Malgré 111 morts sur 275 passagers, le crash du vol 232 United Airlines en 1989 est un exemple de "succès" dans la gestion d'une grave avarie en vol de la part de l'équipage. Sans les bonnes prises de décision, l'ensemble des passagers serait probablement mort : les pilotes avaient perdu le contrôle des commandes et ont dû atterrir à une vitesse deux fois supérieure à la normale.
Un moteur avait explosé et avait endommagé le système hydraulique capital pour le contrôle de l'avion. Sans aucune commande et ne pouvant agir que sur les deux moteurs latéraux, l'équipage réussit à faire un atterrissage d'urgence à Sioux City avec une vitesse 2 fois supérieure et une vitesse de descente 6 fois supérieure à la normale.
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Mon ancien prof de maths m'a une fois narré l'histoire d'un type qui se disait aérodromophobe et se jura de ne plus jamais en prendre : quand il rentra chez lui, un avion vint s'écraser sur sa maison.
Morale de l'histoire : le risque zéro n'existe pas... :3
Quand la Faucheuse toquera à la porte, soit tu lui ouvriras directement,soit tu feras l'absent(e). (mais elle rentrera tôt ou tard : la porte n'est pas fermée...)
J'adorerais voir cette histoire portée au cinéma par quelqu'un de la trempe de Spielberg !
Genial... Dans 2 jours je prend l'avion...
Depuis une situation relativement stable, le pilote à pu voir ce que ça donnait en agissant sur le dernier truc qu'il lui restait : la poussée des moteurs 1 et 3.