Dorsk75 a écrit : Le problème du gluten n'est apparu que parce que les meuniers ont créer des farines qui en contiennent énormément pour faciliter la pousse et le petricage du pain. C'est donc pour simplifier la vie des boulangers qu'on a fait apparaître cette intolérance. Mon grand père faisait pousser sa pâte toute la nuit contre 1h en chambre aujourd'hui Afficher tout Le problème de l’intolérance au gluten est surtout apparue par effet de mode! Au vu des chiffres des personnes réellement intolérant au gluten, et le nombre de personnes qui se déclarent intolérantes, la plupart subissent en réalité un effet nocebo dû au matraquage marketing et au pseudo athlète qui en on fait la pub…

patou59 a écrit : Si ma mémoire de mes études d'histoire est correcte, on nomme cela.la "transsubstantiation".
M'en souviens parce que c'était galère à écrire ^^ Pour expliquer la transubstantiation les catholiques (Thomas d'Aquin au XIIIè siècle) se servent de l'hylémorphisme aristotélicien qui est une philosophie qui considère que la réalité est composée de deux principes fondamentaux : la matière (hyle) et la forme (morphé).

Cette pholosophie explique que ;

- La matière est le substrat potentiel des choses, tandis que la forme est l'essence ou la nature qui actualise cette potentialité.
- La substance est composée de matière et de forme, et c'est la forme qui donne à la substance son identité et ses propriétés.

Transubstantiation :

- Dans la théologie catholique, la transubstantiation désigne le changement de substance du pain et du vin en corps et sang de Jésus-Christ lors de l'eucharistie.
- Selon la doctrine de la transubstantiation, la substance du pain et du vin est transformée en substance du corps et du sang de Jésus-Christ, tandis que les apparences (ou les accidents) du pain et du vin restent inchangées.

Selon cette perspective, la substance du pain et du vin est composée de matière et de forme.
- Lors de la transubstantiation, la forme substantielle du pain et du vin est remplacée par la forme substantielle du corps et du sang de Jésus-Christ, tandis que la matière reste la même.
- Les apparences du pain et du vin (couleur, texture, goût, etc.) sont considérées comme des accidents qui ne sont pas affectés par le changement de substance.

L'hylémorphisme a fourni un cadre philosophique pour comprendre la transubstantiation et expliquer comment la substance du pain et du vin peut être transformée en substance du corps et du sang de Jésus-Christ sans que les apparences changent.
- Cette doctrine est centrale dans la théologie catholique et continue d'être une partie importante de la compréhension de l'eucharistie.

SimpleMind a écrit : Et pourquoi manger des hosties et boire du vin, quel est le principe de cet acte ? En ne prenant qu'un des aspects, le pain est symboliquement une nourriture de "base", un besoin vital. Le vin, quant à lui, est une nourriture de fête, ça aurait autant pu être de l'eau et du vin, comme lors du baptême où l'eau nous lave et l'huile nous imprègne, ce sont deux opposés qui englobent un tout.
Théologiquement, c'est une des choses que Jésus a demandé précisément de faire. Les catholiques font comme le Christ l'a demandé.

Le vin doit être alcoolisé, il doit subir une transformation, une fermentation.
Il faut rechercher ça dans toute la Tradition. Lors de la Pâque juive, le pain azyme (non fermenté) est partagé (et l'a été par Jésus), de nouveau nous avons ces deux opposés, une chose non fermentée, rapide, à manger en urgence (vitale) et une chose fermentée, qui prend du temps, se déguste, est un plaisir.

fabb8 a écrit : Pour expliquer la transubstantiation les catholiques (Thomas d'Aquin au XIIIè siècle) se servent de l'hylémorphisme aristotélicien qui est une philosophie qui considère que la réalité est composée de deux principes fondamentaux : la matière (hyle) et la forme (morphé).

Cette pholosophie explique que ;

- La matière est le substrat potentiel des choses, tandis que la forme est l'essence ou la nature qui actualise cette potentialité.
- La substance est composée de matière et de forme, et c'est la forme qui donne à la substance son identité et ses propriétés.

Transubstantiation :

- Dans la théologie catholique, la transubstantiation désigne le changement de substance du pain et du vin en corps et sang de Jésus-Christ lors de l'eucharistie.
- Selon la doctrine de la transubstantiation, la substance du pain et du vin est transformée en substance du corps et du sang de Jésus-Christ, tandis que les apparences (ou les accidents) du pain et du vin restent inchangées.

Selon cette perspective, la substance du pain et du vin est composée de matière et de forme.
- Lors de la transubstantiation, la forme substantielle du pain et du vin est remplacée par la forme substantielle du corps et du sang de Jésus-Christ, tandis que la matière reste la même.
- Les apparences du pain et du vin (couleur, texture, goût, etc.) sont considérées comme des accidents qui ne sont pas affectés par le changement de substance.

L'hylémorphisme a fourni un cadre philosophique pour comprendre la transubstantiation et expliquer comment la substance du pain et du vin peut être transformée en substance du corps et du sang de Jésus-Christ sans que les apparences changent.
- Cette doctrine est centrale dans la théologie catholique et continue d'être une partie importante de la compréhension de l'eucharistie. Afficher tout D’ailleurs les romains accusaient régulièrement les catholiques de pratiquer un rite cannibale contradictoire avec leur propre dogme. Les théologiens devaient user de toute leur finesse philosophique pour avoir des contre arguments (en gros Jesus est « mangé » vivant donc pas de cannibalisme qui consiste à manger les morts, CQFD).

www.france-catholique.fr/eucharistie-et-cannibalisme.html

emleum a écrit : Un bon hamburger et du ketchup comme dans "Jésus 2, le retour" et surtout du pain. Beaucoup de pains ! car on n'a jamais vu un homme distribuer autant de pains en même temps, pas même stallone dans son premier film sensible en thx double turbo, et qui avait bouleversifier l'Amérique en jean val jean dans les miseroides, no dans les liaisons vachement dangereuses