Howard Lutnick est un homme d'affaires américain qui devint orphelin peu après être entré à l'université d'Haverford. Incapable de financer ses études, l'université décida de lui offrir ses 4 ans de scolarité. Ayant réussi dans les affaires, il est aujourd'hui le plus grand donateur de l'université avec 65 millions de dollars de dons.
Tous les commentaires (76)
J'ai arrêté de lire les commentaires parceque vous êtes trop nombreux à dire que vous avez de l'expérience en matière d'université us et France que j'ai du mal à croire qu'il n'y est pas quelques fakes et trolls dans le lot (mais le débat à l'air intéressant sinon).
Par contre si certains ont une vrai expérience avec les universités d'Angleterre ça m'intéresserait grandement (même si je sais que c'est un peu HS avec le sujet pour le coup).
Après concernant "l'échelle" de shangai (entre guillemets parceque pas sur de la dénomination exacte), il m'a semblé entendre de la bouche d'un présidentiable dernièrement, que la France était mal classé dedans parceque les universités et les centres de recherches n'étaient pas "jumelées" comme dans la plupart des pays présent dans le dit classement. (Après attention je dis ça c'est peut être des bullshit)
Il faudrait nous donner les critères utiliser pour les classements. Par exemple, pour celui de Shanghai, ils prennent le nombre de prix nobel et medaille fields des anciens etudiants et des professeurs. Les autres critères ( toujours pour Shanghai) sont basés sur le niveau des professeurs-chercheurs, et il faut pas ce mentir, nos meilleurs chercheurs partent à l'étranger, ils y sont bien mieux payer que en France.
La France a quelques universités classées dans le top 100 aussi.
Cela dépend de la spécialisation des médecins. Mais en général un médecin met entre 10 et 15 ans à rembourser son crédit. Si on prend le cas extrême d'un chirurgien thoracique en pédiatrie qui a l'un des plus hauts salaires en médecine (env. 700'000/an pour 12 ans d'étude) alors eux oui ils peuvent rembourser en 1 an (mais souvent ne le font pas). Mais c'est une grande minorité qui arrive à rembourser en moins de 10 ans.
Et j'ajouterai qu'il n'y a pas beaucoup de gens qui, pouvant se permettre une université du top 30, se dirait "ah ben je vais faire une fac française, ça m'ouvrira des portes."
Ce que je dis n'est pas un blasphème, c'est une vérité - et le fait que je doive l'expliciter souligne bien que certains vivent dans une bulle de fierté mal placée. (Ce n'est pas dirigé contre toi, c'est une constatation permanente).
Tout ce que mes commentaire ont souligner c'est que 1. Contrairement à ce que certains voudraient tant croire, non le monde se s'incline pas devant la "grandeur" du système universitaire français. 2. Il y a des moyens pour rendre les universités français plus compétitives sans en faire un gouffre financier pour pour les étudiants.
Sans subventions, elles fermeraient!
Comme d'autres personnes ici, je voulais simplement souligner que dire que les études médicales en France sont gratuites est un lieu commun qu'on entend de plus en plus, et qui est rageant quand on est concernés :) Rien de plus !
Oui, les universités américaines (et anglo-saxonnes en général) sont plus renommées que les Françaises, oui, le niveau à Harvard ou Oxford et hallucinant.Cependant les élèves des grandes écoles françaises sont loin d'être des chèvres.
Mais quant on sait que Obama a finit de rembourser son prêt étudiant à 42 ans, je me demande encore pourquoi certains veulent débattre, la supériorité du système français saute aux yeux.
Surtout qu'ils payent également le lycée (college) et qu'ils en ressortent avec un niveau proche du néant.
À cela il faut ajouter que les taux d'intérêts des prêts étudiants augmentent considérablement d'année en année la bas (de 100% d'une année sur l'autre parfois !).
Moi au contraire ce qui m'attriste c'est que de plus en plus d'écoles françaises deviennent payantes ainsi que de plus en plus chère et que ce prix ne soit principalement justifier que par le prestige de l'école plutôt que par une vrai valeur ajoutée (coucou les écoles de commerce).
Je n'ai peut-être pas lu 100% des commentaires mais il ne me semble pas que quelqu'un ait argumenté la supériorité d'un système sur l'autre... sauf toi.
La préférence d'un système ou l'autre, dépend de ce que chacun recherche et des sacrifices éventuels qu'il est prêt à faire pour atteindre son but.
D'un côté on a un système quasi gratuit qui offre une bonne éducation sans d'énormes disparités entre les institutions mais qui n'a pas du tout le niveau d'excellence qu'il revendique (ni la renommée qui va avec).
De l'autre côté on a un système capitaliste inégalitaire qui profite de ce qui devrait être un droit pour s'enrichir et qui dévoile des disparités de niveaux d'instruction abyssals - avec, d'un côté des universités nullissimes (les diplômés ont au mieux un niveau de collégien - c'est même pas exagéré) et de l'autre côté, les IVY League et autres universités d’excellence qui elles produisent certes beaucoup de médiocrités aussi mais parmi ses étudiants il y a la crème de la crème qui deviendront les vraies pontes de leur domaine.
Pour toi le système français est supérieur, pour un américain ce sera son système car pouvoir accéder à l'excellence est très important pour eux et ils y travaillent dès la maternelle.
A noter que la France est le choix de seulement 6% des américains qui choisissent d'étudier (1 ou 2 semestres) à l'étranger. La proportion des étudiants français qui choisissent les États-Unis comme destination est bien plus haute. Il faut croire que le coût exorbitant des études ne les rebutent pas tant que ça. (A pondéré aussi car les bourses d'études sont monnaie courante).