En 1983, un Boeing d'Air Canada a été victime d'une panne d'essence en plein vol. L'équipe de maintenance n'avait rempli le réservoir que de la moitié de la quantité d'essence nécessaire : le Canada venait d'adopter le système métrique du kilogramme, et l'équipe avait calculé la quantité de carburant en livres alors que les pilotes l'avaient calculé en kilogrammes. Grâce au sang-froid des pilotes, l'avion réussit à se poser sur une base militaire sans victimes.
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J'ai vu le reportage et ce jour là il y avait deux enfants qui faisaient du vélo sur la piste où l'avion allait atterrir ( les courses de dragsters étaient sur une piste à côté ), puis quand ils ont vu l'avion ils se sont dépêchés . Heureusement, l'avion , quand il toucha le sol, son train avant rentra dans son emplacement et l'avion a ralenti très vite, ce qui ne tua pas les deux garçons.
L'avion a atterri sur la piste ou le copilote a passer son permit.
On peut débattre longtemps de l'unité de mesure, en revanche ça doit rouler vite un avion qui tourne à l'essence... Mais je doute que les réacteurs apprécient longtemps...
Et je ne m'en prenais pas à eux; ils étaient bien d'accord pour dire que ce n'est pas cohérent de choisir comme unité de référence une unité qui a un préfixe... Il aurait fallu appeler le kilogramme un "dushmol" et parler de millidushmol pour les grammes...
Gg aux pilotes !!!
C'est mieux de réfléchir avant de critiquer ;)
C'est juste que pour tout un tas de raisons on veut savoir le poids de carburant restant plutot que son volume (impact sur la consommation, consommation d'ailleurs donnée en tonnes/h, restrictions de poids à l'aterrissage selon l'aéroport de destination, etc.)
C'est bien de réfléchir, mais autant aller au bout de sa réflexion ;)
Le vent de face n'affecte rien au vol, je ne dis pas comme toi. Il n'influe en rien sur la finesse mais dans les phases de décollage et atterissage, il ne faut pas l'oublier, mais je pense que tu le savais deja
C'est le planeur de Gimli, connu chez les pilotes.
Car il était encore trop haut mais pas assez pour pouvoir refaire un essai, le pilote a effectué une glissade (mis l'avion de travers par rapport à sa trajectoire) pour forcer la descente tout en limitant la vitesse.
C'est une manœuvre connue des pilotes de planeurs (le pilote de l'avion faisait aussi du planeur en loisirs), mais alors inédite sur un avion de ligne. C'est aussi ce qui a sauvé l'appareil et ses passagers.
La seule exception à tout ce que j'ai dis est l'aviation légère, la précision est inutile donc l'essence est mesuré avec le volume en litres.
Ha! Le système métrique international non adopté par certains anglosaxons, quel débat!
C'est une panne sèche qui aurait pu en mouiller plus d'un !!