Vous êtes-vous déjà demandé si répondre "sur place" ou "à emporter" a une influence sur le prix de la nourriture ? La réponse est oui, car cela change le taux de TVA applicable : taux normal sur place (10%) et taux réduit (5,5%) pour la version à emporter. Cependant, la différence est rarement répercutée sur le prix final par le restaurateur.
Le restaurateur fait alors une marge plus importante si le client choisit à emporter.
Tous les commentaires (70)
www.ladepeche.fr/article/2013/04/26/1614919-un-hamburger-mcdonald-s-retrouve-intact-14-apres-sa-fabrication.html
Ce que je voulais dire, c'est qu'elles doivent également prendre leurs responsabilités, et Réserver du terrain pour avoir une structure immobilière destinée à loger le personnel, à un prix décent.
Cas concrets: Arcachon et Capbreton, entre autres.
Il y a des établissements hôteliers qui te logent... à 4 par chambre, en lits superposés.
En station de sport d'hiver, tu as même du personnel qui dort en camping car, durant les 4 mois les plus froids de l'année.
J'ai simplement dit que la probabilité d'effectuer toute sa carrière professionnelle dans la même boite, n'est plus aussi évidente aujourd'hui, que du temps de mes parents.
41% des votants en faveur du Brexit, ont depuis changé d'avis.
Un Référendum voté demain, n'aurait donc aucune chance de passer en faveur de l'indépendance à l'UE.
Un petit bémol, concernant le chômage en Grande Bretagne: son taux est tout de même très bas (- de 5%), proche du "plein emploi".
Ils ont néanmoins plus d'un million de postes de travail vacants... Dont personne ne sait comment couvrir.
Faire venir du travailleur extra Communautaire ? Bref, la politique de "dévêtir Pierre pour vêtir Paul".
Un non sens.
Je vais rebondir sur cette anecdote qui porte à confusion.
La règle n’est pas si simple ! Bien trop de clients (je suis expert-comptable) se font avoir (redressement).
Pour que le taux de TVA à 5,5% s’applique, il faut que le produit soit conditionné dans des contenants permettant leur conservation, donc une consommation différée (3 jours voir plus).
Si nous prenons l’exemple de Mc Donald, les produits ne peuvent pas être conservés 3 voir 4 jours. Le taux de TVA est donc de 10%.
Par contre la canette de Perrier est à 5,5% mais pas le Coca- Cola dans son emballage cartonné.
Si seulement c’était si simple ! Le pire qu’il existe en France c’est la TVA sur le chocolat !
Classé produit de première nécessité, le chocolat noir est soumis au taux réduit de 5,5% sauf quand il est fourré.
Le chocolat au lait et le chocolat blanc sont taxés à 20% sauf si c’est pour faire de la pâtisserie (5,5%).
Les confiseries fabriquées avec des chocolats différents sont à 20%.
Par contre, c’est 5,5% pour les bonbons au chocolat (ou pralines) de la taille d’une bouchée (moins de 20 g et 5cm) constitués soit de chocolat fourré, soit d’un mélange chocolaté.
Encore mieux, si un chocolatier réalise un confiserie avec du chocolat noir et du chocolat blanc, il doit ventiler les taux de TVA sinon le taux de 20% s applique.
www.google.fr/amp/s/www.lejdd.fr/Economie/Le-chocolat-un-casse-tete-fiscal-660351.amp
Je vais rebondir sur cette anecdote qui porte à confusion.
La règle n’est pas si simple ! Bien trop de clients (je suis expert-comptable) se font avoir (redressement).
Pour que le taux de TVA à 5,5% s’applique, il faut que le produit soit conditionné dans des contenants permettant leur conservation, donc une consommation différée (3 jours voir plus).
Si nous prenons l’exemple de Mc Donald, les produits ne peuvent pas être conservés 3 voir 4 jours. Le taux de TVA est donc de 10%.
Par contre la canette de Perrier est à 5,5% mais pas le Coca- Cola dans son emballage cartonné.
Si seulement c’était si simple ! Le pire qu’il existe en France c’est la TVA sur le chocolat !
Classé produit de première nécessité, le chocolat noir est soumis au taux réduit de 5,5% sauf quand il est fourré.
Le chocolat au lait et le chocolat blanc sont taxés à 20% sauf si c’est pour faire de la pâtisserie (5,5%).
Les confiseries fabriquées avec des chocolats différents sont à 20%.
Par contre, c’est 5,5% pour les bonbons au chocolat (ou pralines) de la taille d’une bouchée (moins de 20 g et 5cm) constitués soit de chocolat fourré, soit d’un mélange chocolaté.
Encore mieux, si un chocolatier réalise un confiserie avec du chocolat noir et du chocolat blanc, il doit ventiler les taux de TVA sinon le taux de 20% s applique.
www.google.fr/amp/s/www.lejdd.fr/Economie/Le-chocolat-un-casse-tete-fiscal-660351.amp
Cette anecdote est fausse. Ce fut effectivement le cas pendant longtemps mais désormais ce qui détermine le taux de TVA c’est le type de consommation du produit : immédiate ou différé. Un hamburger qu’il soit consommé sur place ou à emporter a pour vocation d’être mangé (quasi) immédiatement. Il sera donc soumis à un taux de TVA de 10%, que cela soit sur place à emporter. En revanche, une canette de coca peut être ouverte dans l’heure ou conservé des années. Le taux applicable sera donc 5,5%.
Source : www.service-public.fr/professionnels-entreprises/vosdroits/F22399
Tant qu'on sera dans la logique d'accuser des personnes deux fois en dessous du seuil de pauvreté des impôts des personnes au dessus d'un seuil objectif de richesse, l'excuse d'un supposé assistanat servira tous ceux qui profitent d'une solidarité nationale en voulant s'exempter de leur part.
Tout comme consommer une boisson au contoir ou à table le prix sera différent car pas besoin de ce déplacé pour le premier et il me semble une fois que j'ai eu affaire à ce genre de procédure
On est dans la pure idéologie, le dogme. Ce n'est pas comme si les moyens d'information n'étaient pas disponibles au plus grand nombre.
Très étonné et déçu par Epoxy qui contribue pourtant beaucoup à enrichir les anecdotes sur ce site.
Un des principes de l'offre et de la demande, c'est que quand la demande est importante, les prix montent. La demande en saisonniers est importante, les salaires vont monter (on voit combien les patrons qui en ont besoin en ont conscience, vu qu'il leur a fallu plusieurs mois pour le décider) et s'il n'y a toujours personne, bin c'est que les salaires ne seront pas assez hauts.
De plus'.il aura fallu une pandémie pour que la société prenne conscience des conditions de travail de ces invisibles.
Je me répète : ce n'est que l'application du principe (ou du jeu) de l'ultimatum, vu du côté patronat.
J'attribue tes propos à un emportement de ta part, par une réaction "à chaud" de la lecture de mon commentaire.
En aucun cas je ne remet en compte, l'utilité des Services de Protection Sociale, et principalement en matière de Santé et de Retraite.
Sur ce dernier point -et là il s'agit d'une question de chiffres et non de Dogme- il est évident qu'il va falloir retarder cet âge de départ, sauf que personne n'ose l'appliquer par la Loi.
En matière de Santé, sujet étudié en long, large et travers, ont connait une partie des causes (sédentarisme, obésité, etc...) et comment y remédier.
Néanmoins, le panorama n'améliore pas.
Dans le domaine des prestations chômages (hors COVID, qui crée une situation particulière), elle est et reste un Droit acquis qui, à mon point de vue (et c'est ce qui me semble être LE point de notre désaccord) devrait être bien plus encadré, voire contraignant en contreparties.
J'aurai quelques idées à proposer, mais pas certain que ça plaise.
Que tu soies déçu, c'est ton droit le plus absolu.
Mes commentaires ne sont jamais écrits dans le but de plaire à tout le monde, mais de faire réagir -sous diverses les formes, d'ailleurs- dont la confrontation.
Néanmoins, c'est en parlant que l'on s'entend.
Bon aprèm.
Or, tout comme la déflation, si elle est mal contrôlée, annule les gains en Pouvoir d'achat et de Consommation des ménages...qui elle est le véritable moteur de l'Economie.
Pour revenir sur le sujet des travailleurs saisonniers.
Il y certes une crise (qui était déjà antérieure au Covid) dans le domaine des sports d'hiver, mais qui est surtout flagrante actuellement. Les raisons sont diverses, quoique connues.
En matière de salaire, je préconiserai une augmentation de quelques centaines d'euros mensuels, sans un seul centime de plus de cotisation sociale, tant pour le patron comme pour l'employé. C'est la solution la plus rentable, pour que les 100, 200 ou 300 Euros mensuels supplémentaires en Net, créent un préjudice minimum à l'entreprise.
Il ne faut pas oublier une autre chose -et je reviens sur le sujet du logement temporaire- : pour une partie des saisonniers, ceci est un "double loyer" à payer, vu que leur pied-à-tierre (foyer fiscal), dans un autre endroit, continue d'exister... Et à être payé.
Quant à ce qu'il en est des emplois peu rémunérés dans le secteur de Santé, et je pense surtout aux infirmières payées "au lance-pierre".
La meilleure "paie" que tout un chacun peut faire de son côté, est de se faire vacciner et re-vacciner.
Ce n'est pas tant le fait que vous soyez contagié ou non, mais de la gravité de vos symptômes, pouvant conduire à une hospitalisation plus ou moins lourde... Et des nécessités accrues de soins, que ce personnel doit vous prodiguer.
Voilà les messages que l'ensemble du personnel Hospitalier a du mal à faire passer actuellement: faites vous vacciner, pour mettre toutes les chances (dans un but collectif) de ne pas devoir venir rajouter du travail dans les hôpitaux.
Grâce à la faiblesse de l'inflation, aujourd'hui, tu emprunté à 30% de tes revenus sur 20 ans, même à taux fixe, ça te coûtera toujours environ 30% ( à peu de choses près) de tes revenus à la fin du crédit...
Par ailleurs, est-ce que l'indice d'inflation Français prend en compte l'achat de l'immobilier ?
En Espagne, non, vu que l'achat d'une propriété est considéré comme un Investissement, et non pas un Bien de consommation.
Christine Lagarde, (Présidente de la BCE) très récemment, préconisait d'ailleurs que l'évolution des prix d'achat de l'immobilier, soit également inclu dans la variation de l'inflation.
Ceci me paraît très sensé, vu qu'il s'agit bien souvent du premier poste de dépense des ménages.
Et c'est surtout les banques qui profitent de l'inflation basse (moindre volatilité de l'Economie). En ce moment, elles peuvent même emprunter à taux négatif pour prêter à l'Etat et au Privé (mais pas à taux négatif aussi, faut pas déconner :) ).