Au Japon, en cas de séparation ou de divorce, seul un des deux parents peut obtenir la garde des enfants. Ce système unilatéral provoque chaque année plusieurs milliers d’enlèvements d’enfants par l’un des deux parents qui s’enregistre ainsi comme seul tuteur légal.
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Apparemment, d'après les sources, le code civil Nippon ne reconnaît pas la garde partagée et accorde automatiquement et systématiquement la garde au parent qui "détient" l'enfant au moment de la séparation.
Entre une génération qui a connu le pleine emploi, les progrès technologiques sans contrainte, peu ou pas d'allusion au réchauffement climatique, etc et la génération actuelle qui a du mal à se loger, à trouver un travail, à survivre dans les grandes villes, etc.... Disons que quand la première se permet de juger les actions de la deuxième, cette expression est toute trouvée.
En 1970, avec un unique salaire de cadre voire de technicien, on pouvait vivre en ville dans une grande maison en faisant vivre 5 personnes.
Aujourd'hui, avec deux salaires de cadres supérieurs, on a du mal à acheter un appartement dans une grande ville.
Donc quand une génération traite l'autre de faignante, qu'il suffit de traverser la rue pour trouver un travail, de protestataire sur les questions climatiques alors que ce sont les anciennes générations qui ont foutu le bazar, je crois qu'il est normal d'éprouver une certaine frustration. Bien entendu, les générations ne sont pas délimitées avec certitude et cette insulte ne sert à rien, mais naïve je ne crois pas. Je dirais plutôt "désabusée".
Et encore je n'ai pas parler de l'ancienne génération qui ne comprend pas que la nouvelle ne fasse pas d'enfants... alors qu'elle cherche déjà à subvenir à ses propres besoins et à réduire son empreinte carbone.
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Apparemment, d'après les sources, le code civil Nippon ne reconnaît pas la garde partagée et accorde automatiquement et systématiquement la garde au parent qui "détient" l'enfant au moment de la séparation.
Sauvages !!!
La question est de savoir comment un tribunal détermine qui "détient" l'enfant au moment de la séparation si les deux parents vivent encore sous le même toit?
Par ailleurs cette méthode peut poser problème si l'un des deux parents envisage de se séparer de l'autre sans qu'il soit au courant, de ce fait il peut partir avec l'enfant pour qu'il soit déclaré comme le "détenteur" de celui-ci au moment ou la séparation sera officialisée.
Je suis moins diplomate, donc : ok boomer
Ce sont les lois du Japon et de la France qui rentrent en contradiction. Si j'ai bien compris il ne faut pas trop attendre des japonais pour forcer un parent planqué chez eux à faire quelque chose. Et pourtant il y a des enlèvements. C'est comme ça qu'on se retrouve avec des français qui font grève de la faim en espérant que le Japon se décide à réagir.
Heureusement Macron a pu profiter de son voyage au Japon pour aborder le cas des enlèvements d'enfants lorsqu'ils sont aussi Français.
(Nan j'déconne, il a fait des vidéos mangas avec des youtubeurs)
www.urbandictionary.com/define.php?term=Ok+boomer&=true
Et si on pensait d'une autre manière? Est ce qu'il y a des divorcés au Japon? (Je veux dire un pourcentage representatif)
Boomer, si je ne me trompe pas, désigne les personnes qui sont nés à la bonne époque pour éviter les guerres et qui ont connu le plein emplois d'après guerre. L'expression ok boomer à pour objectif de se moquer de ses gens là qui n'ont "rencontré aucune difficulté" pour vivre. Personnellement je trouve cette expression naïve et sans intérêt.
Reprenez moi si j'ai dit n'importe quoi
Ses réponses sont très intéressantes sur la question des Boomers, de l’expression « ok Boomers » et de la différence de compréhension si ce n’est d’appréhension entres les « générations »!
Bonne lecture ;)
Entre une génération qui a connu le pleine emploi, les progrès technologiques sans contrainte, peu ou pas d'allusion au réchauffement climatique, etc et la génération actuelle qui a du mal à se loger, à trouver un travail, à survivre dans les grandes villes, etc.... Disons que quand la première se permet de juger les actions de la deuxième, cette expression est toute trouvée.
En 1970, avec un unique salaire de cadre voire de technicien, on pouvait vivre en ville dans une grande maison en faisant vivre 5 personnes.
Aujourd'hui, avec deux salaires de cadres supérieurs, on a du mal à acheter un appartement dans une grande ville.
Donc quand une génération traite l'autre de faignante, qu'il suffit de traverser la rue pour trouver un travail, de protestataire sur les questions climatiques alors que ce sont les anciennes générations qui ont foutu le bazar, je crois qu'il est normal d'éprouver une certaine frustration. Bien entendu, les générations ne sont pas délimitées avec certitude et cette insulte ne sert à rien, mais naïve je ne crois pas. Je dirais plutôt "désabusée".
Et encore je n'ai pas parler de l'ancienne génération qui ne comprend pas que la nouvelle ne fasse pas d'enfants... alors qu'elle cherche déjà à subvenir à ses propres besoins et à réduire son empreinte carbone.
Boomer moi même, je me rappelle avoir commencé à traiter les parents de vieux cons quand j'avais douze treize ans. J'ai attendu d'en avoir plus de soixante pour qu'il m'arrive la même chose. Soit on est moins cons que nos parents, soit nos enfants ont mis plus de temps à se rendre compte qu'on était cons...
J'ai récupérer de ça de là (et sur SCMB) les quelques textes suivants :
« C'est la décadence, les enfants n'obéissent plus, le langage s'abîme, les mœurs s'avachissent. Puisse venir le jour où l'humanité coupable finira, où les enfants ne naîtront plus, où tout bruit cessera sur la terre, où il n'y aura plus à lutter contre toutes les nuisances. » Texte sur papyrus vers 3000 avant JC attribué à un certain Ipuwer,
« La jeunesse d'aujourd'hui est pourrie jusqu'aux tréfonds, mauvaise, irréligieuse et paresseuse. Elle ne sera jamais comme la jeunesse du passé et sera incapable de préserver notre civilisation. » Tablette d'argile mésopotamienne en écriture cunéiforme vers 3000 ans avant JC
« Ils manqueront d'égards et de respect pour leurs parents, sitôt qu'ils vieilliront et durement, sans redouter la justice divine, ils les accableront des plus cruels reproches au lieu de prendre soin de leur vieillesse. Je n'ai plus aucun espoir en l'avenir de notre pays si les jeunes d'aujourd'hui doivent être les dirigeants de demain, car ils sont insupportables, inconscients voire effrayants. Si l'avenir de notre peuple est entre les mains de la jeunesse frivole d'aujourd'hui, il y a de quoi désespérer. Cette jeunesse se conduit avec une suffisance vraiment intolérable. Elle croit avoir la science infuse. Quand moi j'étais jeune, on nous apprenait les bonnes manières et le respect que l'on doit à ses parents. Mais la nouvelle génération n'a de cesse de contester et elle veut avoir raison. Il est un fait certain que les jeunes sont d'une extrême insouciance. » "Des travaux et des jours" d’Hésiode, poète grec, VIIIème siècle avant JC
« Lorsque les pères s'habituent à laisser faire les enfants, lorsque les fils ne tiennent plus compte de leurs paroles, lorsque les maîtres tremblent devant leurs élèves et préfèrent les flatter, lorsque les jeunes méprisent les lois, parce qu'ils ne reconnaissent plus, au-dessus d'eux, l'autorité de rien et de personne, alors, c'est là, en toute beauté et toute jeunesse, le début de la tyrannie. » Platon livre VIII de "La République"
La page wiki est d’ailleurs plutôt bien détaillée : fr.m.wikipedia.org/wiki/OK_Boomer
Je dirai qu'en fait, il n'existe pas objectivement de conflits de génération. Chaque année il meurt un peu plus de 665000 personnes, et il en apparait (naissances ou émigration à égalité) un peu plus de 730000 (chiffres 2020, augmentation des décès due au Covid19)
Des gens meurent ou arrivent en permanence, il n'y a que très peu de ruptures démographiques, et l'échelle des ages change, mais très peu sur une période de 25 ans (sauf guerres ou épidémies) on est tous le boomer d'un autre, et je connais plein de petits cons. La génération Y a des enfants, et commence à s'approcher des 35-40 ans...
J'ai vu ne petite fille de 6 ans demander à sa tante de 19 ans : "c'était bien à ton époque?"