Dans sa jeunesse, l'écrivain russe Fiodor Dostoïevski était un révolutionnaire. Il subit le supplice du simulacre d'exécution : avec 2 autres personnes, il fut laissé 20 minutes cagoulé au peloton d'exécution, avant d'être gracié. Si l'un des suppliciés est devenu fou à la suite de cette épreuve, l'écrivain dit l'avoir vécu comme une résurrection.
Tous les commentaires (49)
On a 2 vies. La vraie débute le jour où on a conscience qu'on en a qu'une
faut-il interpréter çà de la manière suivante : passer près de la mort permet de relativiser ses problèmes, ses inaccomplissements, ses ratages, et de se rendre compte que tant qu'on a la santé, la vie n'est pas si mal, en tout cas vaut plus que tous les idéaux qu'on peut avoir et qu'on n'est pas toujours capable d'atteindre, ou qu'on n'a pas toujours le courage d'atteindre. Que rien ne vaut la peine qu'on meure pour
Dans un peloton d'exécution, tous les tireurs ne sont pas charger avec des balles réelles, certains ont des balles à blanc, ils ne savent pas qui a des balles tueuses, c'est fait au hasard. C'est pour éviter que les hommes culpabilisent d'avoir exécuté le condamné.
"Quelle beauté sauvera le monde?"
Et le troisième est parti boire une bière