Le téléphone automatique fut inventé à cause d'un détournement de clientèle

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Le téléphone automatique permet d'appeler directement un correspondant sans passer par une opératrice. Il a été inventé en 1891 par Almon Brown Strowger, un entrepreneur de pompes funèbres américain qui soupçonnait une opératrice téléphonique de transmettre les appels de clients potentiels à son concurrent.


Tous les commentaires (53)

Euh d'ailleur jai travailler sur ce truc en 4ieme xd

Même la Mort peut rapporter des Sous, il n'y a pas de petits Profits !.

a écrit : Même la Mort peut rapporter des Sous, il n'y a pas de petits Profits !. Evidemment que ça rapporte! C'est un des marchés dont on est sûr qu'il y aura toujours des clients... (et c'est pas juste de l'humour noir...)

a écrit : Ça paraît génial, il en existe des versions smartphone ? Si c'est une blague je la comprend pas si c'est pas une blague sa me fait marrer puisque tout les portables utilisent ça !

Je n'ai maleuresement pas compris. Quelqu'un pourrait-il m'expliquer ? Merci d'avance

a écrit : Je n'ai maleuresement pas compris. Quelqu'un pourrait-il m'expliquer ? Merci d'avance Les clients appelaient ledit entrepreneur en passant par l operatrice qui trnasmettait les Appels a son concurrent. Avec L appel automatique Le problems est resolu car ses clients l appeleient directement

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Interessant ! Bien que de mon cote j'avoue que je viens surtout d'apprendre qu'avant on passé par une operatrice avant de joindre quelqu'un.
J'me coucherais deux fois moins bète quoi !

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a écrit : Evidemment que ça rapporte! C'est un des marchés dont on est sûr qu'il y aura toujours des clients... (et c'est pas juste de l'humour noir...) Mais meme juste au niveau humour noir elle est très bonne :D

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a écrit : Ou plutôt ...la famille des "clients"... Non non. Bien les clients. Le client n'est pas le mort, c'est bien la famille.
Au pire le mort serait... le "produit" :/

a écrit : Peux tu developper stp : pourquoi une entreprise commerciale dirigerait de potentiels clients vers un concurrent ? C'était un rappel de l'anecdote : les "potentiels clients" en question seraient bien trop focalisés sur leur perte plutot qu'a remarquer qu'ils prennent contacte avec B alors qu'ils avaient préalablement appelé A.

Bien à toi.

a écrit : C'est dommage de faire une generalité et d'englober tous les acteurs d'une profession alors que je doute que vous ne les ayez tous essayé. Je dis pas que ce que vous dites est faux, juste qu'en rajoutant 'certaines pompes funebres' dans votre commentaires, il n'aurait pas perdu en sens ;) Il est vrai que l'amalgame etait mal venu. J'aurais sans doute du modérer mes propos, incriminer tous les professionnels de cette branche n'étant pas mon bute.
Merci pour votre remarque, qui etait pertinente.

Bien à vous, Copernico.

a écrit : Le 22 à Asnières est une caricature car à l'époque du sketch, l'automatique était généralisé en région parisienne.
La numérotation comportait trois lettres (correspondant à un quartier de la ville) et quatre chiffres.

Exemples :
DEF 26 40 correspondait au quartier de la Défense, à Cou
rbevoie.
INV 18 34 -> quartier des Invalides à Paris.
Afficher tout
De plus le sketch du 22 à Asnières est censé de passer dans un bureau de poste où les opératrices composent le numéro demandé par le client et lui font payer ensuite la communication. Ça ne veut pas dire que les abonnés au téléphone ne pouvaient pas appeler depuis chez eux en composant directement des numéros sur le cadran de leur téléphone.

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a écrit : Ou plutôt ...la famille des "clients"... Mais comment une blague qui n'a pas de sens peut se retrouver en " top comment " ?
Les gens utilisent cette appli soit-disant pour " se coucher moins bête " et pourtant, les commentaires les plus pertinents sont souvent noyés sous un amas de redites et de remarques inutiles.
C'est dommage. :-(

En tout cas, l'anecdote prouve que l'innovation peut venir de n'importe où, même si elle ne concerne pas directement notre coeur de métier.

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a écrit : Les opératrices connectaient manuellement à l'aide de "jacks" alors que l'automatique le faisait mécaniquement par l'intermédiaire du cadran tournant qui envoyait les impulsions nécessaires pour la numérotation. Aujourd'hui, c'est électronique, évidemment. Ça me rappelle un épisode de Tintin... Je crois que c'est à Chicago, et le méchant dit a l'opératrice de ne pas lui donner le correspondant je crois...
Bon et bien je comprend mieux ce qu'elle faisait!
Je me couche doublement moins bête!!

a écrit : Ça paraît génial, il en existe des versions smartphone ? Je crois que tu confonds opératrice (avant les appels directs de téléphone à téléphone, une personne faisait intermédiaire pour rediriger les appels) et opérateur. Aujourd'hui et depuis bien longtemps, un appel va directement du téléphone émetteur au téléphone récepteur. Les opérateurs n'ont rien à voir là-dedans. Tu n'as pas lu attentivement !

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a écrit : Etonnant que le service automatique ait mis autant de temps à se mettre en place ensuite. Rappelez-vous du 22 à Asnières qui est bien postérieur à 1891... Les vitres électriques et la climatisation sont apparus en 1930 dans le milieu automobile. Et pourtant il se trouve encore des constructeurs, pour en faire une "option".

a écrit : il parle surtout du fait que lorsque on est en deuil une personne est plus influencable que dans son etat normal Le saturer de "low cost" et garder les "prenium".

a écrit : De plus le sketch du 22 à Asnières est censé de passer dans un bureau de poste où les opératrices composent le numéro demandé par le client et lui font payer ensuite la communication. Ça ne veut pas dire que les abonnés au téléphone ne pouvaient pas appeler depuis chez eux en composant directement des numéros sur le cadran de leur téléphone. Afficher tout Je vois que j'ai mal été comprise car à l'époque du sketch, le 22 à Asnières n'existait plus !

Il existait déjà la numérotation dont je parle et dans les bureaux des P.&T.*, il y avait des cabines téléphoniques pour l'automatique et d'autres pour les communications manuelles généralement attribuées à la province et l'étranger, pour lesquelles les opératrices étaient nécessaires.

*P.&T. (Postes et télécommunications) a été la dénomination officielle pendant une période des années 1960-70 pour revenir ensuite à P.T.T.

Source : mon vécu (j'habitais Courbevoie à l'époque).

Il faut savoir qu'il y avait très peu d'abonnés non professionnels dans ces années-là !

Mme Oleson a encore frappé!!

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a écrit : Non non. Bien les clients. Le client n'est pas le mort, c'est bien la famille.
Au pire le mort serait... le "produit" :/
Le «conditionnement» du mort est le produit et le mort , «le chantier».

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