Une fois atteinte la vitesse V1, on décolle forcément

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blondin007
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Lorsqu'un avion atteint la vitesse V1 lors de la phase de décollage, cela signifie qu'il devra décoller même en cas d'avarie (moteur en panne etc.). En effet, la vitesse V1 est un repère pour les pilotes qui signifie qu'une fois cette vitesse atteinte, la piste de décollage est trop courte pour s'arrêter.


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Non mais je connais le sujet ( j'ai travailler sur la piste pour ADP ). Mais le problème n'est pas là, prenons un exemple, Un petit avion 737 avec 0 passagers et 0 de charge utile ( imaginons ) avec 10° de flaps, ça vitesse V1 est de 100 knts à peine. à Roissy existe une piste de 4100 mètres, même si il atteint ça V1 il aura le temps de s'arrêter bien avant la fin de la piste.

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Ben dans ce cas la, C'est le pilote qui décide si oui ou non il devra freiner. Je comprend le truck, imagine si tu prend un Cessna c'est encore plus incompréhensible.

Imaginons que la V1 est supérieur a sa vitesse de décollage, dans ce cas la c'est donc impossible d'atteindre V1.

Ça serrait bien si quelqu?un connait le calcul exact pour voire si ce calcul peut dépasser la vitesse théorique de décollage.

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voilà donc l'annecdote est fausse car sa dépend entièrement de l longueur de la piste

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Je pense que v1 sert uniquement a des pilotes professionnel qui doivent s'en servir uniquement pour des vol commerciaux ( ce qui veut dire qu'en général la charge utile max, plein en carburant, et souvent sur des piste de longueur moyenne).

De plus même avec un 737 (qui commence a être une grosse machine quand même )t'est pas obligé de pousser les moteur a fond pour décoller si t'a une bonne longueur de piste, et ça dans le but d'éviter de cramé du Kerosen pour rien, donc tu bouffe un peut plus de piste( mais sa, ça reste a confirmer par un pro ).

Donc bon l?anecdote est plus imprécise que fausse.

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a écrit : Sa dèpend de plein de chose, type d'avion, vent, charge utile, degré de volet. Et longueur de la piste!

Il est donc possible que la V1 soit supérieure à la vitesse de décollage sur certaines pistes pous un appareil donné.

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Maskimer tu es bien sur d'être mécano ?

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a écrit : Maskimer tu es bien sur d'être mécano ? Ouai pourquoi?

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a écrit : Ouai pourquoi? Car j'étais étonné de voir qu'un mécano se considère, a juste titre, acteur principal de la sécurité des vols ; là où un pilote n'est qu'un simple buveur de champagne sous pilote automatique a tes yeux. Note : la réduction de poussée au décollage, dite "poussée FLEX" est utilisée principalement pour allonger leur durée de vie, le delta de consommation n'étant pas mesurable

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je n'ai jamais considéré les pilotes comme de "simple" buveur de champagne, j?admets que mes propos pourrais laisser penser que c'est ce que je pense mais comme je l'ai souligné un peut plus bas dans mon poste les pilotes sont la pour une bonne raison: faire leurs boulot et prendre les décisions qui mèneront tout le monde a bon port et en toute sécurité; a chacun son degrés d'intervention.

C?était donc un petit calembour qui n?était pas destiné a heurter mais a illustrer une situation que peut de gens s'imaginent.

Pour la poussé FLEX t'a l'air de mieux t'y connaitre que moi donc jte laisse nous faire profiter de tes connaissances, tant la véracité de mes propos s'en trouve erroné.

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a écrit : Marty, l'eoliene marque le point de non retour, apres c'est le futur ou le plonjont... Très bonne référence ^^

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a écrit : Il faut préciser quelquechose d'important, oui la V1 assure la sécurité et il est impératif de décoller en cas de panne apres cette vitesse, mais ca peut arriver que meme apres la V1 il reste assez de piste pour s'arrêter car la vitesse n'est pas calcule par rapport a la longueur de la piste mais par d'autres paramètres propre a la machine et météo. Ainsi a Ajaccio il y a quelques années un avion d'air France a interrompu le décollage après la v1 et a pu s'arrêter avant la piste. Afficher tout Le pilote à réussi à stopper l'avion car peut-être, ce n'était pas un V1 équilibré (cas d'un petit avion sur une longue piste).
Mais si c'était un gros avion, le pilote était dans ce cas un KAMIKAZE!!
Il faut garder en tête qu'un bon pilote décolle toujours après V1 si c'est un V1 équilibré

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iphone

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A noter qu il existe sur certains aeroports des aménagements sur les pistes qui permettent de ralentir un avion qui arrive en bout de piste. Il s'agit de gravier ou sable sur une étendue d'une certaine distance.

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android

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a écrit : Yes TheEast no problemo toujours plaisant de faire partagé une passion.

Encore plus surprenant: les avions civil de génération moderne sont tous équipés de pilotes automatique capable de gérer la machine dans n'importe quelle phase de vol.

Je m'explique: pour un vol de douze heures
le pilote a en gros a travailler qu'une demis heures voire même pas...

une fois le plan de vol connue et calculé il s'assoie dans son petit fauteuil et entre tout les paramètres du vol dans le FMS (flight management system). une fois l'avion en bout de piste il engage son pilote automatique en appuyant sur un petit bouton, la manette des gaz bouge toute seul( auto trottle) pour donné seulement la puissance nécessaire au décollage afin de ne pas brulé du pétrole pour rien, l'avion cabre et décolle a tout seul, engage la monté et suis les balises VOR ( VHF omnidirectional range) a l'altitude définie par le pilote dans le FMS.

Une fois l?aéroport de destination atteint c'est l'ILS (instrumental landing system) couplé a l'auto pilote qui engage la descente et fait atterrir l'avion même avec moins de 100 mètres de visibilité (a 250 km/h 100 mètres c'est le bout de votre bras!!!).

pendant tout ce temps le pilote a bu quelque coupettes de champagne fait du charme a son copilote et éventuellement effectué quelque corrections.

Néanmoins ils sont indispensable pour prendre les décisions, l'avion, lui, ne fait que suivre le programme qu'on lui a demandé d'executer
Afficher tout
D'accord avec vous ! il est aussi indispensable pour faire aterrire l'apareil lorsque la balise ILS ne fait pas partie de léquipement present à l'aeroport de destination.Mais generalememt lorsque la visibiliter est bonne a l'aterrisage le controleur lui fait faire une approche à vue et pour le decollage il est rare dactiver le Pilote automatique en bou de piste mais plutot apres avoir cabrer lavion a 15 degrees d'inclinaisons et apres avoit franchie environ 400 pied. Mais il est vrai que l'on peut activer le pilote automatique en etant encore sur la piste mais rare sont les pilotes qui le fond car le pilotage est un metier mais avant tous un plaisir et une passion , il ne faut pas dire que les pilotes restent pratiquement tous le vol en pilote automatiques contrairement a se que vous pensé certain pilote profite du beau temp pour piloter manuelement meme au dessus de fl100.Mais si non je suis d'accord avec vous

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android

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a écrit : Et le point de repere suivant est "V2" qui signifie que lavion peut decoller et s'en suit un " V2 rotate " qui signifie que lavion peut decoller en toute securité. Faux. C'est V1, Rotation, V2.

V1 est la vitesse où l'on n'interrompt pas le décollage, calculée au jour le jour en fonction de la masse au décollage, la longueur de piste, le vent, le QNH ( entre autres ).
Rotation est la vitesse où la roulette de nez quitte le sol, suivi du train principal.
V2 est la vitesse de passage des 35 ft de hauteur ( pieds = 12 mètres environ ).
En cas de panne moteur avant la V1, on procède à une accélération-arrêt. En cas de panne moteur après la V1, on décolle en N-1 ( où N est le nombre de moteurs ).
De plus le mécano a totalement raison, des pistes très longues ne serviraient à rien comparé au nombre de pannes moteur au décollage.
Si on suit cette logique les routes devraient être en permanence bordées par des rambardes avec des coussins pour éviter les sorties de route quand les gens s'endorment au volant...

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iphone

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a écrit : Yes TheEast no problemo toujours plaisant de faire partagé une passion.

Encore plus surprenant: les avions civil de génération moderne sont tous équipés de pilotes automatique capable de gérer la machine dans n'importe quelle phase de vol.

Je m'explique: pour un vol de douze heures
le pilote a en gros a travailler qu'une demis heures voire même pas...

une fois le plan de vol connue et calculé il s'assoie dans son petit fauteuil et entre tout les paramètres du vol dans le FMS (flight management system). une fois l'avion en bout de piste il engage son pilote automatique en appuyant sur un petit bouton, la manette des gaz bouge toute seul( auto trottle) pour donné seulement la puissance nécessaire au décollage afin de ne pas brulé du pétrole pour rien, l'avion cabre et décolle a tout seul, engage la monté et suis les balises VOR ( VHF omnidirectional range) a l'altitude définie par le pilote dans le FMS.

Une fois l?aéroport de destination atteint c'est l'ILS (instrumental landing system) couplé a l'auto pilote qui engage la descente et fait atterrir l'avion même avec moins de 100 mètres de visibilité (a 250 km/h 100 mètres c'est le bout de votre bras!!!).

pendant tout ce temps le pilote a bu quelque coupettes de champagne fait du charme a son copilote et éventuellement effectué quelque corrections.

Néanmoins ils sont indispensable pour prendre les décisions, l'avion, lui, ne fait que suivre le programme qu'on lui a demandé d'executer
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En très très gros tu as raison. Il existe d'autres moyens de radionavigation ( DME, Tacan, NDB... ).

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a écrit : Moi je la fait decoller quand j'atteinds le point G Hum... C'est très... Comment dire...? Poétique ?

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a écrit : Je ne peux m empêcher de penser que malgré cela, le Concorde n'aurait pas du décoller... Quitte a se tapper un mur ou un champ, cela aurait laissé une chance a certain de ses occupants ainsi qu'aux gens de l'hôtel.... C'est très très très rare un mur en bout de piste l'ami ;)

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android

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a écrit : On devrait construire des pistes plus longues non ? Ça serait inutile car un gros transporteur nécessite en moyenne 1 400 mètres pour décoller, le fait de construire une piste de 5 000 mètres ne serait qu'un gâchis.

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a écrit : Faux. C'est V1, Rotation, V2.

V1 est la vitesse où l'on n'interrompt pas le décollage, calculée au jour le jour en fonction de la masse au décollage, la longueur de piste, le vent, le QNH ( entre autres ).
Rotation est la vitesse où la roulette de nez quitte le sol, suivi du train prin
cipal.
V2 est la vitesse de passage des 35 ft de hauteur ( pieds = 12 mètres environ ).
En cas de panne moteur avant la V1, on procède à une accélération-arrêt. En cas de panne moteur après la V1, on décolle en N-1 ( où N est le nombre de moteurs ).
De plus le mécano a totalement raison, des pistes très longues ne serviraient à rien comparé au nombre de pannes moteur au décollage.
Si on suit cette logique les routes devraient être en permanence bordées par des rambardes avec des coussins pour éviter les sorties de route quand les gens s'endorment au volant...
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Tu as fait une petite erreur: V2 ne signifie qu'on a atteint les 35 ft de hauteur mais que l'avion peut à partir de ce "signal" décoller en toute sécurité même avec un moteur en panne.