En 1933, un certain Kiyoko Matsumoto se jeta dans le cratère d'un volcan pour se suicider. Le curieux procédé entraina une "mode" l'année suivante : on dénombra plus de 900 personnes qui firent la même chose l'année suivante.
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En 1933, un certain Kiyoko Matsumoto se jeta dans le cratère d'un volcan pour se suicider. Le curieux procédé entraina une "mode" l'année suivante : on dénombra plus de 900 personnes qui firent la même chose l'année suivante.
Tous les commentaires (96)
C'était une femme, pas un homme !
sources :
jimboland.hautetfort.com/archive/2006/07/21/mihara-yama-le-volcan-aux-suicides.html
disinfo.com/2013/02/the-worlds-most-romantic-death-spot-japans-suicide-volcano/
jpninfo.com/40701
L'année suivante de l'année suivante xD
Mais ce quart de seconde ou tu passe à l'acte à un côté fascinant quand même, quand la personne est pleinement conscience qu'elle met fin à son existence.
Évidemment je ne dis pas que je souhaite ressentir ça toute ma vie....
Certes cependant a partir du moment ou tu es parents tu n'a pas le doit de mettre fin a ta vie
Je vois pas ce que tu veux expliquer avec ton commentaire.
Se jeter dans un volcan, c'est se donner en spectacle, c'est tout, et vu que c'est extrêmement douloureux potentiellement, c'est très con.
Pour ton commentaire, en finir avec une arme à feu, je ne dirais qu'une seule chose: c'est que la moindre des chose c'est de savoir comment marche une arme à feu et de savoir comment l'utiliser et effectivement, quand on sait pas, ben on s'arrache la moitié de la gueule avec un fusil de chasse.
Que veux tu que j'y fasse? Des gens qui se ratent... c'est encore plus con que de se jeter dans un volcan, parce que si vraiment on veut en finir, on se rate pas.
Fais le test avec un steak posé sur une plaque d'acier chauffée à blanc pour la combustion, et met ta main au centre d'un bon feu de cheminée bien attisé pour les terminaisons nerveuses.
En fait, ce qui tue par le feu en premier (dans le cas où on se balance dedans), c'est respirer des gaz brûlants qui brûlent l'intérieur des poumons, et qui font tomber dans l'inconscience assez vite... mais assez vite, c'est relatif.
En tout cas, le feu, non je n'ai jamais expérimenté à ce point, j'admet qu'une brûlure au 3ème degré ca crame toute les terminaisons nerveuses, mais ayant vécu ce genre de brûlure via essence, si un jour je devais en finir, je choisirai autre chose que le feu, mais pense ce que tu veux.
Si t'aime les vidéo, va voir des vidéo de gens cramés vifs (on en trouve) et écoute leurs hurlements, et on en reparle après.
Ça contredit la rumeur selon laquelle les japonais se "lave" moins que les autres peuples ;-)
Faut réfléchir des fois avant d'écrire...
Ce qu'on fait de notre vie ne regarde que nous. C'est la base même de la liberté individuelle tel que je la comprend.
Ensuite, qu'on soit papa, maman, fille d'un couple marié ou fils d'une mère célibataire... Au moment où tu te sens suffisamment proche du fond du trou pour vouloir en finir, tu es tellement mal que parfois tu te dis que JUSTEMENT c'est en finissant avec la vie que t'arreteras de gâcher celles des autres (enfants, parents, famille, conjoint). Tu ne penses qu'au fait que tout va mal, que ça ne peut qu'empirer et que si tu restes, tes proches vont en souffrir.
Paradoxalement, tu te dis qu'ils souffriront moins ou moins longtemps si tu en fini maintenant.
C'est bien évidemment faux, mais dans l'état d'esprit où tu es à ce moment là, il sera très difficile pour toi de le comprendre et de faire machine arrière.
En tan que maman de... Et fille de... J'ai eu ce choix à faire, Et c'est pour d'autres raisons que je suis encore là. Je m'accroche de toutes mes forces pour ne pas retomber, c'est très dur.
Alors s'il vous plaît, arrêtez de juger les gens qui ont attenté à leur vie ! Ce n'est pas de l'égoïsme ni de la lâcheté, c'est juste qu'à ce moment là, on est tellement mal que l'on en arrive à se voir néfaste pour les proches. Certains n'ont pas de proches, je trouve que c'est encore plus dur pour ces personnes, que ce soit le passage à l'acte ou la remontée du tunnel.
Pour ceux qui se reconnaîtront, on avance un pas à la fois, pas plus, pas moins, c'est la meilleure façon de s'en sortir.
Bref, vu de mon côté, le volcan et son " absence de traces " , ç'a du bon ! (le cynisme est à prendre au second degré : c'est un mécanisme de survie).
Il a fait çela attaché à un requin avec 100kg de dinamite autour de la taille.
C'était Super macho.