Pourquoi les disques durs ont-ils pris comme lettre C: ?

Proposé par
le

Sur les ordinateurs, le disque dur principal se trouve généralement sur "C:". Le choix de cette lettre est historique : à l'époque des disquettes, les unités centrales possédaient un ou 2 lecteurs nommés A: et B:. Lorsque le disque dur est apparu, il lui fut attribué en toute logique la lettre "C". Malgré la disparition des disquettes, la lettre C a été conservée.


Tous les commentaires (65)

a écrit : Merci pour ces explications ! J'ai toujours pensé (à tord) que le BIOS était dans le DD mais j'avoue que mes connaissances en hardware sont un peu limitées. Le BIOS est dans un chipset bien à part dans la carte mère dans la majorité des cas.
Mais il arrive qu’il soit dans le disque dur :
IBM ou compaq avait créé un pc donc le disque contenait une mini partition de - de 20Mo est dedans... imaginez la surprise quand j’ai formaté tout le disque (j’ai du passer au moins 6h pour trouver la solution et comprendre pourquoi le PC n’acceptais une réinstallation).

a écrit : La loi de Moore est-elle encore d'actualité ? Plus ou moins... on évolue plus souvent qu’il y a 20 ans.

La disquette est comme Jesus-Christ. Elle a dû mourir pour devenir l’icône du sauveur !

(Pour ceux qui ne comprennent pas, regardez à quoi ressemble l’icône de sauvegarde dans la plupart des logiciels)

a écrit : La disquette est comme Jesus-Christ. Elle a dû mourir pour devenir l’icône du sauveur !

(Pour ceux qui ne comprennent pas, regardez à quoi ressemble l’icône de sauvegarde dans la plupart des logiciels)
Et quand tu demandes à des jeunes de moins de 20 ans, il ne savent pas ce que cet icone représente. Même après avoir dit le mot disquette...
Tout comme le logo du bouton On/Off avec son 0 et son 1 imbriqué l'un dans l'autre.
Bientôt ce sera le logo téléphone en forme de combiné qui sera désuet.

a écrit : L'ultime argument des pro Apple, "ça semble complexe mais c'est mieux !" ^^ J'aurais dit pro-linux. Et oui c'est plus logique.

a écrit : Précisons que l'anecdote parle ici des ordinateurs tournant sous le système d'exploitation Windows. Sous Linux, Android, MacOS, le système est différent : il y a une arborescence dont la racine est appelée "/", et les différents périphériques y sont accrochés par exemple dans /dev/sda pour un disque dur. (dev correspond à un dossier dans le monde Windows, et sda serait c: ). Ça peut paraître complexe au premier abord, mais si vous vous renseignez, vous verrez que l'ensemble est plus logique que sous Windows. Afficher tout L'ultime argument des pro Apple, "ça semble complexe mais c'est mieux !" ^^

a écrit : Le BIOS est dans un chipset bien à part dans la carte mère dans la majorité des cas.
Mais il arrive qu’il soit dans le disque dur :
IBM ou compaq avait créé un pc donc le disque contenait une mini partition de - de 20Mo est dedans... imaginez la surprise quand j’ai formaté tout le disque (j’ai du passer au
moins 6h pour trouver la solution et comprendre pourquoi le PC n’acceptais une réinstallation). Afficher tout
Le bios est (était) toujours stocké dans de la mémoire morte (ROM, ou EPROM, EEPROM) sinon l'ordinateur ne pourrait pas accéder à la disquette ou au disque dur pour charger le système. BIOS veut dire Basic Input Output Système, ce sont les fonctions qui gèrent les lecteurs, l'écran, etc. C'est le système (MSDOS) que tu avais effacé.

a écrit : Précisons que l'anecdote parle ici des ordinateurs tournant sous le système d'exploitation Windows. Sous Linux, Android, MacOS, le système est différent : il y a une arborescence dont la racine est appelée "/", et les différents périphériques y sont accrochés par exemple dans /dev/sda pour un disque dur. (dev correspond à un dossier dans le monde Windows, et sda serait c: ). Ça peut paraître complexe au premier abord, mais si vous vous renseignez, vous verrez que l'ensemble est plus logique que sous Windows. Afficher tout Désolé de casser l'ambiance, mais Windows n'existait pas encore à cette époque. Les PC utilisaient MS-DOS comme système d'exploitation (version 1, 2 puis la génération 3 : 3.10, 3.20...). Je sais, c'est vieux tout ça !

a écrit : Eh oui ! Les premiers PC (Personal Computer) d'IBM, "bootaient" à partir de la disquette A:. À la mise sous tension, l'ordinateur avait seulement le BIOS en mémoire, un système très basique contenus dans de la mémoire morte qui était seulement capable d'afficher "Must boot from drive A:" s'il ne trouvait pas, dans le lecteur A:, une disquette contenant un système capable de lui donner la vie... Il chargeait ce système en mémoire vive et pouvait ensuite exécuter d'autres logiciels eux aussi chargés à partir du lecteur de disquettes (on pouvait enlever la disquette-système une fois qu'elle était chargée en mémoire ou mettre les autres logiciels sur la même disquette que le système pour éviter d'avoir à manipuler les disquettes), mais pas beaucoup car il fallait que tout ça tienne dans les 512 Ko de mémoire vive (il y a peut-être eu des PCs avec 256 Ko ou moins de mémoire mais je n'ai pas connu, sinon il y avait d'autres ordinateurs "familiaux" qui n'étaient pas de marque IBM et possédaient 8 Ko de mémoire. Les modèles avec 16 ou 64 Ko étaient considérés comme luxueux !)... Actuellement le moindre téléphone mobile basique possède des milliers de fois plus de puissance et de capacité qu'un ordinateur de l'époque. Afficher tout Merci Papi pour l'historique

Comment se sentir vieux tout d'un coup parce que... je le savais déjà.

Et aujourd'hui, pour sauvegarder on clique sur le symbole disquette, alors que beaucoup de gens n'en ont jamais vues. Mes enfants étaient habitués au logo mais ne savaient pas ce que ça représentait

a écrit : 1,44 Mo pour les plus hautes densités en 3,5", les modèles 5"1/4 plafonnaient quant à eux à 1,2 Mo. De mémoire il me semble me souvenir que les disquettes d'installation pour Windows 95 possédaient des partitions de 2mo par disquette.

a écrit : Ha que de souvenirs !
Il y avait aussi les cas où l’on demandait une copie de la disquette, et on recevait une photocopie des deux faces ...
J’ai même eu le cas d’un client qui avait appelé le support. On lui demande d’insérer la disquette 1, pas de souci.
La disquette 2, il peine un peu mais finit p
ar y arriver.
La disquette 3, impossible.
On finit par comprendre qu’il n’avait pas retiré les disquettes avant d’insérer la suivante.
Afficher tout
Je comprends pas ton anectote, a quel moment on peux lui demander d'insérer la dsk 3, si il a tout défoncé pour mettre la deux, peu de chance qu elle pu être lue correctement, non ?

a écrit : Petite précision, ces lettres (C:, A:, B:...) ne sont pas utilisées sur tous les ordinateurs mais uniquement sur les ordinateurs Windows. Vous ne les trouverez pas sur OSX, Linux, ChromeOS. Absolument, anectote imprécise effectivement.

[Edit]
Mon premier ordinateur était un Commodore Vic20. 3.5ko de RAM et un lecteur de cassettes additionnel (et non disquette). Tout ça en 1983. Un Basic à charger et une prise coaxiale à brancher sur l'unique téléviseur familial

a écrit : Je comprends pas ton anectote, a quel moment on peux lui demander d'insérer la dsk 3, si il a tout défoncé pour mettre la deux, peu de chance qu elle pu être lue correctement, non ? Moi je me demande comment il a inséré la DSK 2 déjà.

a écrit : Et c'était suffisant pour une ROM de Bomberman, Wolfenstein ou DOOM!
La belle époque, moi je vous le dis... (Et mtn en plus d'être infestés de microtransactions, ils font exprès de sortir des jeux prennent plein de place,en compressant quasi rien, et avec des temps de chargement soporifiques)
Coucou Rockstar...
C'est vrai qu'on trouve de plus en plus de gros navets dans les grosses productions mais il y a aussi de bons jeux du côté des indépendants. Et franchement je ne suis pas autant déçu par les producteurs de jeux que par les joueurs qui se sont transformés en une bande de pigeons sans pareil, honnêtement je pense qu'on n'a que ce qu'on mérite en l'occurrence. Quand tu payes 60 euros pour Call of Duty 19,2 ou quoi que ce soit, qui est en gros le jeu précédent dans la franchise avec deux trois nouveaux contenus, pas étonnant qu'on ait envie de sortir une suite le mois suivant avec le même moteur. Les gens payent pour des skins d'arme dans un tas de jeux nom d'une pipe, tout ça pour quoi, montrer en multijoueurs qu'ils sont de super gros pigeons ?

a écrit : Coucou Rockstar...
C'est vrai qu'on trouve de plus en plus de gros navets dans les grosses productions mais il y a aussi de bons jeux du côté des indépendants. Et franchement je ne suis pas autant déçu par les producteurs de jeux que par les joueurs qui se sont transformés en une bande de pigeons sans p
areil, honnêtement je pense qu'on n'a que ce qu'on mérite en l'occurrence. Quand tu payes 60 euros pour Call of Duty 19,2 ou quoi que ce soit, qui est en gros le jeu précédent dans la franchise avec deux trois nouveaux contenus, pas étonnant qu'on ait envie de sortir une suite le mois suivant avec le même moteur. Les gens payent pour des skins d'arme dans un tas de jeux nom d'une pipe, tout ça pour quoi, montrer en multijoueurs qu'ils sont de super gros pigeons ? Afficher tout
Je veux bien qu'on critique les navets des derniers AAA type call of ou battlefield avec leur micro-transactions, leur lootbox et les chargements interminables.

Mais pour le coup, Rockstar, pas vraiment.
Prenons Red dead redemption 2. Oui le jeu est très gros avec 105 giga je crois sur console. Sauf que le jeu est également immense, en openworld, avec des centaines de PNJ, des détails hallucinants, je ne sais combien d'heures de cinématiques et une profondeur de champs d'affichage inégalé pour le moment. Je n'y connais rien en compression de jeux mais je ne crois pas qu'il s'amuse à grossir la taille du jeu pour rien.
Pour le chargement, il n'y en a qu'un seul au lancement qui dure quelques minutes comme GTA 5 et ensuite plus aucun chargement pendant toute la durée de la session de jeu. Certains chargements de voyage rapide sont camouflés en cinématique. Je vois mal comment ils pourraient faire mieux...
Pour les micro-transactions, quand on ne s'y intéresse pas, on ne les voit pas vraiment (pas de lootbox ou autres dans les jeux rocktars, seulement de la monnaie virtuelle inutile).