Une étude scientifique a montré que près de la moitié des fourmis d'une colonie semblent paresseuses et ne font rien de leur journée. On ne sait pas vraiment pourquoi : certains pensent qu'elles sont une armée de réserve prête à défendre la colonie.
Il se peut également qu'elles fassent semblant de ne pas être au courant du travail à faire pour subtilement éviter de travailler.

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Moi, au moins, je sais dans quelle partie de la fourmilière je suis... et vous?
C'est ce qu'on appelle : "brasser du vent"!
Je connais plusieurs "hommes-fourmis" parmi mes collègues de travail, qui sont très doués pour avoir l'air occupés sans rien foutre... ^^
Peut-être que ces fourmis génèrent des flux d’énergie ou sécrètent des substances invisibles par les caméras ou l’oeil humain. Une manière d’aider la colonie...
Et la question est intéressante, que se passe t’il si on enlève une partie des bosseuses ? Ou en cas de danger, les paresseuses se mettent-elles à s’activer ?
La solution pour comprendre serait effectivement de retirer progressivement les bosseuses pour observer le comportement des fainéantes. Dans le cas d'un transfert de compétence , ce serait une volonté sociétale d'équilibre.
Du coup ce sont des humains feignants pas fainéant ;). Cf : une ancienne anecdote qui montrait la différence entre ces deux mots. (Feignants = celui qui feint de travailler et fainéant = celui qui fait rien, qui fait néant). Voilà voilà c'est tout pour moi
secouchermoinsbete.fr/68264-feignant-et-faineant-ne-veulent-pas-dire-la-meme-chose
ou de retirer les "fainéantes" pour voir ce qui se passe
C'est vraiment pas con comme idée, seul toi y a pensé!
N'est ce pas là , grossièrement ,une réserve de main d'oeuvres ? Pour compenser les pertes d'ouvrières, réparer rapidement une nids abîmés ? Où autre ?
C’est ce que dit la 3ème source et cela me semble le plus logique. D’ailleurs elles ne sont pas « paresseuses » dans le sens où elles ne veulent pas travailler. Elles n’ont même pas conscience du fait de faire ou ne pas faire. Celles qui ne travaillent sont les plus jeunes et elles n’ont pas encore été « activées » pour effectuer une fonction déterminée.
Si on compare les colonies à des organismes pluricellulaires, on pourrait se dire que ces fourmis sont quasiment des cellules souches en attente de détermination.
Cet anecdote m’aura appris également les termes de myrmecologue et myrmecologie qui est l’étude des fourmis.
« Mon père était fonctionnaire et ma mère ne travaillait pas non plus »
« La seule chose qui travaille dans le bureau d’un fonctionnaire c’est le bois »
« Proverbe fonctionnaire : ne dors jamais le matin sinon tu ne sauras jamais quoi foutre l'après-midi »
Voilà.
Donc mes collègues de travail font partie d'une armée secrète, c'est bon à savoir.
Et où je me moque ?
J'attends justement les coms de certains tapant à nouveau sur les mêmes c'est tout.
Comment ca se passe, pour chaque commentaire, il faut un quota de gens offensés ?
De plus comme on me le reproche souvent ici, je parle beaucoup de mon travail dans la fonction publique (TJ), et oui j'ai aussi connu le secteur privé qui compte son lot de branleurs non négligeable, tout comme partout.
D'ailleurs j'ai connu les plus grands fainéants (fait néant, à ne pas confondre avec feignant : qui feint de travailler) dans le secteur privé.
C'est un détail mais c'est dommage de commencer par 'une étude' et de ne pas donner cette fameuse étude dans les sources...
l'anecdote ne dit pas le plus interessant, si on retir ces fourmis paresseuses, de nouvelles apparaissent !
Merci pour cette information linguistique pourtant basique qui m’avait échappé jusqu’à cette minute (je pensais que c’était deux écritures distinctes du même mot...)