Dans sa jeunesse, l'écrivain russe Fiodor Dostoïevski était un révolutionnaire. Il subit le supplice du simulacre d'exécution : avec 2 autres personnes, il fut laissé 20 minutes cagoulé au peloton d'exécution, avant d'être gracié. Si l'un des suppliciés est devenu fou à la suite de cette épreuve, l'écrivain dit l'avoir vécu comme une résurrection.

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On a 2 vies. La vraie débute le jour où on a conscience qu'on en a qu'une
Ben d'une parce qu'il a des textes de lois, donc si le bluff est inscrit dans la loi ça va vite se savoir ; de deux parce que risquer de rendre fou des criminels puis les relâcher n'est peut-être pas une bonne idée.
Comme avec le torchon et de leau, qui donne l impression de se noyer
faut-il interpréter çà de la manière suivante : passer près de la mort permet de relativiser ses problèmes, ses inaccomplissements, ses ratages, et de se rendre compte que tant qu'on a la santé, la vie n'est pas si mal, en tout cas vaut plus que tous les idéaux qu'on peut avoir et qu'on n'est pas toujours capable d'atteindre, ou qu'on n'a pas toujours le courage d'atteindre. Que rien ne vaut la peine qu'on meure pour
C'est "L'Exécution de l'empereur Maximilien" peint par Édouard Manet en 1868. Il s'inspire de Tres de Mayo (1814). Le contexte : Pendant trois ans, Maximilien avait été empereur du Mexique sous la protection des troupes de Napoléon III. Lorsque l'empereur des Français reniant sa parole, ordonne le retrait de ses troupes et abandonne Maximilien à son sort, celui-ci tombe entre les mains des opposants républicains, et est condamné à mort et exécuté en 1867.
Dans un peloton d'exécution, tous les tireurs ne sont pas charger avec des balles réelles, certains ont des balles à blanc, ils ne savent pas qui a des balles tueuses, c'est fait au hasard. C'est pour éviter que les hommes culpabilisent d'avoir exécuté le condamné.
"Quelle beauté sauvera le monde?"
Et le troisième est parti boire une bière
C'est possible qu'un des trois ait pété en plus faisant sursauter les deux autres :D