"Liberté, égalité, fraternité" est la devise de la France mais également la devise officielle d'Haïti. L'influence de la France est réelle puisque Haïti appartenait à la France jusqu'en 1825, date de son indépendance. La devise ne fut adoptée à nouveau dans la constitution haïtienne qu'en 1987.
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Quant aux langues minoritaires, bah la IIIème république a essayé de les supprimer dans une optique de nation "une et indivisible" et puis quand on s'est rendu compte que c'était pourri comme idée c'était trop tard. Plus personne ne parle que le breton (ou autres langues minoritaires régionales) et très peu le parle couramment. Donc autant dire qu'il y a plus rien à reconnaître.
Pas de personnalité :o
Dernière remarque: l'histoire d'Haïti passe logiquement derrière celle de la métropole dans le cadre du programme d'Histoire des écoles, et devrait également se trouver au moins à part égale avec les histoires des nombreux autres pays colonisés par la France: une étude exhaustive est donc impossible. Cela n'est pas aidé non plus par un enseignement dont la qualité décroit de jour en jour, entre parenthèses.
En bref, assez de cette politique de diabolisation de l'ère coloniale: la France a possédé pendant un temps l'Empire colonial le plus humain d'entre tous et le plus fertile sur de nombreux points. Soyons fier de ce qui a été fait de bien et tâchons d'éviter de reproduire nos erreurs. Ne tolérons plus que cet héritage soit souillé par des bien-pensants qui ne savent pas de quoi ils parle, mais ne ressentent aucune honte à le faire.
En ce qui concerne "le fait qu'il n'y ait plus rien à sauver" au niveau de la langue, c'est sûr qu'avec une telle mentalité, on va pas aller loin.
Le nombre de personnes apprenant cette langue est en pleine explosion, et ce, à tout âge. D'après les statistiques, si ça continue à évoluer ainsi, d'ici 2040 le nombre de locuteurs devraient de nouveau augmenter, après 100 ans de baisse. Il y a de plus en plus d'initiatives citoyennes pour cette langue, dû à une forte demande.
Des universités à Moscou, Kiev, New-York, Sydney, Toronto, Cambridge ... enseignent le breton, mais à Nantes, capitale historique de la Bretagne, la direction refuse que ce soit le cas. Normal?
Bref, je pense pas que ce soit trop le sujet de l'anecdote, mais si tu veux en discuter en privé, j'suis ouvert.
Bon ben moi a la base je voulais lire les commentaires pour en apprendre un peu plus et maintenant j'ai envie de vomir. C'est malin !
Le monde entier nous envie notre philosophie et l'anecdote prouve note influence... Comme quoi tout les gens qui disent du mal de la France peuvent aller se rhabiller !!!