Il y a plus de 8000 ans, une civilisation entière a été anéantie par un tsunami

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En 6100 av. J.-C., un gigantesque tsunami provoqué par un glissement de terrain sous-marin au large de la Norvège a balayé tout le nord de l'Écosse. De récentes fouilles ont montré qu'il y avait là une civilisation mésolithique florissante, anéantie d'un coup par cette vague, qui aurait aussi fait de la Grande-Bretagne une île.


Tous les commentaires (121)

a écrit : S'il y a bien une espèce sur terre capable de s'adapter à de tels changement, c'est bien l'espèce humaine.
Alors bien entendu certains vont morfler, c'est certain, et probablement ceux qui morflent déjà pas mal ;)
Ce serait sacrément le bordel je pense. Si la moitié des terres cultivables devenait des désert ou autres il y aurait un grand manque de ressources. Du coup guerre pour s'approprier les dernière ressources et beaucoup de dégât pour que chacun puissent survivre. Ce n'est qu'un scénario hypothétique mais pour moi il est assez probable.

On parle de changements de températures de quelques degrés. Il est clair que l'homme le supportera sans problème, ainsi que la plupart des être vivants sur Terre. Par contre, nos modes de vie vont changer radicalement (à commencer par les maldiviens), et ça, ça fait flipper les chantres du contrôle des populations.

Il ne faudrait quand même pas oublier qu'à l'échelle historique, il y a déjà eu des "mini réchauffements" et des "mini périodes glaciaires". Sous Louis XIV, la Seine gelait pas tous les hivers mais presque, entraînant des récoltes hasardeuses et donc des famines assez facilement, et le Groenland lui était quasiment invivable. Inversement à l'époque d'Hugues Capet, la Scandinavie a connu un réchauffement tout relatif, et donc une expansion démographique sans précédent qui les a encouragé à prendre la mer plus souvent, et à en profiter pour piller sans vergogne tout ce qui passait à leur portée (sacrés vikings :D).

Mais c'est là où je veux en venir : le moindre petit changement climatique peut avoir des conséquences fumeuses politiquement. Or justement, le taux de CO² ce dernier siècle et demi a grimpé en flèche comme jamais. Bon il faut dire aussi que le taux de CO² avant le 18e siècle était estimé et non pas mesuré, ce qui fait qu'on ne sait pas réellement à quel point il a pu y en avoir dans l'atmosphère depuis la fin de la glaciation de Würm il y a 10000 ans.

a écrit : Il ne s'agit pas de glace flottant sur l'eau - effectivement un iceberg qui fond ne change rien au niveau (à part d'infimes modifications dues à la différence des salinités) -, mais de celles qui sont sur terre, comme actuellement au Groenland.

Et l'Europe a été presque partout couver
te de glaces; où donc l'eau de fusion est-elle allée?

La Tamise et le Rhin, la Seine, etc. formaient un fleuve unique se jetant entre la Bretagne et la Cornouailles actuelles.
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Lors d'un réchauffement climatique, la montée du niveau des océans est due à l'élévation de leur température qui s'accompagne d'une dilatation de l'eau.

a écrit : Physiquement, celle où l'on a plus de confort, craint moins le froid, risque moins d'avoir faim, peut soulager dans une certaine mesure la douleur, sait se défendre contre les prédateurs (des loups aux virus), etc..

Intellectuellement, celle où l'on comprend mieux comment utiliser les ressou
rces naturelles au lieu d'en dépendre, de l'invention de l'agriculture à celle de nouveaux matériaux extraordinaires (ciment par les Romains, puis béton armé, fibres de carbone maintenant, etc.).

Socialement, celle où l'on admet que la tolérance d'idées diverses est un facteur de progrès, que ce qui semblait non orthodoxe, voire farfelu est en fait très raisonnable. Et que nous autres sommes tous des humains ayant intérêt à collaborer d'égal à égal, ce qui ne veut pas dire exactement de semblable (au sens d'identique) à semblable.

Globalement, de moins mal comprendre l'univers, et d'en utiliser raisonnablement les ressources à son profit.

Les exemples cités sont très ponctuels, il y aurait de quoi faire une encyclopédie en les recensant tous.
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Je souhaitais nourrir la discussion sur le thème des civilisations.
C'est raté.
Les météorologues ont pris le dessus.:)

a écrit : Tout comme la civilisation Minoenne (au sud de la Grèce) qui ont eu le même sort en 1200 avant J. C. Celle-ci avait néanmoins vécu 1500 ans, a quand le prochain tsunami dévastateur ? :s y'a 12 ans, au large de Sumatra.

a écrit : Ce n'est pas la fonte des glaces qui font monter l'eau. Prends un glaçon met le dans l'eau et fais le fondre, tu verras que l'eau n'a pas augmenté Bien sûr que oui. Les montagne la neige et/ou glace qui y es présente une fois fondue. Bah ce retrouve dans les mers.
Je pense également qu'il doit y avoir de nombreuses trace de civilisation sous les mers et océans du fait de la fonte des glaces. Malheureusement certaines doivent être sous les sédiments et à mon avis extrêmement difficile à mettre au jour (voir impossible).

a écrit : On parle de changements de températures de quelques degrés. Il est clair que l'homme le supportera sans problème, ainsi que la plupart des être vivants sur Terre. Par contre, nos modes de vie vont changer radicalement (à commencer par les maldiviens), et ça, ça fait flipper les chantres du contrôle des populations.

Il ne faudrait quand même pas oublier qu'à l'échelle historique, il y a déjà eu des "mini réchauffements" et des "mini périodes glaciaires". Sous Louis XIV, la Seine gelait pas tous les hivers mais presque, entraînant des récoltes hasardeuses et donc des famines assez facilement, et le Groenland lui était quasiment invivable. Inversement à l'époque d'Hugues Capet, la Scandinavie a connu un réchauffement tout relatif, et donc une expansion démographique sans précédent qui les a encouragé à prendre la mer plus souvent, et à en profiter pour piller sans vergogne tout ce qui passait à leur portée (sacrés vikings :D).

Mais c'est là où je veux en venir : le moindre petit changement climatique peut avoir des conséquences fumeuses politiquement. Or justement, le taux de CO² ce dernier siècle et demi a grimpé en flèche comme jamais. Bon il faut dire aussi que le taux de CO² avant le 18e siècle était estimé et non pas mesuré, ce qui fait qu'on ne sait pas réellement à quel point il a pu y en avoir dans l'atmosphère depuis la fin de la glaciation de Würm il y a 10000 ans.
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"on ne sait pas réellement à quel point il a pu y en avoir dans l'atmosphère depuis la fin de la glaciation de Würm il y a 10000 ans."

Mais si, les sondages de glace en Antarctique permettent de connaître la composition de l'atmosphère sur des centaines de milliers d'années. La teneur en CO² a énormément varié, les plantes et surtout le phytoplanction assurant un certain équilibre.

Une source parmi de nombreuses, il suffit de Googler:
www.lemonde.fr/sciences/article/2015/04/06/subglacior-une-sonde-dans-les-archives-du-climat_4610440_1650684.html

a écrit : Il est très possible que nous vivions entre deux ères glaciaires (prière de ne pas confondre avec la glacière que l'on emporte en pique-nique).
Mais en fait, personne n'en sait rien, c'est trop complexe. Ce qui est sûr, c'est que le petit réchauffement actuel, très partiellement dû aux activit
és humaines, et enregistré depuis un siècle environ (rien, en échelle climatique) peut retarder l'arrivée d'un nouvel âge glaciaire.
Bien plus importantes sont les conséquences sur les courants maritimes et atmosphériques, très instables (un petit changement des conditions initiales conduit à des comportements entièrement différents). Selon certains modèles, un réchauffement global pourrait conduire à un refroidissement très sensible de l'Europe, de leur fait.
Mais chut, déjà mentionné, tout universitaire qui mentionnerait l'insignifiance des activités humaines par rapport aux activités volcaniques, productrices de gaz carbonique, biologiques, elles de méthane, et surtout dire que tout le battage actuel, c'est une gigantesque escroquerie, recevrait une lettre de licenciement. Il deviendrait technicien de surface ou clochard.
Que l'on me pardonne donc de ne pas citer de sources, fiables mais qui tiennent à leur carrière. En résumé, le principal "coupable" serait le chaotique soleil, c'est avec lui que les corrélations sont les plus fortes, mais pas assez pour satisfaire un mathématicien.

Je ne veux en aucun cas sembler anti-écolo, ni dire que jeter ses déchets n'importe comment, par exemple abandonner des bouteilles en plastique virtuellement indestructible sur une plage, ou des filets et lignes d'un navire, etc., etc., ne sont pas des comportements déments.
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J comprends pas pourquoi tu dis que tu peux pas citer de sources ? Mais à quoi tient cette omertà sur les "vraies" causes réchauffement; parce-que globalement pour la "société "ou le "système ", dire que la pollution humaine n'influe pas de façon significative c'est bonnard, non?

a écrit : On parle de changements de températures de quelques degrés. Il est clair que l'homme le supportera sans problème, ainsi que la plupart des être vivants sur Terre. Par contre, nos modes de vie vont changer radicalement (à commencer par les maldiviens), et ça, ça fait flipper les chantres du contrôle des populations.

Il ne faudrait quand même pas oublier qu'à l'échelle historique, il y a déjà eu des "mini réchauffements" et des "mini périodes glaciaires". Sous Louis XIV, la Seine gelait pas tous les hivers mais presque, entraînant des récoltes hasardeuses et donc des famines assez facilement, et le Groenland lui était quasiment invivable. Inversement à l'époque d'Hugues Capet, la Scandinavie a connu un réchauffement tout relatif, et donc une expansion démographique sans précédent qui les a encouragé à prendre la mer plus souvent, et à en profiter pour piller sans vergogne tout ce qui passait à leur portée (sacrés vikings :D).

Mais c'est là où je veux en venir : le moindre petit changement climatique peut avoir des conséquences fumeuses politiquement. Or justement, le taux de CO² ce dernier siècle et demi a grimpé en flèche comme jamais. Bon il faut dire aussi que le taux de CO² avant le 18e siècle était estimé et non pas mesuré, ce qui fait qu'on ne sait pas réellement à quel point il a pu y en avoir dans l'atmosphère depuis la fin de la glaciation de Würm il y a 10000 ans.
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"Inversement à l'époque d'Hugues Capet, la Scandinavie a connu un réchauffement tout relatif, et donc une expansion démographique sans précédent qui les a encouragé à prendre la mer plus souvent, et à en profiter pour piller sans vergogne tout ce qui passait à leur portée (sacrés vikings :D)."

Comme descendant des Vikings, comme le prouvent mon physique et mon nom, je me sens insulté; envoyez-moi votre carte et vos témoins, j'ai le choix de l'arme, en l'occurrence une massue. On s'arrête au premier sang, de toutes façons il n'y en aurait pas deux. :D

Sérieusement, oui, il y a eu des pillages de leur part, mais pas pire que partout ailleurs. Les Vikings se sont vite installés tranquillement, en Normandie (et promptement abandonné leur langue), et en Grande-Bretagne où ils ont rapidement fondé des communautés paisibles en coexistence commerciale, et jusqu'en Sicile, ont fondé Moscou et Dublin, ont commercé via la Volga jusqu'au Moyen-Orient, ont découvert l'Amérique, possédaient des précurseurs de l'astrolabe, et (mais selon un principe très différent) du sextant, avaient une orfèvrerie extraordinaire, construisaient bien plus de péniches commerciales que de drakkars de guerre (constructions admirables d'ailleurs, inimaginables de la part de brutes), etc..

Bien plus des commerçants et des fondateurs que des guerriers, donc.

Il faut avoir d'autres sources qu'Asterix, qui les affuble de casques à cornes qu'ils n'ont jamais eu.

Rien ne passait à leur portée, mais ils se portaient vers des terres plus clémentes, et s'y intégraient, comme les analyses génétiques le prouvent.

a écrit : Je me garderais bien de dire que le commentaire d'Amouruniversel est stupide, et pas seulement par courtoisie élémentaire.
Les observations ne reposent que sur des écrits fragmentaires, puis sur des mesures réelles depuis guère plus d'un siècle, totalement insufisantes pour avoir une vue d'ensemble
.
En pleine période industrielle, où l'usage du charbon était à son maximum, la Seine a gelé ferme à Paris.
Il faut s'y résoudre, le climat est chaotique, et donc très difficile à expliquer et prévoir. C'est peut-être même impossible à modéliser, donc d'en discerner les causes.
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C'est un peu simpliste de faire un lien aussi direct entre l'utilisation du charbon en France et le faite que la seine est gelée a cette période...

a écrit : En 6100 av J.C le réchauffement climatique faisait déjà des ravages? Hmm je ne savais pas Fin de l'ère glaciaire 5000 ans avant, si ça c'est pas un réchauffement du climat! ^^

a écrit : Voilà la vraie question... La planète n'a jamais eu besoin de l'homme pour "glacer" de manière qu'on ne peut même pas imaginer ; où "se réchauffer" à tel point qu'elle a fait disparaître des milliers d'espèces vivantes... Et ce, de nombreuses fois !
Je me garderai bien ici d'émettre une hypothèse sur ce sujet.
Sauf qu'aujourd'hui, c'est l'homme qui réchauffe dans une période interglaciaire.

Bon, je suis d'accord que la planète s'en remettra, quelques petits degrés de plus où de moins ne tueront pas la vie, mais 80% des humains vivant près des côtes, 2 mètres de plus et ça va nous coûter très cher je te le garantis.

a écrit : T'as déjà vu l'âge de glace ?

D'après toi, elle est parti comment ma glace ? Par un bon vieux réchauffement ;)

C'est d'ailleurs un des arguments des anti-climats. La terre a connu de nombreuses variations de températures.
Et toutes liées au pourcentage de gaz carbonique dans l'atmosphère mais le taux de CO² a presque doublé depuis la révolution industrielle. Je dis ça, je dis rien hein ;) ^^

a écrit : Le principal gaz à effet de serre, c'est ... l'eau de l'atmosphère. Les climats ont changé du tout au tout dans le temps, la cause principale étant probablement due aux caprices de l'activité solaire, qui induit des réactions en chaîne dans les écosystèmes, et le climat lui-même, dont le fonctionnement très complexe est intrinséquement instable. Comme les modélisations qui font intervenir des équations aux dérivées partielles.

L'activité humaine, depuis le néolithique où l'on a commencé à déboiser, a certainement eu une influence, majeure pour la pollution, en particulier cancérigène, mais infime pour l'actuel réchauffement climatique.

Un universitaire qui ose dire ça, finie sa carrière - il y a un véritable terrorisme contre ceux, même prix Nobel, qui disent que l'on culpabilise le citoyen ordinaire alors que l'essentiel vient de grosses sociétés -; aussi je passe par un proxy.
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J'admets.

Merci Bruxelles qui a refusé l'étiquetage de l'impact carbone sur tout ce que l'on achète. Un gouvernement élu par le peuple qui ne sert que les intérêts des Blindards!

a écrit : La planète ne s'arrêtera pas de tourner et de vivre même si l'atmosphère se réchauffe de 10/20 degrés. Par contre pour la race humaine on risque d'avoir du mal à survivre. La race humaine survivra, t'inquiète. On est une espèce très adaptative et résistante.
Par contre la civilisation... Si elle existe encore dans 200 ans ça sera un vrai miracle.

a écrit : S'il y a bien une espèce sur terre capable de s'adapter à de tels changement, c'est bien l'espèce humaine.
Alors bien entendu certains vont morfler, c'est certain, et probablement ceux qui morflent déjà pas mal ;)
Pas forcément, ceux qui morflent déjà sont habitués à morfler, alors que nous, avec nos supermarchés, nos bagnoles et nos chauffages centrals, si ça part en brioche, c'est dans les pays riches et surpeuplés que ça va être l'enfer quand la technologie ne nous servira plus à rien.

a écrit : Une civilisation ou l'on ne craint plus pour sa survie le lendemain, où l'on vit en harmonie avec ses semblables et plus généralement avec les autres espèces animales et végétales - en les exploitant sans doute, mais sans compromettre leur existence.

En ce sens, les animaux et même les plantes on
t des civilisations avancées. Autour d'un point d'eau en Afrique, chaque espèce prend son tour pour s'abreuver; quand c'est celui des gazelles, les lions attendent patiemment: ils pourraient faire un carnage immédiat et facile, mais savent que ce serait leur propre ruine à long terme.

Seul l'homme est assez intelligent pour avoir les moyens de tuer sa propre race en ne respectant pas les équilibres écologiques complexes et subtils, et assez bête pour les utiliser parfois.
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C'est pas une civilisation ça, c'est un écosystème. Une civilisation avancée, c'est une civilisation qui a des technologies et un mode de vie plus efficace que les autres civilisations.

a écrit : Ce n'est pas la fonte des glaces qui font monter l'eau. Prends un glaçon met le dans l'eau et fais le fondre, tu verras que l'eau n'a pas augmenté Ouais, sauf si les glaces sont sur le bord du verre où sur un continent.

a écrit : C'est un peu simpliste de faire un lien aussi direct entre l'utilisation du charbon en France et le faite que la seine est gelée a cette période... Évidemment que c'est simpliste, j'en avais bien conscience en écrivant ça. Ce que je voulais dire, c'est que la révolution industrielle amorcée en Grande-Bretagne à la fin du XVIIIème, en pleine explosion au XIXème, les vents dominants rabattant la pollution vers le continent, et la France suivant de peu, n'ont pas changé le climat.
Une éruption volcanique, un incendie de forêt, dégagent bien plus de CO² que les usines de l'époque. La nature vient au secours pour équilibrer, cela favorise les végétaux qui fixent le carbone et produisent de l'O². Et de quoi est formé le calcaire?

a écrit : Une civilisation ou l'on ne craint plus pour sa survie le lendemain, où l'on vit en harmonie avec ses semblables et plus généralement avec les autres espèces animales et végétales - en les exploitant sans doute, mais sans compromettre leur existence.

En ce sens, les animaux et même les plantes on
t des civilisations avancées. Autour d'un point d'eau en Afrique, chaque espèce prend son tour pour s'abreuver; quand c'est celui des gazelles, les lions attendent patiemment: ils pourraient faire un carnage immédiat et facile, mais savent que ce serait leur propre ruine à long terme.

Seul l'homme est assez intelligent pour avoir les moyens de tuer sa propre race en ne respectant pas les équilibres écologiques complexes et subtils, et assez bête pour les utiliser parfois.
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je te cite:Seul l'homme est assez intelligent pour avoir les moyens de tuer sa propre race en ne respectant pas les équilibres écologiques complexes et subtils, et assez bête pour les utiliser parfois.

L'oxygène de l'air, qui est un poison violent, est un déchet toxique de la vie elle-même, la vie a par nature depuis la nuit des temps influencé cette planète, pareil pour nous.
Le premier arbre a consommé tellement de carbone dans l'air qu'il a provoqué une glaciation planétaire, est il coupable?
La vie avance, exploite les ressources disponibles, s'adapte aux changements et évolue, c'est tout. Bon c'est pas une raison pour raser les forêts et polluer les océans c'est sur!^^

En fait, la différence, c'est que nous sommes conscients de ce que nous faisons mais c'est pas pour ça qu'on le fais exprès pour tout casser.