En 2013, un riche homme d'affaires brésilien créa la polémique en affirmant qu'il souhaitait à sa mort être enterré avec sa Bentley. Les réactions négatives affluèrent, portant sur le gâchis d'argent que cela représentait. Mais c'était en réalité une astucieuse campagne pour le don d'organes : quelques jours après la polémique, une conférence de presse dénonçait le fait que chaque jour, des personnes sont enterrées avec leurs organes qui ont une valeur bien supérieure à la voiture de luxe.

Tous les commentaires (111)
Parce que si ces personnes ne veulent pas continuer à vivre, l'euthanasie peut les aider à partir sans devoir aller dans un pays qui autorise l'euthanasie. L'avortement, lui, concerne des embryons, pas des enfants. Un oeuf est un oeuf, pas un poussin ; un embryon est un embryon, pas un enfant. (on rappellera que l'embryon est à l'intérieur de l'oeuf.)
Enfin, le parallèle est douteux. Dans un cas, le choix est au détriment, en premier lieu, de la personne qui fait ce choix (l'avortement c'est pas comme se couper les ongles, ça a des répercussions sur le corps des femmes ; et je pense pas avoir besoin d'expliquer en quoi la première personne touchée par l'euthanasie est l'euthanasié, si ?) alors que dans l'autre, c'est au détriment des malades qui attendent une greffe.
Et tes écrits ne sont pas sacrés ? Pourquoi est-ce que tu viens les répandre sur ce site ? Tu devrais les garder précieusement pour toi, eux aussi.
Excellente idée. Le registre du refus du don d'organes devrait préciser que c'est un refus de l'échange d'organes. Aussi bien dans un sens que dans l'autre. Et pas question de changer d'avis quand la santé décline et qu'on se dit qu'on aimerait bien désormais profiter de ce qu'on avait refusé aux autres !
Tu devrais plutôt nous dire ce que tu approuves une bonne fois pour toutes, plutôt que nous dire ce que tu désapprouves à chaque anecdote. Ceux que ça intéresse seraient satisfaits et tout le monde gagnerait du temps (si bien sûr tu approuves moins de choses que tu n'en désapprouves comme je le suppose).
Rassure-moi: tu t'inclus dans les gens ou tu te considères au-dessus du lot? (Auquel cas tu pourrais aussi te considérer au-dessus du débat, ça nous épargnerais ce genre de commentaire qui mène nulle part).
Non parce que l'incohérence supposée des uns est forcément valables pour les autres aussi hein, c'est mathématique, du 1+1, toussa toussa.
Je te laisse deviner: quelle est la différence entre un bon samaritain génocidaire de bébés pas nés et un bon croyant coupable de non assistance à personne en danger?
Bref, chaque opinion est respectable et fondamentalement bonne bien qu'opposée aux autres. Qu'il y ai débat, c'est une excellente chose, c'est même vital pour une société qui se veut libre et démocratique.
En revanche, ce qui n'est pas respectable, c'est de taxer ses opposants de ________ (à remplir au choix). Cette attitude ne contribue qu'à polariser le débat et à rendre illusoire l'atteinte d'un compromis, but de toute démocratie justement.
Je sais que je ne devrais pas dire ça mais je ne comprends vraiment pas...
A ton avis que va t il se passer quand ton corps sera enterré ? Il va se mettre à scintiller puis "pouf" il va monter au ciel ? Non tes organes vont se décomposer puis seront bouffés par des asticots...
Où est le sacré la dedans ?
A l'inverse pourquoi sauver la vie de quelqu'un grâce à une transplantation serait un acte "maudit" ?
En moyenne, il y a 15 greffes par jour en France, soit environ 5000 par an. À l'heure actuelle, 60000 personnes, en France, sont porteuses saines d'un greffon. Va dans ta salle de bain, regarde-toi dans la glace, et dis: "Je désapprouve que la médecine sauve 15 vies par jour, je désapprouve que 60000 personnes soient en vie, je ne les aurais pas sauvées." Répète trois fois et viens nous raconter ce que tu ressens.
Rien à voir. L'euthanasie et l'avortement relèvent de ton droit à disposer de ton corps et de ta vie. Le don d'organe relève de ta volonté de vouloir sauver (ou ne serait-ce qu'améliorer) la vie de qqun d'autre. Les premiers veulent dire que tu choisis la vie que tu veux ou ne veux pas vivre, le second de la vie que tu veux offrir à qqun d'autre.
Avoir un enfant alors que tu n'y es pas prêt ou mourir dans la souffrance, tu le subis directement (et dans le cas de l'enfant, lui aussi le subis). Ton foie te sert plus une fois que t'es mort.
Ne confonds pas tout c'est loin d'être le même combat.
Désolée si quelqu'un a déjà avancé mes arguments, j'ai même pas pris le temps de lire.
Bien d'accord. Cela dit, je ne suis pas sûre que le serment d'Hippocrate n'autorise ça,mais je ne suis pas médecin et si un médecin pouvait nous en dire plus sur le sujet je suis preneuse !
Ce n'est pas la medecine qui sauve des vies mais les medecins ...
Etant medecin je ne suis pas forcément 100% pro don d'organes pour des raisons personnelles tout en etant pas contre
Je dois aussi repeter ces phrases ou je peux eviter le ton paternaliste vu que je suis un des chainons de ce sauvetage ?
En tant que médecin, tu refuserais de greffer un organe parce que l'acte irait contre tes opinions? Si la réponse est oui, tu peux répéter les phrases, et mon ton n'est pas paternaliste mais méprisant. Si la réponse est non et que tu pratiques quand même une greffe bien que ce soit contre tes opinions personnelles, je t'exprime le respect que je dois envers toute personne qui sauve ses semblables, et mon indifférence vis-à-vis de tes opinions personelles qui ne regardent que toi en l'occurrence.
comme les éléments d'une toile de Picasso, pris séparément (pigments, toile, cadre), ne doivent pas valoir plus que 150 euros
Ça n'a strictement rien à voir avec l'anecdote et ce n'est pas hypocrite ou contradictoire car ce ne sont pas du tout les memes questions et enjeux qui sont là dedans.
Perso, je suis ni pour ni contre le don d'organes mais respecte le souhait de chacun.
Je suis pour l'euthanasie car c'est le droit de chacun de mourir dignement.
Et je Suis pour l'avortement car les femmes sont en droit de disposer de leurs coprs. Surtout que ce n'est pas une vvie mais jute un embryon au debut de la grossesse. Et je trouve de mauvais gout que tu donnes ton avis comme une moralisation!
Ce n'est pas déjà le cas ? Il le semble mais n'en suis pas sûr
C'est ça la source?
www.israelvalley.com/2017/06/30/disparition-de-simone-weil-beaucoup-disraeliens-lui-doivent-vie/
J'ai bien dis que je n'approuve pas à 100%. Il y a certains cotés que j'approuve.
Mais concernant la vie, j'ai une toute autre philosophie, et ça revient à parler de religion que de continuer à developper sur le sujet. En bref j'approuve certains cotés d'autres non. C'est pas tout blanc ou tout noir.
Si, la loi est passée il y a quelques temps. Aujourd'hui nous sommes tous donneurs à moins d'avoir expressément fait savoir qu'on ne veut pas l'être (à un proche suffit)
Ces gens là ne devraient pas recevoir d'organes ou du sang Si besoin est...
C'est un peu extrême comme raisonnement, je le concède, mais ça me sidère de voir des gens refuser de donner leurs organes ou leurs sangs, mais trouver cela tout à fait normal de profiter de ceux des autres...
Les Lois de 1994 et 2004, sur le prélèvement d'organe sur une personne déclarée décédée, prévoient le "consentement explicite"... C'est à dire que s'il n'y a pas d'inscription de son vivant sur le registre informatique national de refus de don d'organe, toute personne est "donneuse", par principe... Environ 50 000 personnes sont inscrites sur ce registre.
Vous devriez vérifier que ce que vous commentez est rigoureusement exact : en effet ds le judaïsme il n'y a pas de problème pour recevoir un organe d'un français ou de qui que ce soit d'autre
Votre parenthèse pue les écrits antisémites de l'époque voulant que les juifs stigmatisent et rejettent tout ce qui n'est pas comme eux