "patois" et de pousser à leur abandon...

Et si je ne m'abuse, même les collectionneurs de cerfs-volants n'ont pas de rapport avec cet animal puisque ce sont des lucanophiles. Quelqu'un pourrait-il peut-être nous éclairer sur l'étymologie ?

Étrangement, ce mot ne fait pas partie de la réforme...

Et montgolfière c'est pareil ducoup ? On m'a toujours dit que ça venait d'un berger asiatiques fière de son troupeau... Je dois faire erreur

a écrit : Étrangement, ce mot ne fait pas partie de la réforme... De toute façon cette réforme a été faite de manière totalement aléatoire, sans respecter aucune éthymologie de mot, et ce juste pour rendre la population un peu plus médiocre. Cette réforme c’est le nivellement par le bas...

a écrit : De toute façon cette réforme a été faite de manière totalement aléatoire, sans respecter aucune éthymologie de mot, et ce juste pour rendre la population un peu plus médiocre. Cette réforme c’est le nivellement par le bas... Une réforme de cerveaux lents?...

a écrit : De très nombreuses autres expressions occitanes sont utilisées en français, depuis le très connu "Kezaco", de l'occitan "qu'es aquo ?", qui signifie "qu'est-ce que c'est ?", à des verbes comme rouméguer (rouspéter, de romegar), birouler (tourner, de virolar), bouléguer (remuer, mélanger, de bolegar).

On connait aussi la "chercher la castagne", de l'occitan castagna, la châtaigne, pour la bagarre, ou encore un drôle ou un pitchoun pour un enfant (occitan drole ou pichon). On a également l'expression avoir la gnaque, ou gniaquer quelqu'un, qui vient de l'occitan nhacar, mordre.

J'en oublie sûrement énormément, je termine avec un petit dernier, couététcher, quand un chien remue la queue, de l'occitan coeta, la queue.

Les langues régionales font la richesse d'un pays, et nous sommes bien fournis en France avec le breton, l'alsacien, le corse, le basque, le catalan, le flamand, et, bien sur, l'occitan (un quart de la population !). Quel dommage de les appeler aussi péjorativement des "patois" et de pousser à leur abandon...
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Le mot "patois" n'est pas forcément péjoratif. Les linguistes l'utilisent pour parler des dialectes et sous-dialectes qui ne sont pas les langues officielles d'un pays.
Et puis je pense qu'au contraire de ce que tu dis, aujourd'hui en France on protège de plus en plus ces "patois", on leur donne droit d'existence, y compris dans l'éducation nationale. Il est bien fini le temps des Jacobins où seul le français de Paris était légal et autorisé ;)

a écrit : De très nombreuses autres expressions occitanes sont utilisées en français, depuis le très connu "Kezaco", de l'occitan "qu'es aquo ?", qui signifie "qu'est-ce que c'est ?", à des verbes comme rouméguer (rouspéter, de romegar), birouler (tourner, de virolar), bouléguer (remuer, mélanger, de bolegar).

On connait aussi la "chercher la castagne", de l'occitan castagna, la châtaigne, pour la bagarre, ou encore un drôle ou un pitchoun pour un enfant (occitan drole ou pichon). On a également l'expression avoir la gnaque, ou gniaquer quelqu'un, qui vient de l'occitan nhacar, mordre.

J'en oublie sûrement énormément, je termine avec un petit dernier, couététcher, quand un chien remue la queue, de l'occitan coeta, la queue.

Les langues régionales font la richesse d'un pays, et nous sommes bien fournis en France avec le breton, l'alsacien, le corse, le basque, le catalan, le flamand, et, bien sur, l'occitan (un quart de la population !). Quel dommage de les appeler aussi péjorativement des "patois" et de pousser à leur abandon...
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Il faut faire la différence entre le dialecte et le patois : le dialecte est une langue régionale comme l'alsacien le breton, l'occitan etc. Tandis que le patois est la variante de ce même dialecte propre à un seul voire plusieurs villages. La différence porte surtout sur la prononciation, mais aussi sur le choix d'un mot différent pour désigner la même chose.

a écrit : De très nombreuses autres expressions occitanes sont utilisées en français, depuis le très connu "Kezaco", de l'occitan "qu'es aquo ?", qui signifie "qu'est-ce que c'est ?", à des verbes comme rouméguer (rouspéter, de romegar), birouler (tourner, de virolar), bouléguer (remuer, mélanger, de bolegar).

On connait aussi la "chercher la castagne", de l'occitan castagna, la châtaigne, pour la bagarre, ou encore un drôle ou un pitchoun pour un enfant (occitan drole ou pichon). On a également l'expression avoir la gnaque, ou gniaquer quelqu'un, qui vient de l'occitan nhacar, mordre.

J'en oublie sûrement énormément, je termine avec un petit dernier, couététcher, quand un chien remue la queue, de l'occitan coeta, la queue.

Les langues régionales font la richesse d'un pays, et nous sommes bien fournis en France avec le breton, l'alsacien, le corse, le basque, le catalan, le flamand, et, bien sur, l'occitan (un quart de la population !). Quel dommage de les appeler aussi péjorativement des "patois" et de pousser à leur abandon...
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Tu peux ajouter "cèpe" et "esquinter" à la liste !

Une petite anecdote que beaucoup de gens du Sud ont dû vivre. Mes parents et mes grand-parents ont pour habitude de placer des mots, ou des phrases, en occitan au milieu de leur conversation. Il m'arrive maintenant (assez) régulièrement d'employer ces mots sans même savoir qu'ils sont occitans, je m'en rends compte quand les gens autour de moi me regarde comme si je venais de parler chinois ("antchouki" et "caga", vous saviez que ce n'était pas français, vous ?).

Au passage, je vous laisse les paroles du refrain du "Se canto", l'"hymne" occitan, pour ceux que ça intéresse :
Sé canto qué canté, canto pass per iew, canto per ma mio, qu’èz al len de iew.
(S'il chante qu'il chante, il ne chante pas pour moi, il chante pour ma mie, qui est loin de moi).

a écrit : Tu peux ajouter "cèpe" et "esquinter" à la liste !

Une petite anecdote que beaucoup de gens du Sud ont dû vivre. Mes parents et mes grand-parents ont pour habitude de placer des mots, ou des phrases, en occitan au milieu de leur conversation. Il m'arrive maintenant (assez) réguli
èrement d'employer ces mots sans même savoir qu'ils sont occitans, je m'en rends compte quand les gens autour de moi me regarde comme si je venais de parler chinois ("antchouki" et "caga", vous saviez que ce n'était pas français, vous ?).

Au passage, je vous laisse les paroles du refrain du "Se canto", l'"hymne" occitan, pour ceux que ça intéresse :
Sé canto qué canté, canto pass per iew, canto per ma mio, qu’èz al len de iew.
(S'il chante qu'il chante, il ne chante pas pour moi, il chante pour ma mie, qui est loin de moi).
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Mon dieu ! J'ai appris ce chant en CP et en te lisant, je me suis surprise à le chanter. 15 ans plus tard, c'est toujours là. Merci à toi pour la nostalgie ^^

Au fait, ne devrait-on pas plutôt parler de langue vernaculaire pour les dialectes ?

a écrit : De très nombreuses autres expressions occitanes sont utilisées en français, depuis le très connu "Kezaco", de l'occitan "qu'es aquo ?", qui signifie "qu'est-ce que c'est ?", à des verbes comme rouméguer (rouspéter, de romegar), birouler (tourner, de virolar), bouléguer (remuer, mélanger, de bolegar).

On connait aussi la "chercher la castagne", de l'occitan castagna, la châtaigne, pour la bagarre, ou encore un drôle ou un pitchoun pour un enfant (occitan drole ou pichon). On a également l'expression avoir la gnaque, ou gniaquer quelqu'un, qui vient de l'occitan nhacar, mordre.

J'en oublie sûrement énormément, je termine avec un petit dernier, couététcher, quand un chien remue la queue, de l'occitan coeta, la queue.

Les langues régionales font la richesse d'un pays, et nous sommes bien fournis en France avec le breton, l'alsacien, le corse, le basque, le catalan, le flamand, et, bien sur, l'occitan (un quart de la population !). Quel dommage de les appeler aussi péjorativement des "patois" et de pousser à leur abandon...
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Kezaco est une transcription phonétique directe du latin, quant aux autres expressions, elles ne sont pas utilisées en français courant hors de l'Occitanie, à part castagner. La démonstration n'est donc guère probante...

a écrit : Kezaco est une transcription phonétique directe du latin, quant aux autres expressions, elles ne sont pas utilisées en français courant hors de l'Occitanie, à part castagner. La démonstration n'est donc guère probante... La gniack, un pitchoune ou un drôle, désolé mais le parigo que je suis les entends assez souvent.
Donc si, démonstration probante.
Même si la moitié des mots qu’il a utilisé, je les découvres.

a écrit : Kezaco est une transcription phonétique directe du latin, quant aux autres expressions, elles ne sont pas utilisées en français courant hors de l'Occitanie, à part castagner. La démonstration n'est donc guère probante... Bien sur que ça vient du latin, puisque l'occitan, comme le français, est une langue romane. Mais pas directement, il y a bien un passage par l'occitan.

Quant aux expressions pas utilisées en dehors de l'Occitanie (au sens de région linguistique et non administrative), certes, mais cela fait plus d'un quart de la population française. A partir de quelle proportion détermine-t-on l'utilisation d'un terme ou d'une expression dans le français courant ? Et mon propos n'était en aucun cas une démonstration comme vous semblez le penser, simplement de donner quelques autres exemples pour essayer de développer un peu le sujet de l'anecdote.

a écrit : De très nombreuses autres expressions occitanes sont utilisées en français, depuis le très connu "Kezaco", de l'occitan "qu'es aquo ?", qui signifie "qu'est-ce que c'est ?", à des verbes comme rouméguer (rouspéter, de romegar), birouler (tourner, de virolar), bouléguer (remuer, mélanger, de bolegar).

On connait aussi la "chercher la castagne", de l'occitan castagna, la châtaigne, pour la bagarre, ou encore un drôle ou un pitchoun pour un enfant (occitan drole ou pichon). On a également l'expression avoir la gnaque, ou gniaquer quelqu'un, qui vient de l'occitan nhacar, mordre.

J'en oublie sûrement énormément, je termine avec un petit dernier, couététcher, quand un chien remue la queue, de l'occitan coeta, la queue.

Les langues régionales font la richesse d'un pays, et nous sommes bien fournis en France avec le breton, l'alsacien, le corse, le basque, le catalan, le flamand, et, bien sur, l'occitan (un quart de la population !). Quel dommage de les appeler aussi péjorativement des "patois" et de pousser à leur abandon...
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A savoir, puisque vous parlez de l’occitan que le catalan est bien un patois, tout comme le provençal etc... dérivés des langues d’oc mais toutes avec les racines communes de la langue d’oc qui elle même est une dérivation du latin, grec, et des diferentes langues parlées par les territoires assimilés.

a écrit : Il faut faire la différence entre le dialecte et le patois : le dialecte est une langue régionale comme l'alsacien le breton, l'occitan etc. Tandis que le patois est la variante de ce même dialecte propre à un seul voire plusieurs villages. La différence porte surtout sur la prononciation, mais aussi sur le choix d'un mot différent pour désigner la même chose. Afficher tout L’Occitan est la continuation de la langue d’oc qui comptait auparavant un tiers de la population française comme locuteurs.

Du coup on nous laisse l'erreur ? Autant l appeler le serpent-volant qui est moins choquant que cerf-volant ^^'

a écrit : De très nombreuses autres expressions occitanes sont utilisées en français, depuis le très connu "Kezaco", de l'occitan "qu'es aquo ?", qui signifie "qu'est-ce que c'est ?", à des verbes comme rouméguer (rouspéter, de romegar), birouler (tourner, de virolar), bouléguer (remuer, mélanger, de bolegar).

On connait aussi la "chercher la castagne", de l'occitan castagna, la châtaigne, pour la bagarre, ou encore un drôle ou un pitchoun pour un enfant (occitan drole ou pichon). On a également l'expression avoir la gnaque, ou gniaquer quelqu'un, qui vient de l'occitan nhacar, mordre.

J'en oublie sûrement énormément, je termine avec un petit dernier, couététcher, quand un chien remue la queue, de l'occitan coeta, la queue.

Les langues régionales font la richesse d'un pays, et nous sommes bien fournis en France avec le breton, l'alsacien, le corse, le basque, le catalan, le flamand, et, bien sur, l'occitan (un quart de la population !). Quel dommage de les appeler aussi péjorativement des "patois" et de pousser à leur abandon...
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Qu'est-ce qui fait qu'une langue se meurt ? Le fait qu'on ne la parle plus, tout bêtement.
Tu veux défendre une langue (l'occitan, le breton, le basque et j'en passe sont bien des langues et pas des patois) ? Et bien parle la, défends la et fais en la promotion.

La langue régionale qui me tient à cœur est le picard (qu'on appelle souvent ch'ti) et je peux te dire qu'un tas de gens la défende. Une compagnie de marionnettes jouent ses spectacles en picard et des centaines de gamins de la région en profitent chaque année, un autre gars a traduit les fables de La Fontaine en picard et les déclame sur scène et il existe même un groupe de villages qui a décidé de mettre les panneaux d'entrée et de sortie de leur commune en bilingue picard/français.
Bref, tu veux soutenir une langue régionale, fais la découvrir et redécouvrir aux gens qui t'entourent.

- Il faut plutôt y voir un cerf...
- Un cerf ? Non mais cet animal...
- Ah...

a écrit : Et si je ne m'abuse, même les collectionneurs de cerfs-volants n'ont pas de rapport avec cet animal puisque ce sont des lucanophiles. Quelqu'un pourrait-il peut-être nous éclairer sur l'étymologie ? Probablement par association avec le lucane cerf-volant, un scarabée nommé ainsi en raison de la ressemblance de ses cornes avec les bois d'un cerf (ce qui ferait de lui un cerf qui vole).
L'objet cerf-volant tire donc son nom d'un serpent, ceux qui les collectionnent d'un scarabée, et ce scarabée du cerf.
C'est un peu le serp qui se mord la queue, cette histoire...

a écrit : De toute façon cette réforme a été faite de manière totalement aléatoire, sans respecter aucune éthymologie de mot, et ce juste pour rendre la population un peu plus médiocre. Cette réforme c’est le nivellement par le bas... C'est pas plutôt ce genre de commentaire qui est fait sans aucune recherche et qui résulte du nivellement par le bas ? Parce que je crois savoir au contraire que ceux qui critiquaient le plus cette réforme ne connaissaient rien à l'étymologie. A moins que tu aies des exemples ?