Les politiques d’austérité instaurées en Europe après la crise de 2008 pourraient être liées à une erreur Excel. Un article de Reinhart et Rogof présageait qu’à partir d’une dette égale à 90% du PIB, la croissance devenait nulle. Or ces résultats se sont révélés faux à cause d’une erreur de formule.
Trois ans après la parution de l’article, un étudiant a voulu tenter la reproductibilité de l’étude de Reinhart et Rogof. Après plusieurs tentatives, il s’aperçut que certaines formules Excel utilisées étaient fausses et ne menaient pas à une croissance nulle, mais simplement plus faible. Aucun effet de seuil n’était donc observable.
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Tout d’abord, tu as clamé ma prétendus triche sur la durée de comparaison. Justement le PIB est annuel, le stock dette lui ce paye sur plusieurs année, ce ne sont donc pas les mêmes ordres de grandeur. Tout comme un revenus mensuel et une dette de 25ans.
Tu as ensuite essayé de démontrer que je chercherais à remettre en cause les méthodes de calcul utilisées par les banques pour accorder un prêt. Nous étions déjà loin du sujet initial, mais soit, je m’en explique avec précision.
Chose faite, tu relance une attaque, en suggérant que mon chiffre annoncé de 5000% serait une approximation et non un calcul. Après ma réponse ironique au vue de la simplicité déconcertante à le vérifier, tu répondra presque 12h plus tard que bien sûre tu avais vérifié le calcul, mais que de toute façon ce calcul ne ce fait pas. Je l’avais évidement largement sous entendu, et justement, j’avertis qu’il est pourtant utilisé avec le PIB et le montant total de la dette.
Tu repartira alors sur ton principe, d’après lequel je ne comprend rien aux outils utilisés par un banquier pour accorder ou non un prêt. Il faudra que de nouveau, je m’en explique.
Et la, tout d’un coup, en faite mon problème c’est que j’utiliserai mal le terme taux d’endettement. Pour le démontrer tu part dans un délire, dans lequel tu explique que le PIB pourrait, ou non être consacré au remboursement de la dette, en partie ou totalement... Bref, à n’y rien comprendre.
Quand je souligne tes lacunes évidentes par des arguments précis et factuels, tu change radicalement de sujet. Cette fois, tu affirme que mon état d’esprit est biaisé parce que j’assure que la dette ne peut qu’augmenter. Hors c’est bien le mécanisme qui rend l’augmentation inéluctable, lui peut être changé.
Cette réponse donné, tu avancera comme principal argument que tu as une formation en macroéconomie, et que, par conséquent tu sait mieux que moi et que tout le monde ici.
Après que j’ai dans plusieurs commentaires, démontré et re expliqué en détails beaucoup de choses, sans oublier de mettre en lumière tes méthodes fallacieuses, tu me qualifie de complotiste.
En plus de ça, je ne saurait pas le sens de division. Je n’es pourtant donné aucun chiffre exprimé en pourcentage d’endettement par rapport au PIB, mais on est plus à ça prêt.
Là seul chose pour laquelle je te donne raison, c’est mes fautes d’orthographes.
Tu remarquera que je n’es pas eu besoin de t’inférioriser en te désignant comme complotiste ou me mettre sur un piédestal en me gratifiant de tel ou tel compétence pour appuyer mon raisonnement.
Ceci n’était pas un débat, dommage. L’anecdote est à mes yeux intéressante, je voulais juste rebondir, bien mal m’en aura pris. Je présente mes excuses pour ces commentaires inutiles en trop grand nombre. Ce sera je le promet, mon point final.
Alors non, je n’est jamais dit que cela servait uniquement à, mais que cela pouvait servir à. Il y a une grande différence !
L’objet de cet discutions n’a jamais été de remettre en cause l’utilité du PIB et autre. Ça, c’est toi seul qui en parle.
Je suis désolé d’être revenu sur ma promesse, mais je n’es pu laissé cette réponse déloyale, qui me prête une fois de plus, des propos que je n’es jamais eu.
Plutôt que de lancer des allégations sans fondement, je préfère être factuel.
Le président de la cour des comptes Pierre Moscovisi, juge une dette publique à 120% du PIB comme pas en soi une catastrophe.
Entre autre, parce que ce chiffre ne détermine en rien les capacités de remboursement d’un état.
Il est donc dommage que ce chiffre puisse être parfois détourner pour argumenter des choix politiques sur le budget.
C’est tout ce que je dit! Tout le reste est une invention de ta part pour tenter de me discréditer. Tu as toujours bien évité de rebondir à un de mes commentaires en y reprenant mes arguments pour contre argumenter.
Tu préfère brouiller les pistes en changeant de sujet, et par exemple prétendre que je réagit à une étude sur la croissance. Il en a évidement jamais été question.
J’ai systématiquement paré tes attaques avec des explications clairs et facilement vérifiable.
Alors je me répète, mais ne pars pas dans tous les sens, et suis profondément constant.
Peut être que au fond, le plus malin sera celui qui mettra fin à ce dialogue absurde en premier.
Ce ratio n’est pas un moyen de comparaison fiable.