"Buffalo buffalo Buffalo buffalo buffalo buffalo Buffalo buffalo" est une phrase anglaise qui est grammaticalement correcte ! Composée de nom propres, de noms communs et de verbes, elle se traduit par "Les buffles de Buffalo que les buffles de Buffalo intimident, intimident les buffles de Buffalo".
En anglais, "to buffalo' signifie intimider quelqu'un, les buffalos sont des buffles et Buffalo est la ville de Buffalo. La phrase est au moins connue depuis 1967, où elle est apparue dans le livre de Dmitri Borgmann, Beyond Language: Adventures in Word and Thought.
Dans le même genre, il existe également la phrase "James while John had had had had had had had had had had had a better effect on the teacher".
Commentaires préférés (3)
Phonétiquement, il y a la même chose en français: "Ton tonton tond ton tonton".
C'est comme le poème chinois :
Shíshì shīshì Shī Shì, shì shī, shì shí shí shī.Shì shíshí shì shì shì shī.Shí shí, shì shí shī shì shì.Shì shí, shì Shī Shì shì shì.Shì shì shì shí shī, shì shǐ shì, shǐ shì shí shī shìshì.Shì shí shì shí shī shī, shì shíshì.Shíshì shī, Shì shǐ shì shì shíshì.Shíshì shì, Shì shǐ shì shí shì shí shī.Shí shí, shǐ shí shì shí shī shī, shí shí shí shī shī.Shì shì shì shì.
Traduction : « Dans un repaire de pierre se trouvait le poète Shi, qui aimait manger des lions, et décida d'en manger dix. ».
Hodor, hodor ! Hodor hodor hodor hodor ? Hodor hodor hodor...
Tous les commentaires (126)
Phonétiquement, il y a la même chose en français: "Ton tonton tond ton tonton".
C'est comme le poème chinois :
Shíshì shīshì Shī Shì, shì shī, shì shí shí shī.Shì shíshí shì shì shì shī.Shí shí, shì shí shī shì shì.Shì shí, shì Shī Shì shì shì.Shì shì shì shí shī, shì shǐ shì, shǐ shì shí shī shìshì.Shì shí shì shí shī shī, shì shíshì.Shíshì shī, Shì shǐ shì shì shíshì.Shíshì shì, Shì shǐ shì shí shì shí shī.Shí shí, shǐ shí shì shí shī shī, shí shí shí shī shī.Shì shì shì shì.
Traduction : « Dans un repaire de pierre se trouvait le poète Shi, qui aimait manger des lions, et décida d'en manger dix. ».
Si quelqu'un a réussi à dire les deux phrases d'une seule traite, je lui tire my had.. Euh, hat
5..."Paris sur paris, il perds ses paris, ce Parisien de la ville de Paris". Non, Laurent Romaneco, je n'ai pas mieux.
Sam dit : "samedi ça me dit"
Buffaloception...
Quelqu'un peut me renseigner ? Il me semble que les buffles serait plutôt "BuffaloS", et si jamais buffle est au singulier, le verbe to Buffalo se conjugerait "buffaloes" , et que la phrase manque de ponctuation, qui aiderait à comprendre (les virgules ?) car écrite comme ça, elle ne peut avoir de sens pour personne.
Et en français, ce double alexandrin, fait de vers holorimes :
"Gall, amant de la Reine, alla tour magnanime,
Galamment de l'arène à la Tour Magne, à Nîmes."
Signé... Vous l'avez déjà deviné... Non, pas Victor Hugo. Mais Marc Monnier.
On appele cela un trompe-oreille car on n'arrive pas à déterminer le sens de la phrase.
C'est comme cette phrase, qui donne l'impression d'être de l'Allemand quand on la lit très rapidement : "Abaisse ta gaine Berthe que ch'tate"
Ou encore une phrase à lire très vite qui devient alors incompréhensible "la pie niche haut, l'oie niche bas, ou hibou niche-t-il?" Et la réponse "hibou niche ni haut ni bas ou hibou niche pas"
Et plus sobrement :
"Ma femme m'affame."
Mis au régime, j'ai sorti ces mots avant-hier. Mais Google me dit que Philippe Geluck (auteur de la BD "le Chat") a rendu cette phrase célèbre avant moi.
Hodor, hodor ! Hodor hodor hodor hodor ? Hodor hodor hodor...
Il y a aussi les virelangues, locutions se caractérisant par leur difficulté de prononciation avec notamment les très célèbres "Un chasseur sachant chasser sans son chien est un bon chasseur" et "Les chaussettes de l'archiduchesse sont-elles sèches ou archi-sèches ?"
Au passage, je félicite celui qui arrive à prononcer celle-ci extrêmement vite sans fourcher : "Un comte comptant ses comptes, content de son comté, raconte un conte, d’un comte con comptant des comptes mécontents, en contant un conte contant un comte con mécontent se contentant d’un compte con en mangeant son comté".
"Si ton tonton tond ton tonton ton tonton sera tondu"
"Si ta tata tâte ta tata ta tata sera tâtée"
« Lion-Eating Poet in the Stone Den »
In a stone den was a poet called Shi Shi, who was a lion addict, and had resolved to eat ten lions.
He often went to the market to look for lions.
At ten o’clock, ten lions had just arrived at the market.
At that time, Shi had just arrived at the market.
He saw those ten lions, and using his trusty arrows, caused the ten lions to die.
He brought the corpses of the ten lions to the stone den.
The stone den was damp. He asked his servants to wipe it.
After the stone den was wiped, he tried to eat those ten lions.
When he ate, he realized that these ten lions were in fact ten stone lion corpses.
Try to explain this matter.
"La pie niche haut, l'oie niche bas, l'hibou niche où ? L'hibou ne niche ni haut ni bas. Donc au milieu."
Je m'en amusais beaucoup au collège