Voulant être certain des conséquences d'une morsure d'une araignée veuve noire sur un humain, le zoologiste américain William J. Baerg tenta l'expérience le 10 juillet 1922, pensant que cela n'aurait que peu d'effet. Il échappa de peu à la mort après plusieurs jours de souffrances terribles.
Commentaires préférés (3)
Prochaine expérience: la morsure du grand requin blanc est elle si méchante que ça!?....
Il a failli gagner un Darwin Award lui xD
Ça me rappelle cette anecdote ou un homme a voulu classer les piqûres d'insectes selon leur niveau de douleur et a créé une échelle de douleur en testant sur lui-même 150 piqûres différentes !
secouchermoinsbete.fr/4115-lindex-schmidt-pour-classer-la-douleur-des-piqures-dinsectes
Tous les commentaires (59)
Encore un qui a trop regardé Spiderman...
Prochaine expérience: la morsure du grand requin blanc est elle si méchante que ça!?....
Hahaha, et bien, après ça, il était fixé au moins :')
À noter qu'il n'a pas effectué cette expérience dans un hôpital. Ce qui aurait pu lui être fatal
Ça doit être pour éviter ce genre de déconvenue qu'on a souvent peur des araignées ^^
Qu'est ce qu'in ne ferait pas pour la science
Tiens, il paraît que plein de gens meurent en sautant du 22ème étage. Je m'en vais vérifier si c'est une légende ou pas.
Prank:je me fait mordre par une veuve noir, ça tourne mal!
Plus sérieusement c'est pas le seul a avoir voulu tester ses théories médicales sur soi et ce de façon empirique. Et heureusement qu'il y en a qui ont eu ce courage, cette curiosité et cette abnégation (pas sûr pour le dernier)
Edit : Ça change de Frédéric de Hohenstaufen qui, au 13ème siècle, a fait enlever 6 bébés et les a «élevés» sans jamais communiquer avec eux pour voir quelle langue ils parleraient naturellement... tous les bébés sont morts. Il aura démontré la nécessité de la communication chez le nourisson...
Pour commencer l'expérience se passe au XIIIème siècle et on sait qu'à l'époque l'espérance de vie à la naissance ne dépassait pas vraiment la vingtaine d'années. Autrement dit, un nourrisson avait déjà de bonnes "chances" de ne pas passer le premier hiver, et ce même dans un milieu aisé. Ensuite, l'expérience ne prend en compte que six nourrissons, ce qui est un échantillon fort peu fourni pour affirmer quoi que ce soit.
Enfin, je souhaite m'attarder sur le terme communication. Je pense que le but était de priver les nourrissons de communication verbale pour voir quelle langue ils développaient... (mythe de babylone toussa toussa)
Cependant il existe d'autres formes de communications! comme l'affectivité.. Et je trouve ça peu crédible de dire qu'un enfant privé de communication verbal décédera: des parents muets ne pourraient élever seuls des enfants ?
En revanche, priver des nourrissons de tous langages, affections et présences me semblent déjà plus risqué...
Bref voilà, juste mon avis :-)
Il a failli gagner un Darwin Award lui xD
Vu qu'il s'attendait à ce résultats, il n'a pas pris suffisamment de précaution.
Ça me rappelle cette anecdote ou un homme a voulu classer les piqûres d'insectes selon leur niveau de douleur et a créé une échelle de douleur en testant sur lui-même 150 piqûres différentes !
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A ce moment précis,qu'elles étaient leurs connaissances sur les morsures d'arachides ?